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 Quelques jours et une mort plus tard.

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Marguerite J. Monkee

Marguerite J. Monkee

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MessageSujet: Quelques jours et une mort plus tard.   Quelques jours et une mort plus tard. EmptySam 25 Mai - 23:56

❝ A la recherche d'informations ou d'un peu de compagnie❞Niallán  & Marguerite

Elle flirtait quelques secondes auparavant puis alors que le vent tournait, que le corps de cette vieille dame se raidit au sol, Maggie appela Niallan s’en résultat. Elle se relayait avec Fanny pour faire un massage cardiaque avant qu’Eleesha ne les rejoignent. Ils restèrent deux jours dans cet appartement miteux sans réellement savoir ce qui allait se passer pour eux et visiblement personne ne semblait préoccupait par leur avenir, en tout cas pas celui de Maggie qui bouillonna de l’attitude du gérant de ce bar. Il l’avait aidé depuis le début mais avait prit la fuite comme un lâche. Elle s’était imaginé une dizaine de scénarios probables et à chaque fois ils avaient un rapport avec ce sac que Niallan portait et dont il faisait extrêmement attention. Il ne fallait pas être bête pour savoir ce qui se cachait dedans, un truc qui ne plairait très certainement pas aux forces de l’ordre. Cela ne la poussa pas à dire quoi que ce soit sur lui ou Ronnie, elle n’était pas comme ça, se mêlant en général de ses affaires. Elle mouillait dans des affaires avec les KOS, elle savait avec qui Niallan traînait et dont il faisait parti. Elle n’avait jamais trop parlé avec lui pour ne pas avoir de soucis si il était possible d’en avoir mas étrangement elle avait adoré sa présence lors de cette épreuve...Par la suite elle avait oublié le positif pour ne penser plus qu’à son comportement de lâche.

Alors qu’elle fut sa surprise lorqu’au travail, elle rentra dans cette minuscule maison située à l’entrée du cimetière dont elle était la « gardienne » puis revint remplie de terre un peu partout mais vit une silhouette devant elle, s’étant permis de rentrer ici à l’abri des regardes indiscrets.

« Tu sais que j’en ait tué pour moins que ca le fuyard ? » Elle tapota grossièrement son débardeur et jean avant de se laver les mains juste derrière Niallan. C’était un peu le calme avant la tempête . Savait-il au moins que la vieille dame avait finit par mourir quelques jours plus tard à l’hopital ? Que voulait-il exactement ? Tenter de savoir qui avait parlé ?

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Niallán O'Greaney

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MessageSujet: Re: Quelques jours et une mort plus tard.   Quelques jours et une mort plus tard. EmptySam 1 Juin - 13:04


( a few days and a death later... )
Il frappe quelques coups à la porte, patiente une poignée de secondes et puis réitère son geste. Ne captant pas le moindre signe de pas de l’autre côté de la porte, il se dirige vers la fenêtre la plus proche et tente de jeter un œil à l’intérieur de la maison. Il devine que Marguerite est absente pour le moment et tique, contrarié. Nial a pris sur son temps pour venir jusqu’ici et il n’a pas l’intention de faire demi-tour avant d’avoir obtenu ce qu’il est venu chercher. À savoir : une garantie que la jeune femme ne l’a pas déjà balancé aux flics et n’a pas l’intention de le faire… Quelque chose lui dit que Marguerite ne s’y risquerait pas mais mieux vaut prévenir que guérir.
Alors après une courte délibération interne, l’irlandais décide de pénétrer dans la petite maison située à l’entrée du cimetière. Niallán sait que les South Siders refilent leur came ici et il n’a pas envie qu’un de ces pourris lui tombe dessus. Ce serait trop stupide mais laisser Maggie ouvrir sa bouche et le placer sur le lieu de deux homicides ne serait pas très malin non plus… Il aurait pu envoyer Anntoin ou un autre des gars lui faire peur et la dissuader de faire quoi que ce soit mais… Disons qu’il n’a pas envie d’avoir à en arriver là. Et il aime bien régler ses problèmes lui-même.
Il appuie sur la poignée et la porte s’ouvre toute seule. Pas très prudent. Un oublie ? Une mauvaise habitude ? Dans un cas comme dans l’autre : ça l’arrange.

Il fait un rapide tour d’horizon, s’annonce encore – au cas où Marguerite serait en fait sous la douche ou en train de dormir et ne l’aurait simplement pas entendu frapper précédemment. Mais rien. Il finit par se laisser tomber dans un fauteuil et attrape le premier bouquin qui passe à sa portée pour plonger le nez dedans. Les minutes s’écoulent et il entend finalement la porte s’ouvrir. Il repose le livre et se lève pour se rapprocher de l’entrée où vient de pénétrer la brune.
Il la détaille de haut en bas sans vergogne alors qu’elle fait de même, apparemment très peu intimidée par la présence du grand gaillard qu’il est dans son habitation. Elle a plus de cran qu’il ne lui en laissait le crédit. À moins qu’elle soit simplement une très bonne actrice ?
« Tu sais que j’en ait tué pour moins que ca le fuyard ? »
Outch…
Sans lui prêter plus d’attention, elle dirige ses pas vers sa cuisine pour laver ses mains couvertes de terre. Niallán apprécie les femmes qui n’hésitent pas à se salir littéralement les mains… Mais l’idée qu’elle vienne de s’occuper de creuser une tombe ou quelque chose dans ce genre le refroidi un peu.
Il lui emboite le pas, s’adosse au mur et observe son postérieur, parfaitement moulé dans son jean avant de relever son regard vers ses cheveux puisqu’elle continue de lui tourner le dos.
« Je suis trop sexy pour mourir jeune, on le sait tous les deux » tente-t-il de plaisanter. « Et puis j’estime que la faute est partagée puisque ta porte n’était pas verrouillée… »

Il devine au regard qu’elle lui lance qu’il marche sur des œufs et décide de changer de stratégie.
« Je viens m’acquitter de ma dette envers-toi » annonce-t-il alors, tirant une bouteille de tequila du sac à dos qu’il a emporté avec lui. Une référence au verre qu’elle lui a fait promettre de lui offrir quand ils se trouvaient dans l’appartement de la vieille dame...  




( Pando )


Dernière édition par Niallán O'Greaney le Dim 9 Juin - 12:48, édité 1 fois
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Marguerite J. Monkee

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MessageSujet: Re: Quelques jours et une mort plus tard.   Quelques jours et une mort plus tard. EmptyDim 2 Juin - 16:13

❝ A la recherche d'informations ou d'un peu de compagnie❞Niallán  & Marguerite

Même si son visage montrait le contraire, Maggie appréciait  l'humour de l'Irlandais, ceux qui la connaissent savent qu'elle n'aurait pas flirté avec lui il y à quelques jours de cela si elle n'était pas à l'aise avec le jeune homme. La femme se retourna tandis qu'elle s'essuyait les mains, apercevant d'ailleurs l'homme reluquer son postérieur sans pudeur. En apercevant sa réaction il décida de sortir une bonne bouteille de son sac pour, selon lui, tenir ses engagements. Maggie s'approcha alors de lui tout en l'observant de haut en bas puis vint se coller, récupérer la bouteille pour la mettre sur le plan de travail à quelques centimètres d'eux puis lui asséna une gifle virulente avant de le plaquer contre le mur, sa cuisse appuyée contre son entrejambe pour lui montrer l'état dans lequel elle était sur l"instanté.

" Ta dette? Tu a fuit comme un enfant. Je suis restée des jours coincée avec une bonne femme dont on a tenté de sauver la vie à cause de ton copain. Je me suis occupée de l'enterrer Niallan mais je me doute bien que ça te passe au dessus n'est-ce pas alors que veux-tu savoir?"
Elle les connaissait elle travaillait avec les KOS, elle avait vécut dans cette ville depuis bien trop longtemps pour savoir que le plus pur des agneaux avait toujours un intérêt à s'approcher de quelqu'un, après tout même elle faisait de même avec les Kos, elle leur rendait service pour recevoir des services. "Tu es inquiet pour les flics c'est ça? Tu penses réellement que je suis l'une de ses pimbeches Nial? Faisons quelque chose soit honnête pour une fois avec moi et je répond à toutes les questions que tu désires me poser." Elle tenait toujours les bras de l'Irlandais contre le mur: "C'était quoi que tu cachais si précieusement pour devoir fuir, drogues ou armes?" Elle finit finalement par le lâcher. Elle savait que c'était la raison de sa fuite, elle était intimement persuadé qu'il n'aurait pas laissé quelqu'un dans le pétrin sans raison, si?

"Tu me dois plus que de la téquila l'Irlandais mais goûtons."


Elle se détourna, s'empara de verres dans le placard avant de poser ceux-ci sur le plan de travail et faire signe à Niallan de servir. Oui elle en avait bien besoin, un bon verre ou plus pour oublier cette journée morbide.

"Pour information tu es effectivement sacrément sexy mais ca ne protégera pas éternellement. Tu as quel âge jeune homme?"
Oui apparemment il n'était pas si âgé que cela. Elle l'observa remplir les verres puis partit s'emparer de citron et de sel tout en lui faisant remarquer que lorsqu'on faisait quelque chose on le faisait correctement. Elle finit par avoir un soupçon de sourire avant de l'informer de la situation: " Ce n'est pas vraiment ma porte ou mon chez moi Sherlock Holmes, c'est une maison de service j'ai mon propre appartement, toujours fermé au cas où des mecs sexy rentreraient chez moi avec de l'alcool."

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Niallán O'Greaney

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MessageSujet: Re: Quelques jours et une mort plus tard.   Quelques jours et une mort plus tard. EmptyDim 9 Juin - 12:47


( a few days and a death later... )
Évidemment, le gérant ne s’attend pas à ce que toute cette sombre histoire soit balayée sitôt son offrande extraite de son sac à dos. Il espère au moins éclairer le visage de la jeune femme d’un sourire mais il n’a même pas le droit à cela. Elle attrape malgré tout la bouteille et la dépose sur le comptoir près duquel ils se tiennent tous les deux.
Niallán ne voit pas la gifle venir. Il faut dire qu’il a toujours vue Marguerite comme une femme de caractère, certes, mais pas du genre violente. Plutôt du genre à avoir une grande gueule qu’à mordre. Il s’est trompé. Maintenant, il encaisse le coup, laissant échapper une exclamation de surprise plus que de douleur alors qu’elle le plaque contre le mur. Il sent la cuisse de la fossoyeur se caler contre son entrejambe, certainement pour le dissuader de faire le moindre mouvement brusque. Se retenant de lever une main pour frotter sa joue endolorie, il plonge son regard un peu ébahi dans celui de sa vis-à-vis qui est visiblement remontée… Il comprend pourquoi. Il a agit comme un lâche le jour de l’explosion, il ne pourra pas le nier. Lui-même s’est senti un peu coupable d’avoir déserté le petit immeuble minable, devenu le théâtre de plusieurs crimes.
Mais l’irlandais n’a pas culpabilisé très longtemps. Il n’a pas provoqué l’explosion, il a mis Maggie à l’abri, il n’est pas responsable de la manière dont la vieille dame a été traitée par Ronnie et au fond : qu’est-ce qu’il aurait pu faire de plus ? Rien. Si ce n’est s’attirer des ennuis. Quant à tout ce qui s’était passé au niveau du rez-de-chaussée : de ça non plus il n’était pas coupable et n’aurait rien pu faire pour aider qui que ce soit !
« Ça ne me passe pas au-dessus » répond Nial, pesant ses mots pour éviter qu’elle n’accentue trop la pression de son corps… Pas qu’il ait vraiment peur d’avoir mal. C’est juste que cette proximité n’est pas tout à fait désagréable et elle pourrait ne pas tarder à le sentir… « Si tu veux tout savoir, ça m’a même beaucoup contrarié. Et soit dit en passant : Ronnie n’est pas mon "copain". »
Mais la jeune femme n’est pas dupe. Elle réoriente immédiatement la conversation, lui faisait comprendre qu’elle se doute parfaitement de la véritable raison de sa venue jusqu’au cimetière d’Oak Wood.  
« Faisons quelque chose soit honnête pour une fois avec moi et je répond à toutes les questions que tu désires me poser » le cingle Marguerite, en continuant de le maintenir contre le mur. À présent, l’irlandais doit lutter contre lui-même pour ne pas afficher de sourire. Cette situation – elle plaquée contre son corps, en position de dominatrice – n’est décidément pas pour lui déplaire et lui donne même quelques idées mal placées… Très mal placées étant donnée la situation. Mais est-ce que c’est sa faute à lui ? Non ! C’est elle qui joue un jeu dangereux…
« C'était quoi que tu cachais si précieusement pour devoir fuir, drogues ou armes ? »
« Tu sais bien que je ne répondrai pas à cette question. Le business, c’est le business » lui répond Niallán, prêt à subir les conséquences…
Mais au lieu de s’agacer, Marguerite relâche son emprise sur le gérant du Maureen’s Tavern. Il est presque déçu que les choses tournent ainsi… Presque.

La jeune femme s’éloigne pour aller récupérer des verres dans un des placards et l’irlandais lui emboite le pas, faisant le service comme il en a l’habitude. Il débouche la bouteille après avoir négligemment déposé son sac à ses pieds. Il se demande s’il doit prendre la parole mais décide de rester silencieux pour laisser à Maggie l’opportunité de s’exprimer et de cracher encore un peu de venin. Les filles aiment ça après tout ! Parler et avoir la sensation d’être entendues, comprises. Il va la laisser vider son sac (et Dieu sait que les nanas en ont toujours des bien fourni) et jouer repentis jusqu’à obtenir satisfaction.
« Pour information tu es effectivement sacrément sexy mais ca ne protégera pas éternellement. Tu as quel âge jeune homme ? »
« L’âge de notre Sauveur Jésus Christ lorsqu’il s’est sacrifié pour son peuple. Mais je ne prévois pas de mourir en martyr, comme tu le sais déjà » commente-t-il en servant à la brunette son sourire le plus charmeur en même temps qu’un shot de Tequila.
Il la laisse déposer la salière et le citron sur la table, gardant un œil sur le grand couteau de cuisine qu’elle dépose à portée de sa main… On n’est jamais trop prudent, n’est-ce pas ?
« Ce n'est pas vraiment ma porte ou mon chez moi Sherlock Holmes, c'est une maison de service j'ai mon propre appartement, toujours fermé au cas où des mecs sexy rentreraient chez moi avec de l'alcool. »
« C’est bon à savoir » lui fait-il savoir en la fixant alors qu’il lèche le dessus de sa main pour venir y déposer quelques grains de sel. Elle soutient son regard, répondant à son sourire alors qu’ils s’enfilent leur premier shot et croquent dans le citron apporté par Maggie. Nial passe sa langue sur ses dents, laissant échapper une petite exclamation amusée avant de secouer la tête, comme si la boisson venait de le revigorer.  
« Pour en revenir à ce qui m’amène ici – au delà du fait de profiter d’une bonne bouteille et de ta charmante compagnie – je venais à te présenter mes excuses. J’ai conscience d’avoir agi comme un salopard mais j’avais effectivement de bonnes raisons de mettre les voiles. Je comptais vraiment aller chercher de l’aide quand je suis descendu avec Ronnie mais, comme tu le sais, les choses ont mal tournées en bas. On s’est retrouvé pris entre deux feux et j’ai paniqué. »
Il pousse un soupir et s’accoude au comptoir, un peu avachi, cherchant à renforcer l’effet du type un peu minable qui cherche à s’amender.
« J’aurai pas dû me tirer mais ça a été plus fort que moi. Appelle ça l’instinct de survie si tu veux. Ça a canardé, ça gueulait dans tous les sens, y avait déjà deux cadavres en bas, c’était assez moche et…et ça m’a rappelé la fusillade du Maureen’s en mars dernier. Tu sais qu’une mère et son bébé sont morts là-bas ? »
Cette fois, Nial ne joue plus vraiment la comédie. Il revoit très nettement Jade mettre au monde l’enfant, essayer de le réanimer sans y parvenir… Il se revoit couvrir de sa veste le corps de la jeune mère décédée et de son nouveau-né placé sur sa poitrine… Cette image lui donne encore quelques cauchemars.
« Enfin bref. J’imagine que t’as vu de sales trucs aussi et qu’ça n’a pas été une partie de plaisir de rester enfermée là-bas pendant trois jours » enchaine-t-il en se redressant pour leur resservir un verre à tous les deux. « Tu veux m’en parler ? »  





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Marguerite J. Monkee

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MessageSujet: Re: Quelques jours et une mort plus tard.   Quelques jours et une mort plus tard. EmptyDim 9 Juin - 22:58

❝ A la recherche d'informations ou d'un peu de compagnie❞Niallán  & Marguerite

Cela en était presque pitoyable, Niallan se défendait comme un adolescent ayant été prit en train de fumer en cachette par ses parents. Selon lui la situation ne lui avait guère plut mais selon la demoiselle, si vraiment  tout cela l’avait dérangeait il aurait agit différemment. Ou alors le problème venait justement parce qu’elle pouvait comprendre sa réaction, étant elle-même mêlée à des histoires peu angéliques avec les KOS. Elle aimait les mecs avec une grosse paire de baloches mais pas que physiquement, elle appréciait que le patron du bar soit imposant dans chaque domaine et là il avait été présent pour elle pour finalement fuir les jambes à son cou, cela la décevait . Marguerite leva les yeux au ciel, incapable de tenir tête à ce genre de spécimen qui tenterait quoi qu’il arrive de bien s’en sortir sans trop en dire. « Pote ou non en réalité je préfère ne rien savoir. » lança la femme lasse de n’entendre que des excuses sortirent de la bouche de l’Irlandais. Il est vrai également qu'elle n'avait pas balancé quoi que ce soit ou qui que ce soit aux flics mais n'irait très certainement pas s'en vanter auprès du gérant du bar, elle n'avait pas fait ça pour des remerciements.

Marguerite haussa les épaules avant de relâcher la prise qu’elle avait commençait sur lui tandis qu’il reconnaissait que tout cette histoire était du business sans pour autant en dire plus. Un jour elle saura peut-être ce qu’il manigancer, pourquoi ? C’était un défi, elle n’était pas non plus une sainte mais ça l’intéressait de savoir dans quoi exactement l’homme traînait, dans quelles magouilles il trempait. « Dommage, tu aurais put savoir ce que les flics m’ont demandé. » Elle jouait elle aussi. Alors qu’elle ramenait tout le nécessaire pour leur permettre de se perdre quelques instant, Niallan surprit la jeune femme en parlant du seigneur comme s’il en était l’un de ses serviteurs. Marguerite resta un moment bouche bée avant de se demander s’il se moquait d’elle ou s’il était totalement sérieux. Il la regardait tout en jetant un œil au couteau non loin d’eux ce qui lui fit secouer la tête et le pousser très légèrement. Elle était peut-être bizarre par rapport aux autres femmes qu’il avait l’habitude de fréquenter mais elle n’en restait pas moins un minimum raisonnable.

« Non toi tu es plus du genre à fuir. Attend sérieusement tu es pratiquant ? » Elle ne pouvait pas lui faire la leçon de moral, Maggie était le genre de femme croyante mais qui s’accordait des pêchés liés aux KOS pour son bien-être personnel. D’ailleurs cela était sûrement risqué de fréquenter un Irlandais un peu trop investit dans les gangs. Il est obligé de rappeler qu’elle apprécie la bonne compagnie et qu’elle avait besoin de se détendre ce soir ? « Je ne t’ai jamais vu à la messe. Donc tu es de ces pratiquant qui pêche et demande le pardon de notre seigneur pour dormir sur ses deux oreilles. » fit-elle remarquer tout en répondant cette fois-ci à son sourire lorsqu’ils évoquèrent une visite possible dans son véritable appartement. Elle l’observait passer sa langue sur sa main avant d’y déposer du sel et Maggie ne put s’empêcher de sourire en le voyant faire. Se rendait-il compte que ce geste était d’un sexy ? Le premier shoot prit, la fossoyeur sautilla très légèrement sur place avant de rigoler en voyant son invité balancer sa tête en arrière comme si l’extase venait de le foudroyer. « Tu veux te risquer à venir sonner chez moi ? »

Et puis la discussion se mit à dévier sur les deux morts au rez de chaussé et sans s’y attendre elle reçut des excuses en bonne et due forme sur l'abandon du jeune homme ce jour-là. Elle ne pourrait certifier que le patron du bar était sincère sur ses explications mais en tout cas il s'excusait, peut importe ses attentions alors la brunette le suivit, limitant en s’accoudant  au bar dans un élan de compassion inégalable mais non dupe. Il se mit à évoquer la mort de deux personnes là où ils avaient été bloqués quelques jours, Maggie ne craignait pas ce genre de chose c’était son quotidien cependant elle était totalement empathique, comprenant que Nial puisse, si ce qu’il disait était sincère, éprouver de telles émotions face à la mort. Il se mit ensuite à parler de la fusillade survenu quelques mois plus tot, bien entendu qu’elle s’en souvenait, tout le monde ici était au courant de ce qui s'était passé. « Oui je suis au courant. » finit finalement par avouer Marguerite sans pour autant lui dire si elle s’était occupée de cette mère et son nouveau né mort à la naissance. Madame Monkee se redressa alors sans quitter Niallan du regard. Elle se devait d’être honnête avec lui : «  Ca a juste été fatiguant psychologiquement je pense que comme tu peux le remarquer je ne suis pas très choquée par la mort, elle fait partie de moi. Il paraît que ca met mal à l’aise les gens. Mais je comprend ce que tu dis, si ca t'intéresse tu peux m'en parler cependant.» Un gars traînant dans un gang pouvait être choqué par la mort c'était normal tout comme Marguerite pouvait être triste face à un enfant éteint. En étant une femme elle en devenait peu attirante elle le savait. Marguerite souffla légèrement pour finalement finir par avouer en soufflant au jeune homme : « Je n’a pas très envie de me livrer ce soir. » La demoiselle venait de lui faire signe de les servir à nouveau et lorsque cela fut fait, elle s’empara de la main de L’irlandais. Le regard de la brunette se perdit dans celui en face d’elle tandis que le bout de sa langue vint lécher la main de l’homme en face d’elle avant d’y déposer du sel. Elle lui fit signe de boire son shoot alors qu’elle déposa déjà entre ses dents le quart de citron qu’elle lui invitait à croquer.
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Niallán O'Greaney

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MessageSujet: Re: Quelques jours et une mort plus tard.   Quelques jours et une mort plus tard. EmptyLun 10 Juin - 15:52


( a few days and a death later... )
Pour être tout à fait honnête, Niallán n’a pas spécialement envie d’entendre la locataire des lieux lui faire un récit détaillé des quelques jours qu’elle a passé dans l’appartement. Il se doute à quoi ça a ressemblé de toute manière. Lui-même, après le temps passé dans la laverie, s’est retrouvé coincé au Maureen’s jusqu’à ce que le smog disparaisse. Il a dû gérer la troupe de bras cassés qui ont tenté de braquer le manoir du North Side et ça n’a pas été une partie de plaisir ! De son côté, personne n’est mort bien sûr mais selon lui, ça reste comparable.
L’irlandais fait pourtant bonne figure, n’oubliant pas le but de sa venue. S’il veut obtenir de Marguerite qu’elle continue de la fermer, mieux vaut la caresser dans le sens du poil et la garder comblée…
« Ca a juste été fatiguant psychologiquement » finit-elle par enchainer, avant d’évoquer brièvement son métier et l’image qu’en ont les gens.
Nial fait partie de ceux qui ne sont pas particulièrement à l’aise avec la mort et tout ce qui l’entoure. Certainement parce qu’enfant, il a été traumatisé par les circonstances de la mort de sa propre mère qui a agonisé des mois durant et dont lui et son frère devaient s’occuper en l’absence de leur père. La voir pousser son dernier soupir a été autant une épreuve qu’un soulagement pour le gamin qu’il était alors.
« …Mais je comprend ce que tu dis, si ça t'intéresse tu peux m'en parler cependant »  
« Nah, pas la peine. J'suis du genre à éviter de m'appesantir sur le passé » s’empresse-t-il de répondre, attrapant son shot de Tequila pour l’avaler en omettant de lécher un peu de sel comme le voudrait la tradition.
Cet alcool n’est clairement pas son préféré mais il s’est dit qu’il conviendrait à la jeune femme à cause de ses origines… Origines qu’il ne connaît pas au fond mais puisqu’elle est basanée et un peu typée, il a supposé qu’elle apprécierait.
Il dépose sèchement son verre sur la table, essayant de chasser pour de bon les images de la femme enceinte qui avait reçue une balle en pleine tête puis accouché d’un enfant mort dans son bar…

« Je n’ai pas très envie de me livrer ce soir » lâche tout à coup son interlocutrice avant de lui faire signe de les resservir une fois de plus. Niallán ne se fait pas prier.
« Tes désirs sont des ordres » lui sourit le gérant du Maureen’s qui s’exécute.
Ses sourcils se froncent légèrement lorsqu’elle attrape sa main et l’approche de son visage pour la…lécher ? Il lui faut une demie seconde pour comprendre son petit manège et qu’un sourire amusé apparaisse sur ses lèvres légèrement engourdies par l’alcool déjà ingéré. Elle place ensuite le quartier de citron entre ses dents, l’incitant silencieusement à avaler son verre de Tequila pour ensuite venir le cueillir sur ses lèvres.
Est-ce qu’il a loupé un épisode ? Il y a quelques instants seulement, elle le plaquait violemment au mur pour lui faire la leçon et maintenant ? Est-ce que c’est un piège ? Est-ce qu’elle compte le chauffer puis le laisser sur le carreau pour se venger de la manière dont il l’a traitée il y a quelques jours de cela ? C’est envisageable…c’est certainement ce qu’il ferait.
Mais peu importe. Niallán n’est pas du genre à laisser échapper une telle occasion. Et puis si elle pense lui avoir joué un mauvais tour et avoir ainsi obtenu sa revanche, elle sera possiblement plus encline à aller dans son sens.
L’irlandais avale donc le shot puis approche son visage de celui de Marguerite. Il se saisit (un peu maladroitement) du citron et mord dedans à pleines dents, faisant couler un peu du précieux jus sur son menton. Au lieu de chercher à l’essuyer, il laisse négligemment retomber le morceau d’agrume sur le comptoir entre eux et vient capturer les lèvres de la jeune femme. Il l’embrasse avidement au-dessus du meuble qui les sépare, attendant de voir ce qu’elle prévoit pour la suite…





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MessageSujet: Re: Quelques jours et une mort plus tard.   Quelques jours et une mort plus tard. EmptyLun 10 Juin - 22:49

❝ A la recherche d'informations ou d'un peu de compagnie❞Niallán  & Marguerite

Il semblait ne pas être qu'un crétin finit même si pour être honnête Marguerite avait de fortes envie de le taper comme précédemment. Il avait cette gueule d'ange à qui on ne pouvait résister et Dieu sait qu'il devait sûrement en jouer. Mais Maggie n'était pas mauvaise, surtout elle savait qu'elle n'était pas non plus toute blanche alors elle relâcha vite l'affaire, se promettant de ne pas hésiter à lui remonter les bretelles s'il faisait encore de la merde. Il l'avait aidé alors qu'elle était prise dans le smog, il avait un bon fond? Ok c'était peut-être aussi profond que les tombes dans lesquelles Maggie avait l’habitude d'aller mais peu importe, il ne lui devait rien au final. Une bouteille, une soirée entre vivants ferait l'affaire.

Plusieurs choses la titillait: Il semblait évident qu'il devait avoir au moment du smog des armes ou de la drogue sur lui. Personnel ou trempait-il dans les affaire de ce gang irlandais? IL était sûrement préférable de ne pas trop l'approcher et pourtant c'était véritablement jouissif d'échanger quelques mots avec lui, il était évident qu'elle n'était pas sortie depuis un moment et que cette soirée tombait à pic. Niallan se voulait obéissant, trop d'ailleurs, Marguerite se doutait qu'il désirait quelque chose mais il était hors de question qu'elle demande quoi que ce soit, elle allait profiter de sa soirée en attendant de comprendre les réelles intentions de l'homme en face d'elle. Elle aimait séduire elle qui s'était retrouvée dans une très longue relation, quasiment la seule, avait décidé qu'elle ne se retiendrait pas de flirtait avec un homme ce qu'elle faisait, rentrant dans un jeu du chat et de la souris avec le bel Irlandais. Mais celui-ci, lorsqu'il récupéra distraitement le morceau de citron coincé dans la bouche de la brunette provoqua un rire chez la demoiselle qui se vit arrosée au menton par du jus qu'elle essuya délicatement avant qu'elle n’aperçut l'homme lui foncer dessus pour capturer ses lèvres avidement.

Oui elle le draguait mais elle ne pensait pas que l'homme craquerait aussi rapidement. C'était le deuxième irlandais qu'elle draguait qui se voulait sanguin, peut-être étais-ce un truc d'irlandais. Il l'embrassait avidement et Marguerite bouillonna rapidement, la tequila aidant un peu ou l'empêcher d'être raisonnable. Elle déposa sa main sur le torse du patron du bar, profitant discrètement de toucher ce qu'elle pouvait au passage Elle était assez surprise qu'il cède aussi rapidement à ses lèvres alors qu'elle ne s'était pas encore montrée tactile avec lui. Elle stoppa ce baiser après avoir jouer quelques secondes avec sa langue et ses lèvres qui avaient pour la peine un gout légèrement acidulé et salées.

"Je dois avouer que j'ai comme des envies de me confesser.d'une chose qui ne s'est pas encore produite. J'imagine que ce n'est pas un énorme pêché que de céder à certains plaisir charnels avec une bonne chrétienne?" Ok l'acte restait pas accepté avant le mariage mais l'avantage ce qu'elle pouvait être absolue de ses fautes et il est vrai que s'il était pratiquant (à ses heures) le mal était moins important? Quoi après tout elle était célibataire, belle et attrayante pourquoi ne pas profiter d'un étalon en face d'elle qui partageait de la tequila avec elle. La soiré n'allait peut-être pas totalement déraper après tout "Dis le moi tout de suite si tu souhaites que je reste professionnel." Elle lui adressa un sourire angélique tout en venant essuyer le peu de citron qu'il lui restait sur le menton grâce à ses lèvres.  "Je souhaite juste être accueillante et de bonne compagnie en  plus de te trouver assez canon." Oui elle avait oser le dire.
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Niallán O'Greaney

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MessageSujet: Re: Quelques jours et une mort plus tard.   Quelques jours et une mort plus tard. EmptySam 29 Juin - 11:52


( a few days and a death later... )
Il s’attend à peu près à tout. A ce qu’elle lui rende son baiser autant qu’à recevoir une gifle de sa part. Ce serait assez malvenu étant donnée la manière dont elle se comporte avec lui depuis quelques instants mais ça reste une option envisageable. Cette fois cependant, il ne se laissera pas faire.  Cette fois cependant, il ne laissera pas couler. Elle a eu droit à sa gifle de punition et il ne lui en accordera pas une seconde. Question d’honneur.
Mais ce n’est heureusement pas l’option que choisit la fossoyeuse. Elle glisse sa langue à l’intérieur de sa bouche, cède à son baiser en faisant glisser sa main jusqu’à son torse. Après quelques instants pourtant, elle s’écarte, mettant un terme à leur échange de salive.
« Je dois avouer que j'ai comme des envies de me confesser d'une chose qui ne s'est pas encore produite » lui glisse Marguerite dans un sourire charmeur. « J'imagine que ce n'est pas un énorme pêché que de céder à certains plaisir charnels avec une bonne chrétienne ? »
« Amen à ça » plaisante Nial « Et puis le confessionnal n’est pas fait pour les chiens. Faut faire vivre nos chers prêtres. »
Avec ses camarades de beuverie, il aurait ajouté quelque chose comme "pour éviter qu'ils tuent ce trop plein de temps sur les bras en tripotant des p'tits gosses", mais là, il se maitrise et évite.
Il adresse un clin d’œil complice à la jeune femme puis reprend la bouteille en main pour les resservir. Il n’aura décidément pas perdu sa journée. Bien sûr, son but n’est pas encore atteint puisqu’il n’a pas encore la certitude que Maggie ne parlera pas de lui aux flics, mais c’est un bon début, non ?
« Dis le moi tout de suite si tu souhaites que je reste professionnel » minaude la brune en s’avançant vers lui pour venir couvrir son menton de baisers et le débarrasser du jus de citron qui y a précédemment coulé. « Je souhaite juste être accueillante et de bonne compagnie en  plus de te trouver assez canon. »
« Oh mais ton attitude est tout à fait professionnelle. Je me sens pleinement accueilli et tu es de très…très bonne compagnie » la taquine l’irlandais en venant glisser ses mains dans son dos et en agrippant fermement son postérieur sur le mot "bonne". Il se sert de sa prise pour soulever la jeune femme du sol et la hisser sur son comptoir de cuisine, face à lui.

Il bouscule son verre en se faisant et le liquide transparent qu’il contenait se renverse sur la surface lisse. Peu leur importe. Il embrasse à nouveau la jeune femme alors que ses mains se glissent sous son débardeur aux senteurs de terre. Il ne tarde pas à l’en débarrasser et ses lèvres quittent progressivement celle de la jeune femme pour explorer son cou et poursuivre l’exploration jusqu’à sa poitrine.
Mais Maggie l’interrompt pour le déshabiller à son tour et il l’aide du mieux qu’il peut, revenant la dévorer dès qu’il en a l’occasion. Il a toujours su qu’ils en arriveraient là. Pas forcément aujourd’hui, pas forcément dans ces circonstances, mais dès l’instant où elle a mis les pieds dans son bar et commencé à lui faire la conversation, il a senti une certaine tension entre eux. Il se dit qu’il faut qu’il en profite parce qu’ils ne remettront certainement jamais le couvert. L’irlandais à tendance à ne jamais taper deux fois au même endroit… Ça ferait passer un message qu’il n’a pas envie de diffuser. Il ne cherche pas encore de partenaire régulière et a envie de profiter de sa jeunesse tant qu’il le peut encore. Un jour, il songera à fonder sa propre famille, se posera quelque part, mais ce jour n’est pas arrivé et Marguerite n’est pas la femme qu’il lui faut, il le sait déjà.
Mais en attendant, il va profiter de ce qu’elle a à lui offrir…
Il la débarrasse de son jean puis de son sous-vêtement avant d’enfouir sa tête entre ses cuisses. Les femmes d’abord ! C’est comme ça qu’il a été éduqué et il se tient à ce principe. Il se sert donc de sa langue pour contenter la jeune femme, espérant qu’elle lui rende assez vite la pareille… Il se donne à fond, tente de découvrir ce qui lui plait, se laisse guider par ses directives tant physiques qu’orales.




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Marguerite J. Monkee

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MessageSujet: Re: Quelques jours et une mort plus tard.   Quelques jours et une mort plus tard. EmptySam 13 Juil - 20:10

❝ A la recherche d'informations ou d'un peu de compagnie❞Niallán  & Marguerite
Ces deux jeunes gens étaient particulièrement attirés l’un vers l’autre, question de karma ou d’hormones impossible à l’expliquer. Autant ils étaient le genre de connaissances à se dire d’aller se faire foutre quand leur caractère devenait lourd et à la fois ils allaient vraiment se faire foutre sur un autre plan lorsque l’attirance devenait trop forte. Ce mec était sournois, macho mais en même temps il y avait quelque chose qu’elle voulait creuser et ce n’était pas sa tombe, bon ok même si l’idée lui traverserait sûrement l’esprit un de ces quatre. Il était sexy, intelligent et l’alchimie était naturelle, les laissant ainsi s’abandonner à un moment de séduction qui finit par vite dégénérer contrairement à l’ordinaire : l’alcool ? Peut-être que cela était juste voué à se passer, c’était inévitable, on en joue pas au jeu du chat et de la souris sans que le chat n’obtienne une fois gain de cause. Niallan savait y faire avec elle, non pas qu’elle se laisse berner par ses réelles intentions mais étant certaine de ne pas tomber dans un piège dangereux, elle profitait de ce jeu, elle aussi avait des pulsions après tout, elle n’était pas qu’une sainte dans cet histoire, elle n’aurait qu’à aller se confesser en espérant ne pas tomber sur lui à l’église.

S’il la flattait sur son professionnalisme mal placé aujourd’hui elle mettrai cela sur le fait que le taux de testostérone de Niallan lui avait fait tourner la tête. Car oui elle ne dérapait jamais au travail, mais bon nous aurions qu’à dire qu’elle faisait une pause. Il avait ce truc qui la rendait dingue de toutes les façons possible c’était à la fois énervant et excitant. Alors l’homme passa à l’action en renversant de la bonne boisson en faisant s’asseoir Maggie sur le comptoir. Au final heureusement qu’ils étaient dans cette maison de service car la demoiselle était du genre un peu maniaque. Et puis ce qui devait arriver arriva, ils passèrent une éternité à se faire plaisir mutuellement, l’un à l’autre et en combinant le désir à l’unisson. On ne pouvait pas leur enlever ça, ils étaient particulièrement en osmose et doués pour donner du plaisir à leur partenaire de jeu. La passion était présente, quelques objets en subirent les conséquences tout comme leur corps qui respectivement furent parfois mit à mal face à leur côté bestial lorsque l’adrénaline était trop forte. Et comme toute chose à une fin, avant qu’elle ne recommence, les deux amants se retrouvèrent dans le lit de la demoiselle, les draps et leurs corps souillés, reprenant leur respiration, nus comme des vers. La demoiselle remit légèrement ses longs cheveux détachés en place tandis qu’allongée collée à Niallan, sa tête se trouvait au creux de l’épaule du jeune homme. Elle passa délicatement son doigt de a hanche de l’homme jusqu’à atterrir sur son ventre qu’elle caressait du bout des ongles : « C’est le moment ou tu prend tes jolies fesses et tu suis la règle de ne jamais rester dormir chez une femme avec qui tu viens de t’envoyer en l’air ? » Pourquoi un homme ne savait pas dormir, pensait-il que la femme se faisait des idées ? A vrai dire c’était stupide, ils avaient but comme une caserne de pompiers et venaient de s’adonner à des plaisirs certes agréable mais épuisant, en tout cas Maggie était très à l’aise nue ainsi et comptait bien rester dans ce lit sans se sentir obligée de ramener Niallan à sa porte. C’était la deuxième fois qu’elle craquait ainsi mais cela elle n’allait très certainement pas lui dire qu’elle s’était déjà envoyée en l’air avec son ancien barman.
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Niallán O'Greaney

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MessageSujet: Re: Quelques jours et une mort plus tard.   Quelques jours et une mort plus tard. EmptyDim 14 Juil - 16:57


( a few days and a death later... )
Détendu, Nial prend ses aises sur le lit de la locataire des lieux. Il se dit qu’il ne devrait sans doute pas être aussi à l’aise à proximité d’un cimetière mais ces choses là ne se contrôlent pas… Et puis s’il y a des fantômes dans les parages, il se dit qu’il a certainement illuminé leurs mornes existences de non-êtres avec sa performance ! Il prend une longue inspiration tandis qu’il contemple le plafond de la chambre, satisfait de ses prouesses, puis expire doucement tout l’air de ses poumons. Son souffle est un peu court à cause de l’effort physique plutôt intense que Marguerite l’a contraint à fournir. Il ne va pas s’en plaindre remarquez…
Après avoir rattachés ses longs cheveux d’ébène, la jeune femme vient justement s’appuyer lascivement sur son corps dénudé, caressant sa peau halée de sueur du bout des doigts.

« C’est le moment ou tu prends tes jolies fesses et tu suis la règle de ne jamais rester dormir chez une femme avec qui tu viens de t’envoyer en l’air ? » le questionne-t-elle sans chercher à croiser son regard ou à voir sa réaction.
Un sourire amusé apparaît sur les traits du barman qui laisse le doute planer un instant.
« Je ne suis pas si pressé que ça » finit par lui lâcher Niallán, caressant distraitement le haut du dos de la jeune femme, s’attardant un instant sur son épaule avant de redescendre, encore et encore. « Et puis mes jolies fesses et moi, on n’est pas à fond sur les règles. Elles sont faites pour être enfreintes de toute façon. T’es pas d’accord ? »  
Là-dessus, il cherche à attirer son attention et de sa main libre, remonte son menton pour la contraindre à le regarder. Sitôt que leurs regards se croisent, il l’invite à changer de position pour qu’ils puissent à nouveau s’embrasser. Elle finit par venir s’étendre sur lui, ses bras croisés sur le haut de son torse, son visage à porté de ses lèvres, son menton reposant sur ses mains sagement jointes.
Il lui sourit – de ce sourire charmeur qu’il dégaine en présence de la gente féminine et lui ouvre pratiquement toutes les portes… Et pas mal de cuisses.
« Si tu me laisses quelques instants, je pourrai passer un coup de téléphone et me faire remplacer pour le restant de la soirée. Tu m'auras toute la nuit pour toi » propose l’irlandais.
Cette idée a l’air de séduire la brune qui l’autorise à suivre ce plan. Il dépose un nouveau baiser sur ses lèvres, lui donne une bonne tape sur les fesses puis la pousse gentiment pour pouvoir se relever.
« En échange, tu dois me promettre de ne rien renfiler. Je n’en ai pas terminé avec toi et tes mignonnes petites fesses » lui glisse Niallán en allant récupérer son téléphone portable dans le fond de sa poche.
La jeune femme lui réplique quelque chose et il laisse échapper une exclamation amusée en guise de réponse, avant de faire mine d’être occupé à consulter l’écran de son portable. Marguerite profite de ce laps de temps pour vaquer à ses occupations et ne réalise pas que, discrètement, il la photographie. Un sauf conduit. Il s’arrange pour que le décor soit bien visible et que les employeurs de la jeune femme – s’il devait en être réduit à la faire chanter – puissent reconnaitre leur jolie petite baraque !

« La salle de bain est par où ? C’est la seule pièce qu’on n’a pas explorée je crois » lui lance-t-il dans un haussement de sourcils taquin. Elle le renseigne et il part dans cette direction pour passer son coup de fil.
Il en profite pour vider sa vessie et se rafraichir un peu. C’est qu’elle l’a contraint à bien puiser dans ses réserves d’énergie la fossoyeuse ! Il profite de son passage dans la pièce d’eau qui ne paie pas de mine pour fouiller un peu l’armoire à pharmacie, mais en trouve rien de vraiment compromettant.
Après quelques minutes, il ressort et n’est pas surpris de ne pas retrouver Maggie sur le lit. Il entend du bruit du côté de la cuisine depuis quelques instants. Il la retrouve en train de se préparer un petit casse-croûte.
« Tu partages ? » demande-t-il en venant à sa rencontre, déposant son téléphone, placé en mode enregistrement sur le comptoir.
Une fois encore, il la gratifie d’une petite tape sur l’arrière train. Une petite claque punitive cette fois-ci.
« Dis donc, qu’est-ce que j’avais dis ? » fait mine de la sermonner Niallán en tirant doucement sur le tissu de son propre teeshirt qu’elle a enfilé. « Tu pouvais déjà plus supporter de pas m’avoir sur toi, c’est ça ? » Il appuie son menton sur son épaule alors que ses mains caresse les tétons de la brune à travers le teeshirt puis descendent toujours plus bas. « Au moins t’as pas remis ta culotte » constate-t-il en atteignant l’entrejambe de Marguerite qu’il commence à caresser, la gênant dans ses gestes.  « J’ai encore faim de toi… » lui lâche-t-il en commençant à embrasser son cou. « Mais je serai pas contre un petit sandwich avant ça. »
Il lui mordille gentiment le lobe de l’oreille puis ouvre la bouche pour qu’elle y glisse un morceau de fromage qu’elle vient de couper.
« Merchi M’dame » sourit-il, la bouche pleine.  




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Dernière édition par Niallán O'Greaney le Lun 22 Juil - 11:36, édité 2 fois
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Marguerite J. Monkee

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MessageSujet: Re: Quelques jours et une mort plus tard.   Quelques jours et une mort plus tard. EmptyLun 15 Juil - 13:58

❝ A la recherche d'informations ou d'un peu de compagnie❞Niallán  & Marguerite
Niallan ne ressemblait en rien à Lloyd, pas que le pompier n’était pas performant mais l’irlandais avait prit la peine d’explorer plusieurs pièces, s’y était donné à cœur joie et en plus de cela il restait allongé là, se voulant doux et particulièrement  attentionné. Marguerite ne savait pas trop quoi en penser, cherchait-il encore à obtenir quelque chose de particulier d’elle ou était-il contrairement à ce qu’elle aurait put penser, plus doux que le connard auquel il ressemblait ? En tout cas il lui parla des règles à enfreindre ce qui fit sourire la demoiselle, tout semblait tellement simple pour lui, il pêchait et allait se confesser ? En même temps Maggie n’était pas un ange, elle était bien une intermédiaire pour les KOS et cacher des corps pour eux ne l’empêchait pas de dormir. « Je suis d’accord tu as de jolies petites fesses. » s’amusa la fossoyeuse en ne parlant plus des règles mais en faisant semblant de ne pas comprendre la véritable question et parler de son anatomie : après tout ses membres valait le coup d’être mis à l’honneur. Il proposa de se faire remplacer, elle n’allait pas se faire prier et se priver d’une bonne compagnie pour la nuit. « Mais dis donc c’est qu’un Irlandais a très faim aujourd’hui mais ca me va. » Elle ne pt s’empêcher de rigoler à son haussement de sourcil dragueur lorsqu’il évoqua à nouveau leur partie de jambes en l’air dans les différentes pièces de cette maison de service. « Je te montre, ne t’inquiètes pas pour ça, va bien falloir que tu finisse par laver ce beau postérieur. »Sur quoi il laisse échapper une exclamation amusé. Elle lui désigna la salle de bain, avant de ne pas écouter ses ordres et choper le tee-shirt du jeune homme pour se couvrir un minimum c’est on jamais, la cimetière était fermé mais ce n’était pas le moment d’être nue si un membre des KOS venait lui demander un petit service.

Elle était alors dans la cuisine, sortant différents fromages français qu’elle se faisait expédier chaque mois, puis elle mit sur le feu saucisse et œufs. Alors qu’elle coupait un morceau de fromage, alors que la bouteille de vin ne traînait pas très loin, elle eu juste le temps de retourner sa veste que l’amant vint lui claquer les fesses plus fortement ce qui eu le don de la faire rire mais laisser sa bouche entrouverte quelques secondes. « Je vais te désobéir plus souvent si c’est ça tes punitions. Va falloir que tu m'apprennes à être sage si tu veux venir de temps en temps.» révéla la brunette alors que l’homme avait déposé son menton sur l’épaule de la fossoyeuse et recommençait ses caresses. Ce gars savait y faire avec elle on ne pouvait pas le nier, alliant tendresse et désir. De sa main libre, elle parvint à la tendre derrière elle afin de venir palpait le postérieur de l’Irlandais toujours nu qui lui révélait encore vouloir la dévorer. Ses pulsions se ravivaient mais par chance il fallait rassasier l’irlandais d’une toute autre manière avant ca, Marguerite avait encore le temps de manger un petit quelque chose. Des frissons parcouraient tout son corps mais elle se contrôla afin de lui mettre ce morceau de fromage, rigolant encore face à son comportement. « Le chef est servit.» Maggie pencha un peu plus sa tête en arrière succombant lentement aux caresses de cet homme puis elle parvint à se défaire de son étreinte pour lui faire face et le dévorer du regard lentement, elle n’avait pas envie de perdre une miette à cette vue jouissive. Sa langue vint jouer avec sa bouche puis à l’intérieur de celle-ci avant de finir par lui donner à son tour la fessée, ses mains déjà engagée sur son postérieur. « Tu t’occupes de ça pour moi un instant ? » lui demanda-t-elle en lui désignant les saucisses et œufs qui cuisaient dans cette poêle avant de l’embrasser dans le cou et filer vers le frigo à un mètre de là. Elle finit par l’ouvrir, observa un moment à l’intérieure avant de se courber en ne se formalisant pas avec le principe de ne pas porter de sous-vêtements :  « Bière, vin, soda ? » Elle lui envoya un sourire charmeur  en s’appuyant sur la porte du frigo : « Tu  sais que si je n’avais pas besoin de reprendre des forces, je ne te laisserai même pas manger en paix ? Pas certaine que tu sortes d’ici en forme, je vais heureusement pour toi te pomper toute ton énergie. »
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MessageSujet: Re: Quelques jours et une mort plus tard.   Quelques jours et une mort plus tard. EmptyLun 22 Juil - 11:34


( a few days and a death later... )
« Je vais te désobéir plus souvent si c’est ça tes punitions. Va falloir que tu m'apprennes à être sage si tu veux venir de temps en temps. »  
Niallán ne relève pas la remarque. Il n’est pas certain de repasser par ici avant un bon moment. Il faut dire que la proximité du cimetière le dérange un peu… Marguerite est parvenue à lui faire oublier le côté creepy de leur localisation avec ses talents, mais maintenant qu’ils ne sont plus dans le vif de l’action… De toute façon, il a fait le déplacement pour un but précis, ni plus, ni moins. Bon, OK, il y a eu un petit plus tout de même, mais qui n’était pas tout à fait imprévu. L’irlandais avait pleinement conscience de l’attirance de la jeune femme à son égard et comptait bien en user pour parvenir à ses fins si l’occasion se présentait, ce qui a été le cas. Ceci dit, il part souvent du principe que toutes les femmes le désir alors ce n’est sans doute pas très objectif !
Bien décidé à tirer un maximum de profit de cette situation, il lui réclame à manger et Maggie ne se fait pas prier pour lui offrir ce qu’il réclame et, après une étreinte, elle s’écarte pour l’observer de bas en haut. Il y a quelques années, Nial n’aurait pas douté une seule seconde de ses attraits. Mais il commence à prendre de l’âge et doit maintenant s’entretenir. Son corps est sculpté, mais il l’est au prix de quelques efforts aujourd’hui et d’une alimentation équilibrée. Enfin plus ou moins, il garde un bon métabolisme malgré tout. Elle a l’air d’apprécier ce qu’elle voit de toute manière et il ne tracasse donc pas plus que cela en sentant son regard peser sur sa silhouette et ses attributs.
Elle finit par se rapprocher et lui rendre la monnaie de sa pièce sous la forme d’une tape sur le postérieur qu’il encaisse en riant.
« Tu t’occupes de ça pour moi un instant ? »
« I’m all about the service Darlin’ » lui répond-t-il en usant volontairement de son accent irlandais qui les fait souvent toutes craquer… Il met donc la main à la pâte, se rapprochant des poêles où chauffe leur diner improvisé. Il s’accorde quelques secondes d’inattention, le temps d’observer le fessier de sa partenaire du soir alors qu’elle s’aventure du côté du réfrigérateur.
Niallán opte pour une bière lorsqu’elle lui demande ce qu’il veut boire, puis redonne son attention aux fourneaux un instant.
« Tu  sais que si je n’avais pas besoin de reprendre des forces, je ne te laisserai même pas manger en paix ? Pas certaine que tu sortes d’ici en forme, je vais heureusement pour toi te pomper toute ton énergie. »  
« Oh ne t’en fais pas pour ça. Je ne suis pas aussi fragile que tu l’imagines ! J’ai de la ressource » lui fait-il savoir dans un sourire goguenard, avant de couper les flammes sous les aliments qu’il estime cuit à point.
Elle se charge de leur installer des assiettes sur le comptoir et il dispose les œufs et saucisses dessus avant de laisser négligemment retomber la poêle brûlante dans l’évier. Il revient au comptoir et se sert de pain de mie pour se composer un sandwich, piochant dans le fromage que la jeune femme a découpé précédemment.
« Et dis-moi… ça te fait pas flipper de vivre au beau milieu d’un cimetière ? » la questionne-t-il en mordant voracement dans son sandwich. Il a beau dire, reprendre des forces et s’alimenter lui fera assurément du bien… « Remarque, j’sais pas ce qui est pire… Vivre au milieu de cadavres ou à proximité de tous ces enfoirés de Siders ! Ils t’emmerdent pas trop ? …T’es bien au courant que c’est un de leur plus gros lieu de vente ici ? » renchérit Nial, se demandant si elle n’aurait pas un arrangement avec eux.
Inconsciemment, il lance un coup d’œil en direction de son portable, face contre le comptoir, qui enregistre cet échange.





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MessageSujet: Re: Quelques jours et une mort plus tard.   Quelques jours et une mort plus tard. EmptyVen 9 Aoû - 16:04

❝ A la recherche d'informations ou d'un peu de compagnie❞Niallán  & Marguerite

Ces irlandais, toujours en train d’utiliser leur accent pour vous faire fondre, bon le charme était là mais ce n’est pas comme si c’était nouveau pour Marguerite. Après tout l’irlandais n’avait pas à sortir son accent pour la faire succomber il était parfois énervant la preuve avec le coup qu’elle lui avait déjà porté mais en même temps leur flirt habituel était toujours présent et elle n’avait pas besoin de plus pour s’être laissée aller avec lui dans une partie de jambes en l’air inoubliable il fallait bien le reconnaître. Alors elle le taquinait gentiment sur le fait de reprendre des forces mais il ne se laissa pas démonter même si il croqua généreusement dans le sandwich une fois fait. Affront son bon fromage français dans un sandwich mais elle ne lui en tiendrait pas rigueur...en tout cas pas pour cette fois, elle lui sourit délicatement tandis qu’il se mit à évoquer ses nuits passés ici et surtout les riders.  « En réalité je préfère le terme « morts » mais comme je t’ai déjà dis j’ai mon appartement en ville et je ne suis pas du genre à avoir peur. Surtout que j’estime que les vivants sont enclin à te vouloir du mal contrairement aux disparus. » déformation professionnel ou conviction personnelle, Maggie adorait son travail et les défunts elle voulait leur apporté du repos. » Elle s’empara d’un morceau de fromage qu’elle mangea avant de froncer les sourcils quand à sa remarque sur les riders.

« Non tu sais moi les rumeurs ne m’intéressent pas et puis avec tout ce qui s’est passé dernièrement je vois des gens de toutes sortent débarquées ici, ils se montrent tous respectueux j’imagine que je ne suis pas le genre de personne qui peut intéresser les embrouilles même si je sais me défendre. Mais par contre toi pourquoi autant de haine à leurs égards ? Ils marchent sur tes plats de bande ? Le business c’est le business tu vas me redire ? » Oui pourquoi autant de haine à moins de faire partie d’un gang rival ? Ca serait quand même le ponpon de s’être envoyée en l’air pour sa petite affaire à elle avec les KOS qui était également un autre gang. Cela risquait d’être dangereux mais comme on le dit si bien un homme voit souvent une femme comme bête et faible, prête à tomber dans leur filets. Elle se rapprocha de lui, se collant à son corps pendant que le maître s’empiffrait avant d’avoir ce sourire en coin qu’on lui connaissait tous : « Toi tu n’es pas un irlandais banal n’est ce pas ? » Il aurait beau lui dire non il faudrait qu’elle en sache un peu plus ou alors évite ce genre de rendez-vous pour sa sécurité mais cela serait dommage vu l’attirance qu’il produisait sur elle. Elle pourrait bien trouver quelqu’un d’autre mais il faut avouer qu’il était très plaisant de se retrouver en plein ébat avec lui ou même juste en train de flirter, elle perdrait la un beau gibier qu’elle avait envie de connaître malgré une réelle peur qu’elle tentait de ne pas afficher. Si il était un de ces irlandais elle devrait peut-être se renseigner un peu plus concernant leurs affaires avec les Koss, juste histoire de se rassurer un petit peu ou alors son flaire n'était pas au top pour une fois et c'était juste un cuivil comme les autres qui avait perdu des siens ou en avait marre de l'anarchie dans cette ville.

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MessageSujet: Re: Quelques jours et une mort plus tard.   Quelques jours et une mort plus tard. EmptyDim 18 Aoû - 10:09


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Nial a du mal à se faire à l’idée que qui que ce soit puisse volontairement rechercher la compagnie des défunts. OK, c’est sans doute hyper calme, mais ça a un côté très glauque… Et puis merde, si on veut être peinard cinq minutes, on s’enferme dans un coin ou on part en randonnée ! Ça lui paraît beaucoup plus sain… Ce qui le dérange surtout, c’est que Marguerite soit aussi sexy. Si elle était moche et grosse - il doit bien l’avouer – il ne serait sans doute pas autant choqué de la voir se perdre dans un environnement pareil… Bref. Il hoche la tête quand elle lui répète qu’elle rejoint son appartement dans le centre-ville de Chicago chaque soir et ne se sert pas vraiment de cette maisonnette de fonction. Tant mieux. L’idée de la savoir en train de pioncer au milieu des tombes lui laisse un petit goût de terreur dans le fond de la gorge…
« Ben sauf si c’est des esprits vengeurs qui veulent faire un maximum de victimes et possèdent des petits filles pour te découper le visage avec une paire de ciseaux de couture. Alors là, t’es dans une belle merde » commente-t-il, le plus sérieusement du monde. Parce qu’il croit qu’il y a une vie après la mort et est persuadé que certains esprits peinent à trouver le repos et finissent par revenir hanter les vivants pour les punir…
C’est pour cette raison qu’il se rend si souvent à l’église et adresse régulièrement des prières au Seigneur. L’irlandais veut s’accorder les bonnes grâces du type dans les nuages au cas où sa mère défunte ou une de ses victimes déciderait de venir hanter ses fesses un beau jour.  
Sa trouille a l’air d’amuser Maggie et ça le vexe un peu, mais il évite de le montrer et garde la face.

Et puis ils en reviennent au sujet des South Siders qui "hantent" les lieux à leur façon depuis de nombreuses années, au grand dam des Black Crows qui aimeraient nettoyer le cimetière d’Oak Wood de cette vermine…
Maggie prend ça comme un genre de racontar dont elle se moque parce que...parce qu’elle n’a jamais eu d’emmerdes avec eux ? Parce qu’ils se montrent RESPECTUEUX ? Depuis quand est-ce que ces trous du cul de cafards sont respectueux ?  
« Mais par contre toi pourquoi autant de haine à leurs égards ? Ils marchent sur tes plats de bande ? Le business c’est le business tu vas me redire ? »
« Pourquoi autant de haine ? Ma p’tite, crois-moi, tu ne veux pas me lancer sur ce sujet ! » ricane Niallán avec une évidente amertume. « Tu trouves qu’ils sont respectueux en vendant leurs saloperies dans un cimetière dont la moitié des occupants est certainement mortes à cause d’une addiction quelconque ? Ils font ça à deux pas de pauvres parents éplorés dont l’ado vient de clamser d’une overdose ! Ils attendent à la sortie qu’un type qui vient de perdre sa femme d’un cancer à la con décide qu’il a besoin d’un truc pour oublier sa douleur. C’est…pas moral de faire ça dans un cimetière » conclut Nial dans une grimace écoeurée.
Bon, ils ne font pas beaucoup mieux mais… Non, c’est différent. Ils ne vendent pas à n’importe qui et ils coupent bien leur came, contrairement aux Siders. Et puis c’est comme ça, c’est tout ! Les irlandais n’aiment pas les blacks et ils n’aiment pas non plus les italiens, pour des raisons ancestrales et c’est comme ça.

Mais la pression retombe vite alors que Maggie vient se lover contre lui tandis qu’il mord une fois encore dans son sandwich, voracement.
« Toi tu n’es pas un irlandais banal n’est ce pas ? »
« Je suis un dieu parmi les leipreachán » plaisante-t-il, utilisant le terme irlandais pour citer les iconiques leprechauns, ignorant que la jeune femme n’est pas vraiment en train de le complimenter mais cherche plutôt à lui tirer les vers du nez...
Il avale totalement sa bouchée, passe un coup de langue sur ses dents pour la forme, puis cherche à embrasser de nouveau la brune. Elle se laisse faire et il la coince entre son corps et le meuble de la cuisine, déposant son sandwich à moitié terminé sur le comptoir, jugeant qu’il a repris assez de force. Il y a une dizaine d’années encore, il n’aurait même pas eu besoin de ça et aurait pu la satisfaire trois fois d’affilés… Mais il est comme tout le monde, il vieillit. Et dans son milieu, pouvoir vieillir est une bénédiction, donc Niallán va éviter de s’en plaindre.  
Il descend dans le cou de la jeune femme, glisse une de ses mains sous le vêtement qu’elle a renfilé précédemment pour atteindre sa poitrine et pouvoir la pétrir doucement.
« Et d’ailleurs, tant qu’on parle de nos origines » reprend-t-il entre deux baisers « tu m’as tout l’air d’avoir des traits un peu…exotiques » choisi prudemment Nial qui ne veut pas la vexer avec un terme trop raciste. « Parle-moi un peu d’toi pendant que j’occupe ma bouche autrement… Parce que tu m'as tout l'air de pas être une américaine banale toi non plus. »
Là-dessus, il dépose un dernier baiser sur les lèvres de la fossoyeur avant de venir s’agenouiller devant elle, s’intéressant à son entrejambe en levant les yeux vers les siens pour lui montrer qu’il l’écoute malgré ce que sa langue s’apprête à faire pour elle…




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Marguerite J. Monkee

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MessageSujet: Re: Quelques jours et une mort plus tard.   Quelques jours et une mort plus tard. EmptyLun 9 Sep - 21:57

❝ A la recherche d'informations ou d'un peu de compagnie❞Niallán  & Marguerite

Maggie écarquilla les yeux, ce Niallan semblait très superstitieux mais à vrai dire elle serait hypocrite si elle n’admettait pas qu’elle avait déjà pensé aux esprits vengeurs, le truc c’est que le fait de l’entendre de sa bouche ça devenait bien trop réel : « Ok, la tu marques un point mais je ne préfères pas y penser j’aimerais parvenir à dormir la nuit, je me dis qu’aller à la messe le Dimanche peut aider à ce qu’un esprit vengeur ne s’en prenne pas à moi...non ? » Oui la question était sérieuse car il faut avouer qu’elle n’était pas non plus une sainte, son travail pour les KOS n’était pas très sain.

Il suffit qu’il lui annonce qu’elle ne devait pas le lancer sur le sujet des South-siders pour que la belle brune lui sourit à nouveau, non pas pour se moquer mais justement pour le lancer sur le sujet car cela l’intéressait réellement, elle avait envie d’en connaître un peu plus sur cet homme et ses pensées. En l’écoutant elle réalisa qu’il n’avait pas vraiment tord, elle aurait même put avouer qu’il était bien plus sincère qu’elle sur les avis envers les SS mais elle sentait surtout que sa morale à lui s’arrêtait là où il le désirait, elle tenta alors un franc : « Oui en même temps je pense qu’on à tous notre moral et on l’arrête là ou ça nous convient. Je ne suis pas une sainte mais personnellement sur ce sujet je dirait simplement que vendre ça tout court n’est pas très moral, tu pourrais en vendre à des fous qui tapent leur gosses une fois en manque, qui demande à leur femme de passer sur le trottoir pour se payer une dose, à un homme qui propose à une ado de tester et la rend accro...Mais je comprend ton point de vue, j’aimerai bien qu’ils s’en aillent d’ici. » Mais elle savait que l’Irlandais en vendait, c’était certain et pourtant cela ne l’empêchait ni de le fréquenter, ni de vouloir le connaître d’avantage ou de se mêler de ce qui ne la regardait pas, chacun ses affaires.

Et puis elle commença une nouvelle approche, beaucoup plus tactile, usant de ses charmes pour le flatter afin de connaître sa véritable implication dans un gang. Il mordait dedans aussi fort qu’il mordait dans son sandwich. Marguerite rigola en même temps que lui lorsqu’il utilisa un nouveau terme irlandais avec cet accent qui lui allait à ravir. Puis rapidement Niallan reprit le dessus façon de parler, abandonnant le sandwich à son triste sort sur ce comptoir et la plaquant contre son corps et le comptoirs, lui dévorant les lèvres avec envie. Il avait ce truc qui la faisait craquer, se laissant aller avec lui alors qu’il commençait à nouveau à parcourir son corps avec ses mains et sa bouche qui lui caressait la nuque de doux baisers enivrants. Selon lui elle avait des traits exotiques, cela la fit sourire alors qu’il lui réclamait déjà de lui parler un peu d’elle tandis qu’il voulait à nouveau lui redonner du plaisir. Le pire dans tout cela c’est qu’il était sérieux, il parvenait à écouter ce qu’elle avait à lui répondre tout en alliant l’agréable à l’utile.

« Tu n’as pas tord je ne suis pas banale mais je ne suis pas autant surqualifié que toi, je ne suis pas une déesse. » petit sourire en coin : « Ma mère est française et mon père soldat américain. Je ne sais pas trop quoi te dire. J’ai été élevée comme une enfant puis une femme devant se battre et se défendre. Je pratique le krav-maga depuis que je suis gosse et mon père adorait me tester pour me forcer à me relever. Université j’étais la relou studieuse et maintenant je suis la en face de toi. C'est assez exotique pour un Irlandais?» Quoi ? Elle n’allait pas non plus trop en dire, comme pour le sexe c’était gagnant gagnant, si il ‘e dévoilait pas trop elle ferait pareil et pour le moment elle en avait beaucoup dit : « Et toi alors ? Raconte-moi mon bon chrétien ton histoire et qui tu es à part un Irlandais séduisant qui vend. »

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