crédits : Moi-même messages : 90 quartier : North Side physique : 1m65, visage avenant où dominent un sourire en coin quasi permanent et un regard chaleureux. Assez athlétique car elle continue à s’entrainer avec sérieux. Niveau fringues, pour le travail, elle affectionne le tailleur-pantalon noir avec un chemisier blanc, très classique, ou éventuellement un léger pull près du corps, et des talons aiguilles. A la maison, c’est beaucoup moins sophistiqué, et se retrouve facilement en jean, pull ample, et baskets. Un aigle en vol et « Semper Fi » tatoué sur l’omoplate droite.
| Sujet: Pump up the volume Jeu 1 Aoû - 21:39 | |
| Et on va jusqu’à l’aube ! octobre 2018 Le fait d’avoir quitté l’armée et de s’être fixée, après neuf ans de terrain et autant de missions, c’est que ca permettait de tisser des liens avec les gens du « réel ». Des gens qui ne savent pas ce que c’est qu’un fusil d’assaut ou un IED. Ou encore à quoi ressemble un corps éparpillé. Encore que, la grande majorité des gens que Jess fréquentait n’exerçait pas vraiment un job peinard. Elle passait l’essentiel de son temps au poste - et avait donc beaucoup de copains flics - ou sur le terrain, pour les enquêtes ou les interventions. Et dans ce cas-là, ses petits camarades étaient des pompiers ou des secouristes. C’était de cette manière qu’elle avait rencontré Amandine. Un incendie suspect, un cadavre, une enquête, une discussion qui s’est très vite éloignée du sujet et paf, ca vous fait une paire de femmes qui sont prêtes à ouvrir un salon de thé. Ou presque. Peu habituée aux relations sociales dites normales, Jess avait un peu pataugé au moment de faire la conversation et savoir comment faire durer. Amandine non. En quelques mois, elles avaient fini par trouver un rythme plus que sympathique, entre dancefloor et cocktails sur canapé chez l’une ou l’autre. Les confidences, tout ca… C’avait été une révélation pour Jess qui n’avait jamais rien connu de comparable. Ce soir était une de ces soirées particulières. Elles avaient décidé d’aller en boite, et pas n’importe laquelle : le DJ’ABBA, indépendamment du jeu de mot foireux, s’était fait une spécialité des années disco. Rien de tel pour un bon délire entre filles, et Amandine et Jess affectionnaient particulièrement la thématique. Jess attendait d’autant plus impatiemment la soirée qu’elle avait quelques trucs à raconter - et espérait qu’Amandine n’était pas en reste. L’inspectrice ne comptait pas rentrer avant une heure fort avancée de la nuit - ou du matin, selon le point de vue. « ALORS ! » Commenca Jess à l’entrée du club, jean, top à sequins, talons hauts et cheveux lâchés. « Je te propose de partir à la recherche d’une table, d’un verre, et d’ouvrir le bal à la première occasion. A part rentrer demain matin, on se donne quelle mission ? La dernière fois, on a lamentablement échoué sur le nombre d’ombrelles de cokctail à piquer au plafond, et je ne remettrai jamais les pieds dans ce bar. T’as une idée plus croustillante ? » |
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