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Alma L. Lennox

Alma L. Lennox

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quartier : Une petite maison dans le West Side avec son fils, et bientôt son mari McKinney
physique : Alma a perdu du poids, victime d'un syndrome post-traumatique suite à la mort d'Ezra, elle ne revient que partiellement au cabinet Lennox. De nature insomniaque, elle a du augmenter son traitement pour pallier ses problèmes de sommeils, aggravés.

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MessageSujet: A word, please ? ø daya   A word, please ? ø daya EmptyJeu 2 Mai - 17:14


A WORD, PLEASE ?
 flashback ; après l’arrestation de Madmax, Karl & Kurt


« Comme d’hab, tu ne dis rien jusqu’à mon retour. Je reviens aussi vite que possible. » L’avocate observe le dernier des trois KOS à qui elle s’adresse, tour à tour. Max, en l’occurrence. Il connaît le topo, mais par mesure de sécurité, elle préfère en remettre une couche. Les trois garçons sont évidemment placés dans des cellules différentes, bientôt transférés après leur arrestation. Alma est hors d’elle depuis l’annonce du débarquement des flics chez Madmax et Kurtis. Trois arrestations, dont un des trois encore plus con que le plus débile des KOS qui se met à tirer sur les flics et finit par se blesser lui-même. Elle est dépassée, les allers retours entre chez elle et le commissariat, son cabinet et le commissariat et enfin son cabinet et chez elle sont nombreux et même si on essaie de l’aider, personne au sein du club ne peut faire son travail. Elle est déjà en train de tirer ses ficelles et de chercher à faire au mieux pour se préparer à toute éventualité.

Elle avance à pas pressé alors qu’elle sort du commissariat, remonte son col de manteau puis son sac sur son épaule et sort les clefs de sa voiture. Son esprit est déjà en train de penser à la suite. D’abord, elle doit rentrer chez elle et récupérer tous ses dossiers. Travailler entre le cabinet et la maison ne lui apporte rien de bon, elle le sait pourtant que c’est une habitude qu’elle ne changera pas. L’avocate ne manque pas d’envoyer un message à son futur-mari pour le tenir au courant et par extension, le président des KOS, de son avancée dans le sujet. Elle doit se dépatouiller pour gérer les trois arrestations. Un procès n’est jamais suffisant évidemment, trois en même temps, c’est plus marrant.

Elle rentre chez elle alors qu’il est déjà la fin de l’après-midi. Son fils n’est pas rentré, elle ne sait pas si la Réunion auquel il a du assister a duré plus que de raison où s’il est allé se consoler chez une blonde, ou une brune. Elle lui envoie un texto, une main déjà agrippée autour de ses dossiers, fourre le tout dans son sac, garde son téléphone en main et fait déjà le retour jusque sa voiture. Alma ferme la porte de sa maison alors qu’une voix familière lui parvient aux oreilles. Elle descend les escaliers et porte son regard sur l’indienne, la flic aux premières loges des arrestations sur lequel elle doit bosser. Ses pas, au lieu de la diriger loin de la membre de l’anti-gang comme ils le devraient, se focus sur sa trajectoire.

« Laghari, quelle joie de te revoir. » Le sourire qui lui tire les traits n’est ni crispé ni mauvais, en tout cas pas rempli de compassion. Elle ne sait pas ce qui lui prend, elle devrait simplement rentrer dans sa bagnole et se barrer pour régler la montagne de problèmes qui l’attend. « J’ai cru comprendre que c’était à toi que je devais le surplus de travail qui m’attend sagement sur mon bureau. Félicitations. »

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Dernière édition par Alma L. Lennox le Jeu 16 Mai - 10:49, édité 1 fois
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Daya Laghari

Daya Laghari

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quartier : Downtown Chicago - Dans un loft qu'elle loue depuis des années et partagée désormais avec son petit-ami
physique : Une cicatrice près du sein gauche vestige de la balle qui à bien failli lui coûter la vie lors du massacre de Noël et une autre sur le genou droit, dû à un petit accident lorsqu'elle était gamine

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MessageSujet: Re: A word, please ? ø daya   A word, please ? ø daya EmptyVen 3 Mai - 19:01


Daya & Alma

A word, please?

La fatigue commence sérieusement à devenir problématique, cela fait plusieurs jours maintenant que l’Indienne n’a pas eu un moment à elle pour ne serait ce que faire une nuit entière, elle n’avait eu l’occasion de dormir que l’espace de quelque heures et même pas chez elle où elle n’était repassé que pour se doucher et se changer. Tout s’était enchaîné rapidement, les interrogatoires de Walsh et O’Malley, puis la découverte des activités extra-scolaire de Nora qui soit dit en passant lui restait passablement en travers de la gorge, mais elle ne pouvais se permettre de s’en plaindre outre mesure puisqu’elles avaient menées aux arrestations respectives d’Hawkins, Warham et Gratchiov. Ca représentait déjà un travail considérable auquel venait s’ajouter une montagne de paperasse décourageante, mais ca n’avait pas suffit non, il avait fallu que le réseau Serbe s’en mêle une fois de plus et la descente qui s’en était suivie n’avait rien donné de particulièrement bon, pour personne d’ailleurs.

Jour trois à présent et Daya avait réussi à profiter d’un creux au milieu de cette vague qui n’en finissait plus pour rentrer chez elle, sans encore avoir eu l’occasion de croiser son petit ami qui bien évidemment était au travail, alors elle avait vaqué en vitesse à ses occupations ou en tout cas celles qu’elle pouvait se permettre de faire dans ce court laps de temps, une douche, un vrai repas, des fringues propres et une courte sieste avant de passer chez sa mère qui avait besoin d’elle pour se rendre chez le médecin, le tout avant de regagner le police department avant la fin de la journée pour ce qui s’apparenterait à une autre nuit de travail intensif.

« Tu es sûr que ca va aller mama ? La matriarche lui adresse un sourire et vient poser sa main sur la sienne. –Ne t’inquiète pas Daya, c’est pas grand chose et puis ton frère doit passer. Les yeux de la jeune femme s’écarquille un peu, son frère n’est franchement pas celui qui passe le plus de temps au foyer familial, bon c’est sûr qu’elle n’est pas la mieux placé pour parler, mais ce n’est dans son cas pas tout à fait de sa faute, si sa mère ne s’entêtait pas à ignorer voir condamner sa relation avec Josef il est certain que les relations seraient ici tout à fait différente. –Vraiment ?  La quinquagénaire adresse un sourire à sa fille cadette. –Oui, bon j’ai peut-être un peu exagéré pour qu’il vienne, mais on le vois plus depuis qu’il s’est trouvé cette fille. Daya fronce les sourcils. – Quelle fille ? Elle avait visiblement un train de retard. Sa mère hausse une épaule. –Ba justement j’aimerais bien le savoir tu vois. Daya laisse échapper un rire léger et secoue sa tête à la négative, sa mère ne changera décidémment jamais. L’horloge du salon vient sonner le coup de seize heures et elle pousse un soupir. – Il faut que j’y aille Ma, je dois retourner au travail, mais je t’appellerai demain d’accord ? Elle ne lui laisse pas vraiment le temps de répondre et vient déposer un baiser sur sa joue. –Tu viens dimanche ? Les mains de la flic s’écarte. –Je ne sais pas, mais je te tiendrais au courant, ca dépend du travail et de si Josef est invité. Elle lui adresse un sourire malin, n’en dis pas plus et la laisse ainsi méditer sur sa réflexion. – Je file ! Bisous et sans demander son reste elle franchie la porte de l’entrée et descend les quelques marches du perron en direction de sa voiture garer quelques maison plus haut.

« Laghari, quelle joie de te revoir. La brune se retourne un peu prise au dépourvue, pour tomber sur une silhouette qu’elle connais bien, celle de la voisine et amie de sa mère et  accessoirement avocate en chef du groupuscule contre lequel elle se bat depuis maintenant un sacré bout de temps. Elle se retient de lever les yeux au ciel ou de pousser un soupir un peu trop sonore et en lieu et place de cela, se contente d’un sourire, pas tout à fait amical. –Alma. La quarantenaire s’avance vers elle. - J’ai cru comprendre que c’était à toi que je devais le surplus de travail qui m’attend sagement sur mon bureau. Félicitations. Un rictus amusé passe brièvement sur les lèvres de Laghari alors qu’elle laisse échapper une exclamation. Au moins on peut dire que la matriarche des Kos ne se complait pas en fausse politesse. – Merci. Je t’épargne les fausses excuses et les désolés mensonger hein et puis ce n’est pas comme si je te prenais au dépourvu n’est-ce pas ? Je suis sûr que tu as une défense toute prête pour tes poulains non ? J’ai presque hâte de te voir à l’œuvre comme toujours. » Elle la sait être un adversaire de taille et aussi éloigné puisse être leurs objectifs et leurs allégeances respectives, Daya ne peut enlever ou nier qu’elle éprouve de l’admiration pour cette femme qui s’est faite seule en élevant un enfant et entouré d’abrutis fini. Il y avais franchement de quoi être impressionné, elle ne le cachait pas.



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Alma L. Lennox

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MessageSujet: Re: A word, please ? ø daya   A word, please ? ø daya EmptyLun 6 Mai - 14:32


A WORD, PLEASE ?
 flashback ; après l’arrestation de Madmax, Karl & Kurtis


« Alma. » La quadragénaire lui adresse un sourire de l’ordre de l’admnistratif à ce stade, rien de particulièrement chaleureux. Ça la démange de l’attraper par les cheveux et de lui faire manger le bitume. Parce qu’elle en a marre de ces putains de flics, et même si ceux-ci lui sont relativement liés. Elle voudrait avoir la vie tranquille, son boulot s’accumule et cette fois Daya a pris part à une arrestation conséquente. Trois éléments du club en même temps. La bataille est donc lancée.

« Merci. Je t’épargne les fausses excuses et les désolés mensonger hein et puis ce n’est pas comme si je te prenais au dépourvu n’est-ce pas ? » Alma laisse échapper un très léger rire, il pourrait être amusé si elle n’avait pas l’air aussi pincée malgré le sourire qui étire ses lèvres. Ses yeux ont des révolvers à la place des pupilles habituellement bleues. Elle ne devrait pas se laisser aller à son agacement, cette contrariété ne peut que la desservir et pourtant, maintenant qu’elle est là, Love ne compte pas bouger. Ça lui fera un peu de bien de ventiler.

« Je suis sûr que tu as une défense toute prête pour tes poulains non ? J’ai presque hâte de te voir à l’œuvre comme toujours.
— Oh oui, ne t’inquiètes surtout pas pour eux. La brune remonte ses cheveux derrière épaule d’un geste du visage, tranquille, s’efforce de garder la marque cruelle sur son visage, l’expression qu’elle réserve à ses adversaires. Ils seront dehors en un rien de temps, comme d’habitude. Les difficultés que tu m’auras glissé dans les dossiers ne feront que me ralentir mais je devrais pouvoir m’en accommoder. Sa réputation la précède, elle le sait et celle de Daya également. Alma est bien consciente qui lui faudra se battre avec ferveur pour défendre ses garçons et leur éviter des peines plus lourdes que la moyenne. Au moins ça me changera d’un dossier bâclé, du temps gâché par tes collègues, un travail un peu mieux fait me changera de la routine, alors devrais-je même te dire merci, Daya ! » Le sarcasme est évident et pourtant elle n’est pas loin de la vérité, elle sait et connaît la plupart des officiers qui se trouvent au poste, Daya fait partie de ceux qui ne laissent aucun détail de côté.  « Tu passeras cet élan de gratitude à ta partenaire. » Son sourire se prononce, s’agrandit d’un côté, bien consciente d’avancer sur un terrain non-officiel qui ne devait certainement pas plaire à l’indienne face à elle.

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Daya Laghari

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MessageSujet: Re: A word, please ? ø daya   A word, please ? ø daya EmptyJeu 9 Mai - 18:23


Daya & Alma

A word, please?

L’indienne se demande pourquoi l’avocate s’est empressé de venir l’alpaguer de cette façon, il est évident qu’elle n’a pas plus à lui dire que ce qu’elles savent toute deux déjà et puis ce n’est pas comme si Daya allait s’excuser de faire son boulot ou mieux encore lui filer des tuyaux, non Alma savait très bien qui elle avait en face d’elle et on était loin de la flic véreuse ou manipulable. Très loin.  Mais elle est là à faire des simagrée alors, l’Indienne ne se gêne pas non plus et la provoque un peu. « Oh oui,ne t’inquiètes surtout pas pour eux. Un mince sourire loin d’être franc vient parer ses lèvres. Ils seront dehors en un rien de temps, comme d’habitude. Les difficultés que tu m’auras glissé dans les dossiers ne feront que me ralentir mais je devrais pouvoir m’en accommoder. Si il y avait bien une chose qu’on ne pouvait ôter à la quarantenaire, c’était sa confiance en elle et en ses protégés. Une exclamation s’échappe de sa bouche et elle vient secouer la tête à la négative, un air perplexe et exagéré sur le visage. Au moins ça me changera d’un dossier bâclé, du temps gâché par tes collègues, un travail un peu mieux fait me changera de la routine, alors devrais-je même te dire merci, Daya ! »  La seule chose qui lui vient en tête en l’instant et à l’écoute des propos qui lui sont lancés, est qu’Alma lui fait perdre son temps, temps qui s’avère plus que rare et précieux ces derniers jours et très honnêtement elle a bien mieux à faire que la conversation à cette femme qui se bat à son plus grand regret pour les plus mauvaises causes.  C’est d’ailleurs plus ou moins ce qu’elle s’apprête à lui dire, avant que celle-ci ne vienne ajouter quelque chose qui prend la flic un peu de court, ne sachant pas vraiment comment interprété cela ou peut-être à contrario ne le sachant que trop bien.

La jeune femme se redresse un peu, vient croiser ses bras contre sa poitrine et plante son regard dans celui de sa voisine, elle ne compte pas se laisser désarçonnée loin de là. « Je ne doute pas de tes capacités Alma, néanmoins ne crois pas que tout se trouve dans les dossiers, ce serait bien trop facile et on sait toute les deux que ce n’est pas vraiment ton crédo n’est-ce pas ? Un lui adresse un sourire surfait et forcé. Et je t’en pris, tout le plaisir est vraiment pour moi, d’autant que ce n’est que le commencement, j’espère que tu as libéré ton planning, parce que tu vas en avoir pour un moment crois-moi ! Elle n’en dit guère plus, mais l’arrivée des fédéraux sur cette affaire, donne un nouvel élan même au plus réticent des agents, tout le monde est observé à la loupe ou en tout cas en a l’impression, cela sans compté les budgets débloqués et les forces supplémentaires qui viennent donner un peu de ressort à leur possibilités. Ils se rapprochent, elle le sent, ce n’est pas encore le Pérou, mais les avancés sont évidentes. Quand à ma partenaire, tu pourras toi-même lui passer le message, tu ne manqueras pas de la croisée dans les jours à venir j’imagine et je ne suis pas sa secrétaire ! Son menton relevé et un air agacé évident elle poursuit, espérer même finir. D’ailleurs j’ai un sacré boulot qui m’attend, tu ne m’en voudras pas j’imagine si je ne reste pas pour le café et les gossips ! »




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Alma L. Lennox

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MessageSujet: Re: A word, please ? ø daya   A word, please ? ø daya EmptyVen 17 Mai - 17:02


A WORD, PLEASE ?
 flashback ; après l’arrestation de Madmax, Karl &

Alma lui a visiblement coupé l’herbe sous le pied, ça la fait sourire intérieurement. Un petit plaisir, pour la route. Daya se redresse, croise ses bras sous sa poitrine et plante son regard dans celui de la quadragénaire. Au moins, celle-ci ne se courbe pas en quatre pour l’éviter. Lennox, le chat noir du precinct, qui se fait un plaisir de laisser libre-court aux rumeurs qui courent à son sujet. Le mystère et les racontars ne font que renforcer l’aura qu’elle se traine, et à vrai dire, ça l’arrange. Car viennent avec eux les flics frustrés, fatigués, pas faits pour ce métier, prêts à lâcher quelques infos pour une liasse de billet relativement bien fournie. Alma s’est fait son réseau, elle est sur tous les fronts.

« Je ne doute pas de tes capacités Alma, néanmoins ne crois pas que tout se trouve dans les dossiers, ce serait bien trop facile et on sait toute les deux que ce n’est pas vraiment ton crédo n’est-ce pas ?
— Pourquoi faire le travail jusqu’au bout après tout ?
— Et je t’en prie, tout le plaisir est vraiment pour moi, d’autant que ce n’est que le commencement, j’espère que tu as libéré ton planning, parce que tu vas en avoir pour un moment crois-moi ! » Ses yeux se plissent un instant, la flic semble bien sure d’elle-même cette fois. Pas qu’elle manque d’assurance, oh ça non, Alma a eu le loisir de l’observer grandir et de voir en elle s’appesantir le besoin de justice. Elle fera partie de ceux qui se croient permis de tout faire, cachée derrière un badge. Au moins, pense-t-elle, les Kings ne se cachent pas derrière un insigne d’état. Néanmoins, elle ne peut ignorer qu’elle a piqué sa curiosité.

« Quand à ma partenaire, tu pourras toi-même lui passer le message, tu ne manqueras pas de la croisée dans les jours à venir j’imagine et je ne suis pas sa secrétaire ! Alma lève les yeux au ciel. D’ailleurs j’ai un sacré boulot qui m’attend, tu ne m’en voudras pas j’imagine si je ne reste pas pour le café et les gossips !
— Je t’en prie, après toi ! La quadragénaire s’écarte et lui montre le chemin de sa main libre, celle qui ne contient pas les dossiers qu’elle sert contre elle, le reste dans son sac à main suspendu à son coude. N’hésite pas à joindre la mienne, de secrétaire, lorsque les verdicts seront tombés, pour me faire part de ton ressenti. Un mince sourire. Je « t’épargnerais les fausses excuses », mais je t’encourage à faire de ton mieux dès maintenant ! Quelle assurance ! Son sourire s’agrandit, faussement encourageant, son ton s’enfonce dans l’ironie. Peut-être qu’à plusieurs vous réussirez à faire quelque chose de correct la prochaine fois. Où… peut-être qu’il n’y aura pas de prochaine fois. Mais rassures-toi, je serais toujours là pour rétablir la balance. Alma semble chercher ses mots comme posant le doigt sur un problème, sourire factuel collé au visage. Tu sais quoi ? Nous verrons. Mais je serais ravie de te voir perdre ton temps à la barre. Je peux te donner quelques tips à l’occasion, tu n’as qu’à prendre rendez-vous au cabinet. »

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Daya Laghari

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MessageSujet: Re: A word, please ? ø daya   A word, please ? ø daya EmptySam 18 Mai - 22:33


Daya & Alma

A word, please?

« Pourquoi faire le travail jusqu’au bout après tout ? L’indienne ne relève pas, parce que ce n’est absolument pas ce que cela veux dire, loin de là, mais elle préfère la laisser entendre ce qu’elle veut, elle n’a ni le temps, ni l’énergie et certainement encore moins l’envie de se lancer dans des explications probablement trop longues auprès de l’avocate. Le fait est pourtant là, il y a bien des choses dans ces dossiers, bien des choses actés, rendue réelles et prouvées, mais à côté de cela, il y avait toutes ces autres vérités qui elles, ne sont pas encore a divulguées, pour lesquelles ils manquent encore de preuves, preuves qu’ils trouveront en temps et en heure, elle en est persuadée. Alors, oui son attitude est sûre, affirmée, elle ne peux pas faire autrement, si elle même n’y crois pas, alors comment pourrait-elle continuer de s’investir autant pour cette justice qu’elle recherche par tout les moyens, pas seulement pour tout ces gens là dehors, mais aussi pour elle.

En ce qui concerne Nora, elle est froissé par son comportement, par le manque évident de confiance qu’elle lui voue, elle n’en dit rien, mais la mention de cette dernière, ne la rend pas plus délicate et n’adoucit en rien sa façon d’être face à cette femme qu’elle a vue avancer, travailler, vivre, à deux pas de chez elle. Ca lui rappelle simplement toutes les choses qu’elle a encore à faire pour justement ne pas laisser à Alma suffisamment de cartes pour trouver à ses poulains un quelconque laissé passer après ce qu’ils ont fait, aussi coupable puisse être les victimes cette fois-ci. Elle esquisse donc un départ, laisse cette intention prendre forme à mesure qu’elle l’énonce à voix haute, mais la quadragénaire lui emboite malheureusement le pas, ne lui laissant que partiellement cette possibilité.  Je t’en prie, après toi ! Lâche-t-elle en lui ouvrant le chemin d’un geste de la main. Daya ne se fait pas prier et s’avance, jusqu’à sa voiture garée un peu plus haut, elle sort les clés de son sac en bandoulière et les laisse enfermer au creux de sa main. N’hésite pas à joindre la mienne, de secrétaire, lorsque les verdicts seront tombés, pour me faire part de ton ressenti. Je « t’épargnerais les fausses excuses », mais je t’encourage à faire de ton mieux dès maintenant ! Quelle assurance ! Son sourire est aussi faux que ses intentions, Daya le sait bien, ne s’en étonne pas et elle lui rend, en affiche un encore plus large même. De l’assurance elle en a oui et elle se plait a lui jeter au visage, parce que là, en l’instant et même si c’est éphémère comme l’avocate l’espère, là, c’est elle qui mène la danse, c’est elle qui a les cartes en mains et s’apprête à les coucher, alors oui son assurance transpire et elle n’en a que faire. – Tu est bien placé pour parler c’est vrai. La tienne crève le plafond. Elle laisse échapper sa réponse, continue de marcher alors qu’elle en fait de même et dans la même direction.  Peut-être qu’à plusieurs vous réussirez à faire quelque chose de correct la prochaine fois. Où… peut-être qu’il n’y aura pas de prochaine fois. Mais rassures-toi, je serais toujours là pour rétablir la balance. Exhibit A :  Le Summum de l’égo. Rétablir la balance ? Ce n’est pas franchement comme ça qu’elle qualifierais les batailles qu’elle choisie de mener, mais après tout chacun vois midi à sa porte et peut importe le nombre de fois qu’il lui faudra recommencer, elle n’abandonnera certainement pas et encore moins face à des gens qui se pense au dessus des lois comme Alma.  Tu sais quoi ? Nous verrons. Mais je serais ravie de te voir perdre ton temps à la barre. Je peux te donner quelques tips à l’occasion, tu n’as qu’à prendre rendez-vous au cabinet. » Sa voiture se profil et elle vient appuyer sa main sur le dessus de la carrosserie. « Ne t’en fait pas Alma, seule ou à plusieurs, il y aura bien un jour où tes techniques plus que discutables, ne fonctionneront pas et crois-moi je compte bien être aux premières loges pour voir ça! Elle lui offre un sourire sincère cette fois, elle sait que la réciproque est vraie et aucune des deux ne s’en cache. Quant à ta proposition je te remercie, mais j’irai chercher mes conseils si tant est que j’en ai besoin autre part. En attendant, je vais m’empresser d’aller faire de mon mieux dès maintenant, histoire de maintenir la balance dont tu parles ! et je vais le faire avec plaisir crois-moi. Son sourire à désormais disparu et elle se contente de toiser l’avocate qui est loin de se laisser impressionnée comme à son habitude, elle est de cet acabit, de ceux qui on toujours l’air parfaitement en contrôle quel que soit les circonstances.  Autre chose peut-être ? »




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MessageSujet: Re: A word, please ? ø daya   A word, please ? ø daya EmptyLun 20 Mai - 18:14


A WORD, PLEASE ?
 flashback ; après l’arrestation de Madmax, Karl &

« Ne t’en fait pas Alma, seule ou à plusieurs, il y aura bien un jour où tes techniques plus que discutables, ne fonctionneront pas et crois-moi je compte bien être aux premières loges pour voir ça! » Daya s’avance sur un terrain dangereux : les techniques « discutables » d’Alma. La quadragénaire ne voit pas cette réflexion sous un bon œil et tandis que la flic s’arrête, s’appuie sur sa voiture et lui déblatère un discours qui n’est en rien original ; elle croise les bras autour de son dossier, relève ses épaules et la toise d’un air mauvais. Son sourire s’est dissout, il n’y a plus rien de formel dans son attitude. Alma se laisse visiblement manger par son humeur, sa contrariété, c’est au moins ça pour Daya qui aura réussi à faire ressortir le vrai visage de la mère de famille excédée par le comportement du parti adverse.

« Quant à ta proposition je te remercie, mais j’irai chercher mes conseils si tant est que j’en ai besoin autre part. » Lennox bat des cils, penche la tête sur le côte, lui adresse une moue qui pourrait s’apparenter à un sourire mais qui n’en est rien. Juste ses lèvres retroussées, le sarcasme empreinte les traits de son visage. Ce petit jeu ne la fait plus rire. « En attendant, je vais m’empresser d’aller faire de mon mieux dès maintenant, histoire de maintenir la balance dont tu parles ! et je vais le faire avec plaisir crois-moi.
— J’en doute pas. » Son ton est sec, ça glisse entre ses lèvres, comme un serpent, un fouet qui claque. Alma se fait vipère, n’a plus envie de lui faire de cadeau et si elle sait que Daya sera une adversaire convenable, elle ne compte rien lui laisser passer et devrait en ce cas, déjà s’en aller préparer la défense des trois KOS. Dont un des trois, abruti, qui a décidé d’en rajouter une couche pour lui mettre des bâtons dans les roues gratuitement. La vérité c’est que, cette fois, les dossiers seront plus compliqués à défendre, cette fois ; de vraies preuves pour de vraies crimes. Il ne s’agit de simples délits qu’elle peut alléger en claquant des doigts. Et après cet échange elle est persuadée que Daya redoublera de zèle pour lui retirer toutes ses chances et peut-être, essayer de se faire valoir auprès de ses supérieurs. Alma relève la tête, redresse les épaules, affiche une fierté sans défaut, le visage désormais fermé, tout en contrôle.

« Autre chose peut-être ? »

Alma ne répond pas dans l’immédiat, se contente de l’observer de haut en bas, elle ne cache plus son dédain derrière un sourire administratif.

« Ne viens surtout pas pleurer après ça, Laghari. » Elle remet de la distance, s’adresse à l’inspectrice, plus uniquement la gamine de quartier. « Peut-être que cette fois, ils finiront derrière les barreaux. Mais ne t’attends pas à ce qu’ils y restent longtemps, rassures-toi. Alors ne te retiens pas, je me ferais un plaisir de réduire à néant chacun de tes efforts. » La brune fait un pas en arrière, plonge sa main dans son sac, sort machinalement ses clefs elle aussi, appuie sur le bouton pour déverrouiller le 4x4 récent. « Fais attention à toi, on ne sait jamais, sur la route. » Et sur ces mots, Love la toise une dernière fois et se détourne de l’inspectrice, la colère barre ses traits, son poing serré autour de ses clefs de voiture.  

—FIN—

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MessageSujet: Re: A word, please ? ø daya   A word, please ? ø daya Empty

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