LA MAJ EST LÀ POUR RAVIVER LES CŒURS ! Pour toutes les nouveautés, c'est par ici que ça se passe !
N'hésitez pas à aller jeter un coup d'oeil aux postes vacants du forum et aux scénarios des membres dans ce sujet !
Le groupe CITIZENS est à éviter à l'inscription (hors scénarios et postes vacants). Les autres groupes ont besoin de chair fraîche. On a surtout besoin de BLACK CROWS et de KINGS OF SPEED alors n'hésitez pas à venir renforcer leurs rangs.
crédits : Avatar & Signa : Me messages : 392 quartier : Downton Loop - Vit désormais dans le loft de sa petite-amie
Sujet: Re: It's just violence - Elijah Mer 18 Oct - 14:38
- Elijah.
Il imprime, acquiesce.
- C'est toi qui voit, il y a un de ces connards d'arabes qui est encore ouvert un peu plus loin ou un pub irlandais que j'affectionne assez à quelques rues. Mais va falloir marcher et prendre ce vent en pleine gueule, autrement dit ça risque de piquer un peu.
Il se redresse, piqué au vif, pas sûr d’avoir bien compris ce qu’Elijah vient de sortir sur un ton naturel, des plus normal. « Un de ces connards d’arabes ». Josef se sent atteint au cœur de ses origines tunisiennes mais décide de ne pas s’emballer, serrant le poing en silence. Manquerait plus que ça qu’il ait à faire à un de ces connards de raciste qui crache sur la gueule de ces épiceries qui monopolisent le marché du travail américain mais que l’on est si heureux de trouver encore ouvert à 23 heures pour venir trouver de quoi se saouler un peu plus la gueule.
- Quoi que, c'est encore léger.
Josef le suit sans broncher, haussant simplement les épaules sur la démarche à suivre. Il s’en fout de savoir si ça piquera ou non, à ce stade il n’est plus à ça près. Entre ce qu’il est actuellement entrain de digérer en dose de colère et d’amertume et la douleur qui lui frappe encore les tempes et toutes zones de son visage, il est encore capable d’encaisser quelques pas vers un bar.
- Tu sais quoi, vu ta tronche, je pense qu'on va éviter de trop se mettre à la lumière.
Le pompier ricane, moqueur.
- Parce que tu crois que ta gueule à toi est présentable sous les néons et lampadaires ?
Rien de plus agressif en type de luminosité si vous voulez avoir l’air encore plus amoché que vous ne l’êtes déjà. Les deux hommes effectuent quelques pas vers l’épicerie concerné et Josef saisit l’occasion pour observer Elijah évoluer dans un milieu qu’il déteste visiblement. Celui des étrangers. Il ne manque ni son regard de mépris, ni le soin qu’il prend à esquiver le regard de l’employer qui nous accueille d’un « Bonsoir » teinté d’un léger accent que Josef se plait à entendre. Dommage qu’un mec avec qui il s’entend si bien devait être aussi con sur ce genre de sujet… parce que le pompier le sent venir, ce type bien lourd sur l’histoire du patriotisme et toute la merde qui en découle derrière.
- Des bières ou ça ?
Josef ouvre la bouche mais se fait devancer.
- Tu sais quoi, répond même pas, c'est pour moi. - Merci. La prochaine sera pour moi.
Il le laisse prendre une bouteille, puis deux, s’amusant sournoisement de le laisser payer, se demandant si son comportement aurait été le même s’il était au courant de ses origines. C’est presque mesquin de ne rien dire mais il en prend un plaisir coupable. Un peu comme les homophobes se liant d’amitiés avec un gay sans qu’ils ne le sachent. Mains dans les poches, le pompier suit son nouveau compagnie qui va peut-être s’avérer éphémère et aspire une bonne bouffée d’air frais non sans manquer de grimacer sous la douleur.
- Au pire, j’habite pas loin. Promis c’est pas un rancard. - T’es sûr ? Tu vas m’foutre le doute, tu m’invites chez toi là quand même.
Il est tout aussi taquin que son vis-à-vis, chercherait presque à le foutre mal à l’aise pour plaisanter un peu. Pourquoi se priver lorsque l’on se doute qu’il semble sensible sur certains sujets fâcheux pour lui. Et Josef décide même d’enfoncer un peu plus le clou.
- Va pour chez toi sauf si passer la soirée avec un de ces connards d’arabes te pose problème ?
Ca sort naturellement, avec le sourire en prime et les mains dans les poches. Il jauge, ne le lâche pas du regard. Josef n’a pas honte de ses origines et il lui est tout simplement impensable qu’il puisse en taire l’existence pour ne pas froisser ce nouvel « ami ».
- Origines Tunisiennes. Il sort de sa poche un paquet de clope tout écrasé où il doit lui en rester au moins une qu’il glisse entre ses lèvres, accompagnant Elijah. Et t’as vu, j’t’ai rien volé. Il écarte une main comme pour appuyer ses mots. Comme quoi les clichés n’sont pas toujours vrais.
Il ne peut pas être plus ironique et ce, sans se défaire de son sourire. Josef est bien conscient qu’il ne refera pas la mentalité d’Elijah à ce sujet mais il ne voit pas pourquoi il devrait hésiter à l’ouvrir alors que son vis-à-vis ne s’est absolument pas gêné pour laisser voir sa façon de penser sur les étrangers. Il tire une première bouffée sur sa clope un peu abîmée avant d’en souffler la fumée et de reprendre, toujours le sourire aux lèvres.
- Alors, est-ce que le bon vieux patriote Irlandais que tu es va prendre le risque de se mélanger à nous autres ?
Il pousse encore un peu plus le vice, en est parfaitement conscient mais sur une note d’humour dont il ne se sentait pas encore capable à ce stade. Et pourtant. Cette soirée est surprenante sur bien des plans.
Elijah Haynes
ADMIN ٩(◍•ᴗ•◍)۶❤
crédits : pandamalin | tumblr | we♥it messages : 218 quartier : west side, l'appartement au-dessus du Penitent ; possède une maison isolée aux abords de Chicago légalement grâce à sa fausse identité (David Castle), retapée entièrement par ses soins physique : il a le dos lacéré, seul et unique cadeau de sa génitrice lorsqu'il était plus jeune. il a également quelques cicatrices de blessures par balle, dont l'une se trouve à sa clavicule suite aux tirs portés par les serbes lors des attentats de noël. mais aussi une cicatrice à la cuisse droite d'un coup de couteau. ses bras sont remplis de tatouages, sa main gauche porte encore fièrement la croix celtique, allégeance à l'irish mob faite à new-york, ainsi qu'un petit coeur sur l'intérieur du poignet, similaire à celui que Jade s'est fait en même temps
Sujet: Re: It's just violence - Elijah Mar 24 Oct - 23:35
Josef M. Miller
crédits : Avatar & Signa : Me messages : 392 quartier : Downton Loop - Vit désormais dans le loft de sa petite-amie
Sujet: Re: It's just violence - Elijah Sam 4 Nov - 20:42
- Ai-je vraiment le choix ?
Le choix, il l’a entièrement. A lui de voir s’il préfère bousiller ses chances de passer une bonne soirée ou s’il favorise ses avis tranchées et arriérées. Josef n’a pas loupé le regard du barbu lorsqu’il lui a claqué sans pudeur aucune que ses origines trempaient dans ce qu’il détestait. C’est con parce que ça lui terni un peu l’image qu’il était entrain de se faire de ce type totalement inconnu. Après tout, nous ne sommes pas parfaits et chacun porte ses tares et défauts. Disons que ça serait celle d’Elijah si ce dernier pouvait consentir à foutre de côté ses rancœurs stupides envers des êtres humains normalement constitués aux origines différentes.
Le pompier ne s’attendait pas à ce sourire mais il imagine que c’est mieux que rien vu les circonstances. Mieux encore, il l’invite à poursuivre sa route. Reste plus qu’à espérer que ça n’est pas un de ses putains de malade près a éventrer tout étranger croisant étroitement leur route. Josef le suit malgré tout sans broncher, un léger sourire sur les lèvres. Vous voyez, avec un peu d’effort, il n’est pas si compliqué d’ouvrir les yeux sur la simple humanité. Les deux hommes s’approchent d’un bar que le pompier observe en silence, essayant de voir au travers les carreaux grossièrement colorés dont il ne voit que des lumières vacillantes et quelques ombres qui s’agitent, accompagnés d’éclats de voix de personnes qui, de ce qu’il entend, respire la joie de vivre et de boire. Quelques coups de clés et Elijah ouvre la porte, poursuit de quelques pas et le pompier peut observer une obscurité teintée d’un faible éclairage des néons extérieurs. Ca donnerait presque l’allure d’un décors de film des années 80.
- Installe-toi, fais comme chez toi. - T’es sûr ?
Il le taquine encore ouvertement sur ses origines et ne voit pas pourquoi il devrait rougir de ces dernières. Fallait pas lui tendre la perche et lui faire comprendre qu’il possédait visiblement une allergie pour ça. C’est certainement pas Josef qui se privera de lui rappeler avec qui il est. Il vient rejoindre le manteau d’Elijah sur le canapé et s’y avachit sans retenu avant de se redresser, jetant des regards presque curieux sur les environs. Il fait sombre, à croire que l’animal vit finalement dans une sacré grotte… Mais ça n’est pas pour le déranger. Après l’agitation, le mouvement et les lumières, après la haine, les cris, la colère et la rancœur, un peu de calme ne lui fait pas de mal. Ses pensées divergent vers Daya et Josef cligne des yeux, refusant de se gâcher ce court moment d’accalmie. Elle reviendrait hanter ses pensées bien assez tôt, voir d’ici quelques heures où il se repassera en boucle le film qu’il vient de vivre. Judith, les photos, tous ces putains de mensonges montés de toute pièce pour les berner tous les deux.
- Qu'est-ce qui t'a mené là-bas, sans indiscrétion ?
… Ou peut-être qu’Elijah le forcera à refoutre le nez dans la merde. En quelque sorte. Josef récupère le verre d’alcool et remercie son comparse d’un signe de tête silencieuse.
- Et ne me dit pas le hasard, il y a toujours une cause derrière l'errance des gens. - C’est que t’es un poète toi en vrai.
Il ricane, un peu amer c’est vrai. Rien contre l’autre bourru mais plutôt pour la situation alors qu’il avale une première gorgée de whisky, appréciant cette chaleur le long de son œsophage.
- Une femme.
Sa voix lâche ces deux mots d’un ton presque mauvais, abattu.
- J’me suis juste rendu compte qu’elle me menait en bateau depuis quelques temps et qu’elle s’en tapait une autre – ou presque – dans mon dos. Tout ça pendant que j’essayais comme un clébard de la récupérer.
Josef lâche un rire acide, bourré d’ironie. Dire qu’il la mauvaise est un putain d’euphémisme. L’image de Daya s’est métamorphosée, laissant derrière elle celle d’une femme qu’il déteste plus que tout ce soir, se sentant blessé, manipulé et souillé. Il sait même pas pourquoi il en parle à ce parfait inconnu mais au point où il en est, qu’est-ce que ça peut foutre ? Ca s’trouve il ne reverra jamais ce type – ce qui serait dommage, il l’aime bien – mais même, ça n’est pas le sujet. Il a l’impression que partout où il passera, elle sera là. Toujours. Dans un geste, un parfum, une voix ou une image. Foutu obsession.
- Quand je l’ai su j’ai été réglé mes comptes. Ou plutôt j’ai été gueulé tout ce que j’avais à lui gueuler avant de me casser. Puis j’ai marché et la suite, tu la connais. Ta gueule aussi la connait. Il marque une pause alors qu’il glisse un regard amusé vers Elijah. La mienne aussi d’ailleurs.
Il grimace légèrement sous ce léger soubresaut qu’est son rire avant de reprendre une autre gorgée d’alcool qui soulagerait presque les douleurs brûlantes qu’il porte sur le visage. Josef n’oublie pas Judith qui doit être entrain de cuver sa propre rage de son côté, à sa façon. Il resonge à cette femme qu’il considère sincèrement comme l’une de ses amies les plus proches et il n’est pas surprit de ressentir une véritable peine pour elle. Puisque si le pompier se trouve être le cocu de l’histoire – ou presque -, Judith possède désormais la place de celle que l’on utilisé, manipulé… pour qui, pour quoi ? Il n’en sait foutrement rien mais il imagine aisément l’humiliation qu’elle doit ressentir. Josef se promet encore une fois qu’il ira la voir, lui parler, s’excuser aussi d’avoir été un poil brutal et au pire des cas, ils iront se bourrer la gueule tous les deux comme ils savent si bien le faire.
- Bref, j’suis pas sûre qu’elle mérite vraiment à ce que j’aille me faire péter la tronche dans ce club mais ça a eu le mérite de me faire du bien. Au moins pour quelques heures.
Le pompier n’est pas dupe, les émotions finiront pas retomber à un moment ou à un autre. Josef se laisse un peu aller contre le dossier du canapé, son regard se perdant sur les murs de l’appartement assombri. Ses yeux captent quelques photos de femme, la même à chaque fois. Il les pointe du doigts, verre dans la main.
- C’est ta frangine ? Ta nana ? C'est pour elle que t'étais là bas ?
Ou peut-être à cause d'elle.
Elijah Haynes
ADMIN ٩(◍•ᴗ•◍)۶❤
crédits : pandamalin | tumblr | we♥it messages : 218 quartier : west side, l'appartement au-dessus du Penitent ; possède une maison isolée aux abords de Chicago légalement grâce à sa fausse identité (David Castle), retapée entièrement par ses soins physique : il a le dos lacéré, seul et unique cadeau de sa génitrice lorsqu'il était plus jeune. il a également quelques cicatrices de blessures par balle, dont l'une se trouve à sa clavicule suite aux tirs portés par les serbes lors des attentats de noël. mais aussi une cicatrice à la cuisse droite d'un coup de couteau. ses bras sont remplis de tatouages, sa main gauche porte encore fièrement la croix celtique, allégeance à l'irish mob faite à new-york, ainsi qu'un petit coeur sur l'intérieur du poignet, similaire à celui que Jade s'est fait en même temps
Sujet: Re: It's just violence - Elijah Jeu 9 Nov - 18:14
Josef M. Miller
crédits : Avatar & Signa : Me messages : 392 quartier : Downton Loop - Vit désormais dans le loft de sa petite-amie
Sujet: Re: It's just violence - Elijah Mar 5 Déc - 20:51
- Ma nana.
Josef reporte son regard sur la photo de la fameuse et observe ses traits. Jolie femme, il faut l’admettre.
- C'est pour elle que j'y vais, pour lui éviter des choses qui, par le passé, ont tout compliqué.
Le pompier fronce les sourcils, un peu étonné par cette réponse, pas sûre de comprendre la bonne façon. Parce qu’en premier lieu, Josef se dit que ce grand con va pour taper des merdeux pour éviter de le faire sur sa propre meuf. Et ça c’est un aspect beaucoup moins plaisant à ses yeux, voir intolérable. Le pompier n’est pas des plus chiants, ni de ceux qui jugent aisément mais pour le coup, il n’est pas certain d’être très ouvert d’esprit s’il apprend qu’Elijah a tendances à tabasser sa nana. Il peut tolérer énormément de choses et bien des défauts, mais pas celui-là. Il boit une gorgée d’alcool et attend, Elijah semble hésité à poursuivre, grimaçant.
- J’ai…
Le pompier ne dit rien, se contente d’attendre patiemment, de voir quels mots sortiront d’entre les lèvres abîmées de son comparse de cette nuit et peut-être d’autres encore.
- J'ai tendance à perdre facilement le contrôle. Je... Je n'suis pas de ceux qui parviennent à tendre des mains quand l'autre est à terre.
Silence, toujours et écoute, surtout. Josef essaie de comprendre, de saisir ce qu’Elijah tente de lui dire avec ses mots, sa maladresse.
- Je le fais pour elle, pour ce que j'aimerai... avec elle.
Le pompier l’observe dans cette pénombre. Il n’a presque plus rien à voir avec le type qu’il a vu dans l’arène, avec cette rage dans les yeux, quasi animale. Renfrogné, primaire, violent, voir meurtrier. Il est dingue de voir à quel point un homme peut changer, à quel point sous la carapace presque indestructible d’un égo se cache de nombreuses fractures dont celles qu’exposent Elijah. Josef le trouverait presque méconnaissable de le voir si calme, si « fragile ». Presque incertain.
- J'ai l'espoir naïf de croire que, tout ça Tout ça pourrait m'aider alors que ça ne fait que tout empirer. Ça calme, tu l'as dit. Mais ça calme un temps, sur l'instant, et ça, par contre, tu t'en rendras compte bien plus tard dans la nuit.
Le pompier se laisser aller contre le canapé, buvant une nouvelle gorgée d’alcool brûlant. Il ne sait pas si il en arrivera là un jour, au point d’avoir ce besoin viscérale d’aller se défouler dans cette arène de fou furieux pour éviter de faire une connerie, de virer dingue et meurtrier. Il contemple son verre un instant, perdu dans ses propres pensées. Si Josef a foutu un pied là-bas, c’est en partie à cause de Daya mais surtout de cette colère qu’il éprouvait à son égard et qui s’est, pour l’instant, atténuée. Il sait qu’au fond Elijah à raison… Les heures vont défilées, la colère ressurgira encore et encore jusqu’à ce qu’elle s’atténue et laisse derrière elle un goût amer de trahison et de d’humiliation. Nouvelle gorgée.
- Je n’me fais pas d’illusion ouais.
Ca lui tombera bien assez tôt sur le coin de la gueule, quand il pensera avoir gérer le truc pour le ramener quelques heures en arrière et revoir son visage en larme, presque suppliant pour qu’il l’écoute, essaie de comprendre. Chose qu’il a refusé en bloc, préférant fuir rapidement son appartement au risque de tout détruire dans un accès de colère noire.
- Je t’avoue qu’à ce stade de la soirée, j’ai du mal à lire entre les lignes.
Josef se redresse, curieux et interrogateur vers son compagnon.
- Tu fais ça pour pas lever la main sur ta meuf ou pour pas faire de conneries ?
La question est sincèrement étrange mais surtout cash et sans détour. Josef n’est pas du genre à tourner mille ans autour du pot, préférant annoncer les choses de manières directs avec un minimum de tact même si cette fois, il est vrai qu’il en manque un peu. Pas sûr qu’Elijah ne s’en formalise vu le personnage. Josef fait tourner l’alcool dans son verre, liquide ambré qui commence à doucement lui réchauffer les veines et apaiser les douleurs sur son visage. Il aimerait pouvoir rester dans cet état pour plusieurs heures encore, oubliant tout ce qu’il s’est passé ce soir et ne pas avoir à subir la chute qui l’attend tout à l’heure.
- Les mots c’est définitivement pas ton truc mais va falloir être un peu plus clair parce que j’suis pas certains que ça m’aidera à mieux te comprendre au fur et à mesure.
Le « ça », il le désigne et c’est tout simplement son verre de whisky. Il n’est pas certain que l’alcool soit son meilleur allié ce soir pour comprendre ce qu’Elijah tente de lui dire avec ses propres termes. Bourru jusqu’à la moëlle, il n’a pas l’air d’être le meilleur orateur du coin.
- Ca t’aide à ne pas aller commettre l’irréparable, c’est ça ?
Il recoupe ce que ce mec lui a dit au début, lorsqu’ils fumaient leur clope à l’extérieur après s’être passablement bien amochés. Quelque part, ça prendrait tout son sens… Cogner des mecs pour ne pas aller en tuer d’autres. Déverser sa haine ailleurs plutôt que de faire le pas de trop qui pourrait le conduire là où il ne faut pas : Entre quatre planches ou entre quatre mur derrière de barreaux.
Elijah Haynes
ADMIN ٩(◍•ᴗ•◍)۶❤
crédits : pandamalin | tumblr | we♥it messages : 218 quartier : west side, l'appartement au-dessus du Penitent ; possède une maison isolée aux abords de Chicago légalement grâce à sa fausse identité (David Castle), retapée entièrement par ses soins physique : il a le dos lacéré, seul et unique cadeau de sa génitrice lorsqu'il était plus jeune. il a également quelques cicatrices de blessures par balle, dont l'une se trouve à sa clavicule suite aux tirs portés par les serbes lors des attentats de noël. mais aussi une cicatrice à la cuisse droite d'un coup de couteau. ses bras sont remplis de tatouages, sa main gauche porte encore fièrement la croix celtique, allégeance à l'irish mob faite à new-york, ainsi qu'un petit coeur sur l'intérieur du poignet, similaire à celui que Jade s'est fait en même temps
Sujet: Re: It's just violence - Elijah Jeu 14 Déc - 21:34