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 chains & whips ø tomislav

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Maxime A. Adler

Maxime A. Adler

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MessageSujet: Re: chains & whips ø tomislav   chains & whips ø tomislav - Page 2 EmptyMar 3 Juil - 1:22

chains & whips

30.12.17
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Le serbe ne met pas longtemps à exécuter l’ordre de la maitresse de maison et à l’instant où il dépose ses lèvres charnues sur les siennes, rouges, Maxime se laisse complètement aller. Un lourd frisson plein de sens déchire ses entrailles, l’électricité redouble dans l’air et son corps se soulève sous l’excitation croissante. Plus les secondes passent et plus l’employé se sent pousser des ailes et brave les interdictions, la réserve dans laquelle il se tenait jusque-là à ses pieds, une sorte de pudeur due aux multiples interdictions de Maxime, s'efface. Ses mains remontent alors que Maxime enserre le cou mince entre ses bras, laisse ses ongles courir sur la peau découverte du haut du dos et de la nuque, laisse échapper des soupirs lorsque son souffle lui est rendu. La température de son corps grimpe à une vitesse incroyable, alors qu’elle croyait ne pas pouvoir avoir plus chaud, sa peau ne supportera bientôt plus la couche pourtant fine de vêtement qu’elle porte. Pas un moment elle ne pense à sa peau morcelée, à moitié cicatrisée, encore sensible, rosie, en pleine reconstruction. Elle ne pense pas aux lignes qui la parcheminent, qui lui tracent une carcasse en patchwork.

La violoniste joue de ses doigts elle aussi, enfonce les griffes dans la peau, dessine d’autres lignes sur la peau parfaite du serbe, celle qui n’a aucune marque, elle, ni du temps ni d’accident, elle passe ses doigts appuyés et se familiarise avec la texture lisse, le parfum, le grain de l’épiderme étranger. Les gestes de Tomislav, pendant ce temps, perdent davantage leur pudeur et il s’impose entre ses jambes, à peine un pas entre ses genoux écartés mais retenus par la longueur, la coupe et la rigidité du tissu qui compose sa jupe fourreau. Elle voudrait l’arracher, se laisser de l’espace à elle aussi, mais le jeu et la tentation sont ce qui rend le moment excitant.

De toutes façons, le serbe semble lire dans l’esprit de la brune alors que ses doigts remontent le long de sa chemise et en défont petit à petit les boutons. Maxime ne lui refuse pas ce plaisir, cette fois, lui laisse outrepasser cette interdiction explicite de ne pas agir sans son ordre auparavant claqué. Il s’interrompt quelques secondes, reprend son souffle et elle lui jette un regard brûlant, l’incite plus qu’elle ne lui interdit et le slave ne semble pas en perdre une miette. Il a heureusement bien compris que presser les choses est inutile, alors il met du cœur à faire durer les choses au plus grand plaisir de Maxime dont la peau morcelée se dévoile petit à petit.

Lorsque les derniers boutons sont défaits, Maxime le laisse la contempler quelques longs instants, redresse ses épaules, en joue d’une pour faire glisser une des manches, se met en scène de manière subtile. Elle sent le regard brûlant glisser sur les traits de son visage pour dévier sur la courbe de son cou, glisser sur les contours de son épaule puis sa poitrine. Elle se nourrit de ce long moment contemplatif, ne refuse aucunement d’être admirée de la sorte. Sa lingerie est claire, elle aussi, la couleur blanche immaculée, la dentelle est fine, le tout correspond parfaitement à sa taille et réhausse les teintes dorées et roses de sa peau abimée. Dans cet instant étrange, qui ne dure que quelques secondes avant qu’il ne revienne à ses lèvres, Maxime oublie la timidité, oublie de cacher. Elle montre, au contraire, redresse la poitrine, laisse échapper un son de plaisir alors que l’employé dépose ses lèvres le long de sa mâchoire, puis de son cou. Les mains de la musicienne semblent se remettre à composer dans la nuque, ses ongles dérivent, s’accrochent puis caressent pour revenir se planter ensuite sans aucune tendresse, simplement au rythme des baisers, suaves, déposés dans son cou.

Adler perçoit les mains de Tomislav qui font leur chemin, remontent doucement, s’aventurent sur des territoires où il n’a aucunement le droit d’aller mais, comme une faveur qu’elle lui accorde ; elle lui laisse le plaisir d’explorer. Quelques secondes, lentes, alors qu’il les dépose sur ses hanches. Ses lèvres se dépose sur le haut de sa poitrine et Maxime ne cache pas les symptômes de la fièvre qui la consume.

Et puis, voilà qu’il fait le geste de trop. Ses mains glissées sur les cuisses encore couvertes remontent jusqu’aux genoux et essaient alors de se frayer un chemin sous le tissu noir haut-de-gamme. Ce à quoi Maxime répond par un geste sorti de nul part, un geste qui lui tire un violent frisson le long de sa colonne vertébrale, mélange de pouvoir et de plaisir. Sa main s’élance dans l’air et le plat de s’abat sur la joue du serbe qui porte la sienne à sa bouche, son regard quitte un instant celui de sa patronne pour se trouver à terre puis sur la main, vérifiant que les griffes pointues et rouges n’aient pas découpé la peau de sa lèvre.

Maxime est stupéfaite de son geste. L’espace d’une seconde la surprise se lit autant sur le visage de l’un que de l’autre, mais elle s’efforce de reprendre contenance, comme si le script des jeux auxquels elle s’adonne lui est connu.  

« Vous n’avez pas mon autorisation. »

Les dialogues, elle ne les connaît pas, ne s’est jamais entendue les dire. Ils viennent de quelque part où l’inspiration authentique prend naissance, elle n’a aucun contrôle contrairement à l’apparente dynamique de l’échange entre elle et le serbe. La brune récupère sa main qu’elle utilise pour le pousser à s’éloigner. D’un geste léger et pourtant rapide, elle se défait de sa chemise, devenue une entrave plus qu’un objet de séduction et elle se retrouve en soutien-gorge, la peau du haut de son corps pleinement dévoilé au regard à nouveau soumis de Tomislav. Douce punition pour lui.

« Enlevez-moi ça. »

Son doigt désigne le tissu banal et sans valeur que porte le slave. C’est une insulte à son goût exquis, à cet instant particulier. La musicienne l’observe se défaire du tissu, laisse glisser son regard envieux sur la peau pâle, lisse et immaculée. Elle y dépose sa main, enfonce ses ongles, glisse ses doigts sur le papier sans impair, sans accroc puis le repousse encore pour qu’elle ne soit plus à sa portée. De la même main, tranquille, elle récupère sa canne et se redresse doucement, tâchant de maintenant son équilibre. Elle a perdu quelques centimètres de hauteur mais lui inflige un regard cruel alors qu’il est à genoux. La punition vient à nouveau s’appliquer sur la jambe sur serbe alors qu’elle le gratifie d’un coup du bois effilé de sa béquille sur-mesure. Ni trop violent, ni trop léger, juste de quoi lui rappeler :

« Tenez-vous droit. » Elle s’interroge sur la suite, est-elle si sure d’elle-même ? Quelle est la marche à suivre ? Son visage exprime les réflexions qui lui passent par la tête avant qu’elle ne prenne une nouvelle décision.
« Finalement, levez-vous. » Maxime l’observe faire alors qu’il tâche d’être le moins maladroit possible. C’est presque émouvant, cette créature longiligne loin d’être habituées aux manières qui font le standard des Adler. Alors qu’il est enfin debout, la brune se retourne, le dos nu et parcheminé barré par l’accroche en dentelle. Elle tourne sa tête vers la gauche pour lui adresser un regard en coin et ne pas le perdre de vue, puis :

« Défaites la fermeture éclair. Et seulement la fermeture éclaire, vous n’avez aucunement le droit de poser vos mains ailleurs. »

 

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MessageSujet: Re: chains & whips ø tomislav   chains & whips ø tomislav - Page 2 EmptyLun 30 Juil - 18:06

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EXORDIUM.
Sa peau brûlée ne le repousse pas. Au contraire, elle le fascine. Il a envie de toucher le moindre des sillons, d’en tracer les formes, les courbes, pour s’en souvenir et le graver dans un coin de sa mémoire. Tomislav n’est pas con, il sent bien que ce qu’il se passe là est unique. Un moment doré, hors du temps, qu’il n’aurait peut-être plus jamais la chance de vivre. Pas avec cette femme qui le rendrait presque fou tant il la trouve désirable avec ses airs impérieux, à se dévoiler tissu par tissu.
Les lèvres du serbe s’aventure sur sa mâchoire, le haut de sa poitrine, respire son parfum de luxe, ses mains se faisant plus aventureuses sur le haut de ses cuisses qu’il aimerait un peu plus écarter…

La gifle fait écho dans la pièce et le son ne sera jamais aussi fort que la douleur cuisante qui frémie sur la joue de Tomislav, figé. Interdit. Par la violence du geste, son regard s’est déporté sur le sol alors que par réflexe, du bout des doigts, il les porte à ses lèvres pour s’assurer qu’elle ne les lui a pas écorchées même si en vérité, il s’en fout. La crainte s’invite auprès de cette surprise qui ne se décolle pas de ses traits. Est-ce qu’il a fait quelque chose qui ne fallait pas ? Est-ce qu’il lui a fait mal lorsqu’il l’a embrassé à l’orée de ses blessures déjà cicatrisés ? Putain, à tous les coups elle va le foutre dehors à coup de canne, lui disant d’aller au diable et d’y pourrir pour le restant de ses jours et ce, dans élan de lucidité qui lui aura murmuré qu’elle fait la plus belle connerie de sa vie.
Tomislav s’attend à ce qu’elle le pousse violemment. Pourtant, il n’en est rien. Mieux encore, le regard qu’elle lui jette, les mots qu’elle lui lance, font exploser une vague de désir au creux du ventre, donnant à cette gifle un caractère tout autre.

- Vous n’avez pas mon autorisation.
- Excusez-moi, madame.

Soumis, à ses pieds, à genoux devant elle, il fera ce qu’elle souhaite même si le désir de transgresser quelques règles le consume, ne serait-ce que pour recevoir une nouvelle gifle comme celle-ci. Car maintenant qu’il sait que, bien que ce geste soit sortie en premier lieu de nulle part, il fait également partie du jeu.
Il le sent. Il a l’habitude d’infliger la même chose à ces putes qu’il paie le prix fort pour pouvoir s’adonner à ces petits jeux de dominations. Mais ce soir, les rôles s’inversent et il y prend un plaisir qui ne cesse de gonfler, de l’emplir tout entier, devenant à chaque décision un peu plus surprenante.
Elle le repousse prestement, vivement et le serbe se recule, toujours sur les genoux. Tomislav s’attend à recevoir ce qui lui fera « regretter » ce geste, à ce qu’il se prenne une autre gifle. Ou même deux.
Mais au lieu de ça, la perfection se taille un peu plus sous ses yeux. Maxime se défait de cette chemise haut de gamme, dévoilant complètement le soutien-gorge qu’elle porte mais surtout l’ensemble de son buste que le serbe détaille, dévore des yeux. Il n’avait pas tort lorsqu’il la comparait à une œuvre d’art… Et si certains aiment les perfections lisses, Tomislav préfère celles qui ont des particularités, qui ont ce truc en plus, comme Adler avec cette peau dorée qui s’étale sur plusieurs surfaces sans que ça ne le rebute un seul instant.

- Enlevez-moi ça.

Il obéit, s’exécute sans se défaire de ce regard envieux qu’il lui porte. Et c’est droit dans les yeux qu’il la regarde alors que ses longs doigts fins se débarrassent un à un des boutons de sa chemise et dévoile à son tour ce torse qui n’est pas non plus parfait. Il est loin d’être comme ces types qu’il voit dans les magazines, tailler dans de la pierre avec dix étages d’abdominaux. Sa musculature est finement dessinée, traçant ses efforts sportifs de part ses anciens jobs qui l’ont naturellement construit. La puissance de ses bras transparait lorsqu’il se dégage prestement à son tour de ce tissu qui, de toute façon, est de trop ce soir. Et tout ce qu’il veut, c’est sentir la peau de cette femme contre la sienne, la sentir se consumer, frissonner sous lui, sous ses gestes.
Son vœu est en partie exaucée lorsque Maxime dépose sa main sur son torse, y enfonce ses ongles sans qu’il ne cille. En revanche, elle peut percevoir sans aucun problème les frissons que lui procure ses griffes acérées planté dans sa peau immaculée. Mais c’est visiblement pour mieux le repousser, se rendant inatteignable alors que la seule chose qu’il souhait, c’est de fondre vers elle pour un contact presque brutal.

Adler se lève à l’aide sa canne après lui avoir jeter un regard qui traduit sans peine cette cruauté qu’il aimerait explorer, apprendre.
Comment une femme comme elle pouvait être encore célibataire ? C’est à peine s’il y croit.
La canne fuse sur sa jambe, lui tirant une grimace et un soupire qu’il surprend être de plaisir mêlé de légère douleur. Rien de terrassant, juste de celle qui vous picote la surface de la peau, éveille vos terminaisons nerveuses. A croire qu’elle a tout simplement lu dans ses pensées.

- Tenez-vous droit.


Il redresse la colonne, les épaules et le visage légèrement. Tente de se faire presque plus… majestueux. Son cœur tambourine dans sa poitrine, son sang est un brasier sans nom qui s’étend à n’en plus finir en lui.

- Finalement, levez-vous.

Tomislav se redresse, essaie de faire les choses biens, proprement. Il ne manquerait plus à ce qu’il se casse la gueule tête la première contre la baignoire, histoire de tout gâcher de A à Z. Et quand bien même ça n’est pas parfait, voilà le serbe de nouveau sur ses deux pieds, essayant de garder cette stature droite. Chaque ordre est un frisson. Chaque regard est un départ de flamme supplémentaire sur sa peau. Parce qu’il n’a pas manqué de voir combien elle l’a observée avec appétit, presque avec délice. Lui aussi se trouve être dans la position du « désiré » et jamais il n’aurait cru se consumer de cette façon par de simple jeux de regard.
Maxime est devant lui, de dos, son visage légèrement tourné vers Tomislav, comme pour le garder à l’œil.

- Défaites la fermeture éclair. Et seulement la fermeture éclaire, vous n’avez aucunement le droit de poser vos mains ailleurs.

Elle sait si bien lui parler, si bien lui ordonner, que le serbe se demande si tout cela est une première fois pour elle. Il se laisse guider sans le moindre problème, comme si Maxime le tenait avec cette laisse invisible pour lui faire exécuter n’importe quoi de ce qu’elle demanderait.
Tomislav fait un pas en avant, suffisant pour franchir la distance que sa patronne a instauré et avec précaution, il attrape la fermeture, de l’autre main, tire légèrement sur la jupe … mais ne l’ouvre pas pour le moment. Son regard prend le temps d’observer ce corps qui s’offre à lui, de cette soudaine proximité où il peut sans peine sentir la chaleur de sa peau jouée avec la sienne tandis que tous deux se consume en silence. Puis les mots de sa patronne lui reviennent de nouveau et Tomislav esquisse un sourire en coin. Gourmand.
La fermeture descend avec une extrême lenteur que le serbe exagère pour la simple et unique raison que ce qui accompagnera ce geste, sera également une douce torture pour elle… Car si Maxime lui a interdit de poser ses mains ailleurs, c’est là la seule chose qu’elle lui a défendue. Les lèvres du jeune homme trouve l’épaule nue de sa patronne pour une premier impact, suivit d’un deuxième qui prend la direction de sa nuque qu’il découvre en poussant la masse de ses cheveux du visage, au fur et à mesure de sa progression. Il se fait léger, sensuel sur cette peau douce et savoureuse, la fermeture continuant son lent chemin vers le bas. Le bout de sa langue s’aventure, ses doigts obéissent et alors qu’il arrive au bout de l’ouverture, ses lèvres s’aventure à l’orée de son cou tendu qu’il mordille légèrement, dont il taquine la peau, éveille ses sens sans jamais la toucher autrement.
Un feu ardent continu de prendre possession de lui, lui injectant des images explicites de ce qu’il aimerait exécuter contre le lavabo de cette salle de bain, son imagination commençant à sérieusement s’emporter sur des contrées qu’il aimerait physiquement explorer avec Maxime. Mais le jeune homme se contient, poursuit la course de ses lèvres qui glissent cette fois le long de la colonne de sa patronne, sa langue s’invitant parfois dans la danse et Tomislav revient à cette nuque qu’il respire, frôle de ses lèvres, embrasse revenant mordiller l’autre épaule qu’il n’a pas encore découvert. Et cette fois sa bouche pulpeuse se dirige vers l’oreille de son amante.
Car c’est ce qu’elle sera cette nuit.

- Quels sont les prochains ordres, Madame Adler?


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Maxime A. Adler

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MessageSujet: Re: chains & whips ø tomislav   chains & whips ø tomislav - Page 2 EmptyVen 24 Aoû - 12:48

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Evidemment, le jeune serbe se sert de la moindre faille à son avantage. Maxime réprime un sourire, le laisse s’adonner à ces quelques hommages, les lèvres qui glissent sur l’épaule, remonte dans son cou ; lui tire un frisson délicieux qui lui parcourt la colonne vertébrale. La musicienne se tient droite, ne flanche pas, se contente de fermer les yeux et de savourer le contact des baisers sur sa peau, s’efforce de se concentrer pour en percevoir toute l’ampleur alors que ses capacités à ressentir ce qui se passe sur l’épiderme sont diminuées. Il ouvre la fermeture éclaire avec lenteur pour faire durer le moment. Elle ne peut décemment pas le punir de l’affront qu’il commet de contourner ses paroles, après tout, son ordre est précis. Ses mains ne peuvent le toucher. Peut-être trop précis.

Un soupire s’échappe malgré elle de ses lèvres alors que la brune le sent mordiller la peau de son cou, en douceur, sans jamais outrepasser la prudence de rigueur ce soir, la retenue qui permet qui leur permet de retenir l’instant comme dans une bulle. L’espace d’un instant, la musicienne se demande ce qu’il se trame dans l’esprit du slave, a quoi pense-t-il ? A elle, comme espéré, et uniquement à elle. Surement. L’envie vicieuse de devenir son obsession du soir perce le voile de sa timidité, après tout, pourquoi ne serait-elle pas l’objet de son admiration totale ? La femme, sous l’emprise d’un jeu de pouvoir, se révèle Narcisse, orgueilleuse, bien décidée à ne faire qu’une bouchée de l’homme dans son dos, qui s’arrête enfin de la tourmenter et achève d’ouvrir le pan de sa jupe.

« Quels sont les prochains ordres, Madame Adler ? »

C’est suffisant pour lui arracher un sourire, un frisson ; suffisant pour lui faire redresser les épaules, se rappeler qu’elle est maitresse et qu’entre ses mains réside le jeu, que de ses lèvres doivent s’échapper les ordres. D’un geste de la main, la propriétaire des lieux se défait du tissu qui recouvrait ses jambes, prend appui sur sa canne, fait passer ses jambes par-dessus le tube noir qui git maintenant entre les deux amants. D’un tour tranquille, elle s’affiche sous le regard de son employé qui la dépasse d’une bonne tête, dépose sa main sur la frêle musculature, fait glisser ses ongles en serpentins graciles le long de son torse, relève le regard pour le planter dans le sien. Sa main libre remonte le long du cou puis de la joue pour l’approcher d’elle et lui offrir le luxe d’un baiser qui n’a rien de chaste, révèle ce qui se trame sous la retenue dont elle fait preuve. D’un geste du pied, elle dégage ce qui la gêne et ce qui l’empêche de s’approcher du corps mince, musculature tranquille ; pour enfin venir coller son corps au sien. Ses doigts glissent et finissent par se refermer sur la mâchoire, les ongles voudraient percer la peau des joues. Maxime interrompt l’échange, le souffle court, laisse sa main dériver sur le torse, dessine la délimitation de ses os, attrape la boucle de ceinture qu’elle défait avec empressement, ouvre le bouton, glisse une main sur la hanche anguleuse et l’amène à faire un tour. D’un geste elle lui indique de se défaire de son bas, la ceinture gardée dans la main qui retient la canne. De l’autre, Maxime le repousse, le force à s’asseoir puis à s’éloigner en direction du centre. D’un geste assuré, elle le rejoint, lâche sa canne, garde la ceinture et ne prend pas le temps de lui expliquer davantage la suite du processus alors qu’elle passe le cuir de mauvaise qualité autour des poignets. La musicienne se fait plus pressée qu’à l’accoutumée alors qu’elle entrave ses mouvements, le punit pour son arrogance et sa ruse plus tôt dans la soirée. A califourchon sur le serbe, la brune lui jette une œillade brulante, limpide quant à son envie du moment. Elle aime être l’objet de son fantasme.

« Vous n’aurez le loisir de retrouver votre liberté que lorsque vous m’aurez délivré le contenu de vos pensées. » Un sourire malin se dessine sur les lèvres de la brune, presque perverse. Elle se découvre serpent, avide, les mains glissées sur le torse, les lèvres glissées dans le cou à son tour. « Attention à la moindre faute, Tomislav. »


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MessageSujet: Re: chains & whips ø tomislav   chains & whips ø tomislav - Page 2 EmptyDim 30 Sep - 17:10

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Il ne la regarde pas, il la convoite. Ardemment. Tout chez cette femme est sujet au fantasme, que ça soit ses gestes ou ses regards, Tomislav est transit de désir pour elle, pour l’autorité qu’elle manifeste. Sa patronne se défait du tissu noir qui dissimulait le haut de ses jambes et le serbe peut enfin contempler Maxime sous toutes les coutures, sans tissus pour entraver son imagination. La peau rongée par les brûlures ne le répugne pas, pire, elle le fascine. Il a envie de toucher, en sentir la texture sous ses doigts, lui qui a toujours été curieux de toutes les étrangetés qu’il a rencontrées. Gracieux, féminin, courbes parfaitement taillées, Tomislav l’imaginait aussi parfaite qu’elle lui apparait. Il imagine la lourdeur de ses seins dans ses paumes et son cœur s’emballe de plus belle.
Il apprécie le contact de ses doigts sur son torse, en frissonne. Tomislav accueil ce qui suit comme une sorte de récompense à laquelle il ne s’attendait pas. Le baiser que Maxime lui offre l’embrase aussi sec, lui creusant le ventre d’envie, son désir se manifestant un peu plus et il lui serait bien difficile de le dissimuler au contact du bassin d’Adler contre le sien. Peau contre peau, le serbe s’enhardit de ses gestes, ses bras encerclant le corps frêle de sa patronne, ses mains glissant dans le creux de ses reins pour la ramener un peu plus contre lui, comme par volonté de s’y souder pour de bon. L’échange est presque animal, farouche, affamé et il en redemande, est prêt à faire ce qu’elle veut pour ça.

L’échange s’interrompt, Tomislav retient un râle de frustration avant de constater sa respiration erratique, les frissons qui lui parcourent les bras, le torse.
Il la veut, il ne peut plus réellement le dissimuler maintenant. Encore moins lorsque Maxime entreprend de défaire la boucle de sa ceinture et le bouton de son jean. Elle est l’enfer dans lequel il se jetterait avec un plaisir non dissimulé, cette femme l’impression autant qu’elle le fascine et il est prêt à bien des compromis pour ne serait-ce que frôler ses limites à elle. Pour une fois, Maxime ne le regarde plus comme la petite main d’œuvre qui n’est là que pour réparer à peu près tout dans cette barraque mais comme un homme, un homme désirable, capable de la combler plus qu’elle ne l’imagine.
Un coup d’œil suffit pour qu’il termine de se débarrasser de son jean, se retrouvant uniquement en caleçon devant cette femme. Elle le repousse une première fois, puis une deuxième, lui ordonne brutalement de reculer pour enfin rencontrer le matelas du lit.
Le lit de sa patronne. Patronne qui vient à califourchon au-dessus de lui après lui avoir soigneusement attacher les poignets avec sa propre ceinture.
Il vit un rêve éveillé, à moins qu’il n’ait trop forcé sur la beuh qu’il a fumé avec Nikki et qu’il hallucine complètement.

- Vous n’aurez le loisir de retrouver votre liberté que lorsque vous m’aurez délivré le contenu de vos pensées.

Maxime le ramène à la réalité. Elle n’est qu’à lui, elle lui appartient, à moins que ça ne soit plutôt l’inverse en vue de la situation. Il a presque toujours été celui qui attachait, qui violentait même, se payant des putes prêtes à se genre de délire pour quelques dollars supplémentaires. Il les choisit soigneusement, ne veut pas de nanas qui se forcent. Non, il veut que tout soit bien, presque parfait, que chacun prenne son pied dans la brutalité du sexe pure.
Mais cette fois, les rôles s’inversent et d’une façon plus qu’agréable. Gracile, délicate, Maxime n’en reste pas moins sèche et d’une autorité qui l’excite plus que de raison. Et s’il doit lui délivrer TOUT le contenue de ses pensées, Tomislav craint que cette femme ne se tire ou ne le frappe jusqu’à ce qu’il se casse de chez elle. Elle ondule, se glisse dans son cou et le serbe se mord la lèvre, tendant la peau pour qu’elle y accède à son bon plaisir.

- Attention à la moindre faute, Tomislav.


Elle a cette façon de prononcer son prénom qui l’embrase un peu plus. Le jeune homme acquiesce, gorge sèche. Il n’a même pas besoin de réfléchir lorsque les mots franchissent ses lèvres pulpeuses.

- Je veux être ce que vous voulez que je sois.

Il est lui-même surprit du sans faute qu’il vient de faire, peut-être que l’adrénaline lui est bénéfique, la peur d’être privée de ce qui pourrait suivre également. Il peut aussi remercier Ayleen pour tous les cours donner, pour tous les rappels, les corrections apportées même lorsqu’il parlait.
Il la regarde dans les yeux, glissant ses prunelles claires sur les courbes qui chevauchent son corps. Il donnerait ce qu’elle veut pour être bien plus intime que ça.
Et la langue se délie. Outrageuse. Tomislav cherche ses mots mais prends soin de ne commettre aucune erreur lorsqu’il délivre à Maxime, tout ce à quoi il pense. Qu’il lui murmure qu’il souhaite désobéir pour qu’elle le punisse de nouveau d’une gifle. Ou plus. Qu’il est prêt à faire ce qu’elle veut pour la faire sienne. Qu’il se veut à genoux devant elle pour lui offrir le plus intime des plaisirs. Ses hanches appellent les siennes, s’animent, désireuses. Il continue son monologue et plus Tomislav parle, plus la chaleur augment, le désir s’intensifie et il crève d’envie de tant de chose qu’il ne sait plus vraiment ce qu’il désir réellement. Mais une chose l’obsède presque : savoir jusqu’où Maxime est prête à aller pour assoir son autorité, pour lui faire comprendre qu’elle ne supportera aucun débordement.

- Que je devoir faire maintenant ?

La faute est commise volontairement, avec un regard et un sourire provocateur qui ne demande qu’à être effacer par la paume brutale de Maxime.

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MessageSujet: Re: chains & whips ø tomislav   chains & whips ø tomislav - Page 2 EmptySam 22 Déc - 14:51

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30.12.17
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Le contenu des pensées est évidemment graphique quoi qu’il tente de travailler son langage, sa manière de lui conter les images qui lui passent derrière le regard. Maxime veut entendre les secrets qui se font d’ordinaire silences, ces choses qu’elle imagine être en maturation dans l’esprit du garçon depuis quelques temps. En tout cas, elle se plait à se dire que le fantasme n’est pas récent et qu’elle a occupé ses pensées.

Des idées qui ne lui auraient jamais traversé l’esprit quelques heures plus tôt.

Alors elle le laisse lui parler, lui murmurer le moindre de ses désirs alors qu’elle tire sur le cuir (faux cuir), curieuse de la sensation que lui provoque de simples mots. Maxime a toujours eu conscience de la force de quelques lettres bien arrangées, les lèvres sont la porte vers un monde qu’il lui ouvre sans trop de pudeur finalement. Il s’efforce à rendre poétique ce qu’il peut rendre poétique, ne souhaite certainement pas gâcher le luxe de l’instant. Maxime veut dominer, mais avec cette classe qu’elle s’essaie à revêtir par tout temps. Les mots prononcés, l’air formulé, impalpables, ont la puissance nécessaire pour agrandir son appétit, pour lui laisser entrevoir de multiples possibilités. Les pupilles arrondies, le corps en éveil, le bassin joueur et dansant. La maitresse de maison se délecte des outrages qui lui sont glissés à l’oreille, le souffle chaud de l’amant contre sa peau. Elle ne lui coupe pas la parole, ne lui refuse aucun fantasme, après tout, elle lui a donné un très léger espace de liberté et il s’en empare comme il se doit. L’employé est imaginatif et Maxime n’a pas de mal à se projeter vers les contrées dangereuses, ordinairement proscrites.

Lorsque le souffle s’écourte, lorsque ses yeux se ré-ouvrent, Maxime est bien décidée à passer à l’étape supérieure. Elle ne veut plus attendre d’être obéie, la langueur doit prendre son corps tout entier.

« Que je devoir faire maintenant ? »

Elle sent bien la faute volontaire mais son geste est réflexe. C’est presque un cadeau, un accord, alors que sa paume s’abat à nouveau, redressée à califourchon sur son nouvel amant. Elle souhaite effacer ce sourire narquois, veut défaire de son visage l’impression de victoire. Il ne détient pas la clef du succès, c’est elle. Elle qui maitrise, et qui ajoute une autre gifle à l’essaim de violence qui gronde au creux de son ventre. La main qui rencontre la peau une deuxième fois, sur l’autre joue, délivre des plaisirs infinis, de minces ailes de papillons qui battent sous la surface de sa peau. Elle se délecte du geste et de l’expression stupéfaite qui n’arrive qu’à la deuxième lancée. Tomislav ne devait pas attendre si rapide la deuxième punition. Voilà qu’elle préfère.

Ses yeux sévères se dardent dans ceux de l’amant alors qu’elle relâche la pression de la ceinture, la jette à sa gauche sans franchement regarder où l’objet atterrit. Ses gestes se passent de mots alors qu’elle défait le tissu qui lui couvre la poitrine, et que d’un geste à la fois brutal et gracile, s’empare de la chevelure châtain, force l’homme à se redresser et connecte les lèvres pulpeuses à la peau de son cou.

ø


« Hm… »

Un troupeau d’éléphants a élu domicile sous sa boite crânienne, il tambourine, ses éléments synchronisés pour faire le maximum de bruit possible. Maxime se sent lourde, enfoncée dans son lit, le corps endolori, les cheveux en bataille. Elle sent le maquillage collé sur ses joues, elle a oublié de se démaquiller.

« Hmmm… »

De ses lèvres ne s’échappent qu’une suite de sons incompréhensibles, traduction littérale de la douleur qui a fait place dans ses articulations, dans ses muscles, dans son crâne, derrière ses yeux qui fuient la lumière d’un volet mal fermé. Recroquevillée contre ses oreillers, la femme met un temps à comprendre que le résultat de ce mal est la conséquence directe d’une ingestion mélangée d’alcool et de médicaments. Dormir nue, elle a l’habitude, c’est son petit plaisir : dormir dans des draps doux et frais. Mais elle ne se sent pas bien, son ventre est tordu par la nausée et elle n’arrive pas à remettre les évènements de la veille, sa mémoire est floue. Ses yeux qui ne sont pas habitués à ne pas être couverts par son masque de sommeil n’arrivent pas à s’ouvrir alors elle se renferme sous la couette chaude. D’un geste lent et tranquille elle étire son corps dans le noir de ses draps et puis fais un demi-tour sur elle-même, bien décidée à changer de côté.

Sa main s’étend, veut retomber sur l’oreiller mais s’écrase sur de la peau. La brune ouvre les yeux et se redresse, réveille par la même occasion le troupeau d’éléphants qui s’était éteint jusque-là.
Maxime récupère sa main et la réalité de la nuit lui revient en pleine face alors que ses yeux tombent sur son employé, aussi nu qu’elle, dans son lit. Les images défilent à toute vitesse dans son esprit, tout n’est pas là, elle ne se souvient pas de comment elle l’a ramené chez elle, et encore moins quel a été le cheminement jusque son lit mais elle en sait désormais assez pour comprendre d’où vient la douleur et le contenu de sa nuit. Une seconde de silence, celle d’après laisse échapper un cri hors de ses lèvres alors qu’elle remonte la couverture contre ses épaules.

« Que… sortez ! Sortez d’ici Tomislav immédiatement. » L’homme se réveille, se redresse, apparemment en proie à la confusion. Maxime n’a aucune patience, l’horreur de son geste lui fait face et elle ne veut plus voir la personne avec qui elle a partagé une… nuit… honteuse, nuit. L’employé va pour ouvrir la bouche mais : « DEHORS ! »


(c) oxymort


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MessageSujet: Re: chains & whips ø tomislav   chains & whips ø tomislav - Page 2 EmptyLun 7 Jan - 21:19

Chains & Whips
EXORDIUM.
Il réceptionne la gifle avec un grognement de plaisir. Il en veut d’autres, des plus violentes et de plus sèches que ça. C’est dans le fond de son regard que Tomislav sait qu’il n’en manquera pas ce soir, cette nuit. Le sourire du serbe s’efface, il s’écrase, se soumet face à cette impératrice qui se dresse devant lui. Maxime a tout pour le rendre fou, que ça soit physiquement ou dans ses gestes, le jeune homme pourrait bien la laisser faire toute la nuit si elle le souhaitait. Et lorsque la deuxième gifle tombe, Tomislav marque la surprise.
Il ne s’y attendait pas, arborant déjà un sourire provocateur de l’avoir fait agir selon son bon vouloir … Mais Maxime lui rappelle qu’ici, c’est elle qui commande. Elle qui domine. Et qu’il n’a aucun autre droit que celui d’obéir. Il a la joue en feu mais n’y prête guère attention lorsque sa patronne se défait du tissu couvrant le reste de sa poitrine, l’affublant d’un regard sévère.

L’excitation est à son comble pour le jeune homme qui assiste à ce spectacle plus plaisant que tout ce qu’il aurait pu imaginer mais c’est sans pouvoir se divertir plus longtemps que Maxime agrippe la chevelure de Tomislav pour le ramener vers elle, les lèvres sur serbe venant dévorer sans ménagement la peau parfumée et incroyablement douce de Maxime. S’en donnant ainsi à cœur joie pour le reste de la nuit.

±

L’épuisement a eu raison de lui.
Tomislav est plongé dans un profond sommeil réparateur, sans rêve, écrasant comme une masse et comme un bien heureux dans le lit le plus confortable qu’il n’ait jamais eu l’occasion d’avoir.
Et ces draps putain. Doux comme de la soie, à vous donner envie de ne plus jamais quitter ce lieu si sacré.
Quelque chose de lourd sur son visage l’éveil à peine. Le jeune homme fronce les sourcils, grommelle et son esprit est un peu plus tiré vers la réalité quand il sent quelque chose ou quelqu’un bouger vivement à ses côtés.

Mais ce hurlement d’outre-tombe achève de le réveiller en sursaut, Tomislav essuyant maladroite la bave sur ses lèves qui s’est légèrement écoulé sur l’oreiller de luxe qu’il occupait. Son cerveau a toutes les peines du monde à se reconnecter, à se resituer.

- Que… sortez ! Sortez d’ici Tomislav immédiatement.

Le jeune homme se redresse cette fois, captant la situation.
Il est nu comme un vers dans le pieu de sa patronne, les cheveux en bataille, entrain de se faire jeter comme s’il n’avait pas à être là. Le serbe se retourne vers sa patronne, confus.

- Po…
- DEHORS !

Le cri fuse et assassine ses tympans. Tomislav descend du lit qu’il n’aurait jamais voulu quitter, absolument pas pudique de sa nudité qu’il expose au contraire de Maxime qui cherche à se cacher derrière les draps. Il cherche ses affaires, retrouve sa ceinture, son caleçon et peine à trouver le reste. Et c’est sans compter la mauvaise humeur de sa patronne qui finit une dernière fois par lui hurler dessus, lui envoyant il ne sait quoi à la gueule qu’il évite de justesse. C’est complètement à poil qu’il dévale les escaliers, ses fringues entre ses bras, incertain de comprendre si tout cela faisait partie de leur jeu de rôle de cette nuit ou si Adler était à ce point sérieuse.
Il croise Honeycutt qui ne capte pas tout de ce qu’il se passe tandis que Maxime continue de hurler folle de rage. Tomislav a la sensation que s’il reste une seconde de plus dans le manoir, c’est sa vie qui lui sera arraché. Ce n’est qu’une fois sur le perron qu’il peut prendre moins d’une minute pour se rhabiller à la hâte, oubliant son caleçon sur le pas de la porte ainsi qu’une chaussette mais peu lui importait. Il avait cette sale impression d’avoir le diable aux trousses…



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