APPEL DU DEVOIR #2

APPEL DU DEVOIR #2

Elizabeth reprend doucement ses esprits après ce vertige horrible. Non sans se faire bien engueuler au passage. Le pompier qui la gronde comme une gosse revient par ailleurs l’examiner. Elle soupire, il a raison. Elle le sait bien, mais cela ne rend pas les choses plus simple pour l’avocate pour autant. Elle observe la scène en silence, de loin, appuyée sur l’armoire qui les bloque depuis le début. Le prévenu est non loin d’elle et elle en profite pour lui glisser, suffisamment bas pour que lui seul entende. « Tu me le paieras ce coup, je peux te l’assurer. Tu le regretteras. » Comme elle est occupée avec lui, elle ne remarque pas tout de suite la foule qui commence à manifester son mécontentement quant à l’ordre d’évacuation. Mais elle n’intervient pas, pas encore. Faut dire que Jess gère assez bien la situation et parvient à calmer les esprits échauffés. Du moins pour le moment.

Elle les laissent s’organiser tout les deux, se mettre d’accord sur comment procéder. Surveillant d’un coin de l’œil les autres qui continuent de râler. Sauf qu’elle perd patience. Elle a mal à la tête, l’eau continue de monter et elle commencer à avoir trop froid pour vraiment rester calme longtemps. « Oh, mais la ferme. Qu’elle adresse à ce qui râlent. On est tous dans la même galère et vous me faites mal à la tête. Alors taisez-vous et je vous préviens, si un seul d’entre vous, qui qu’il soit essaye de bouger sans en avoir eu l’autorisation et qu’il les empêchent de travailler. Elle désigne le pompier. Je vous jure que je ferais tout pour qu’il paye un max. C’est clair ? » Elle n’a pas crié, pour ne pas se rajouter du bruit inutile. Puis, elle est suffisamment froide pour paraître sérieuse, c’est sa réputation en même temps. Ice Queen, c’était son surnom à Dublin et elle se doute bien que se sera le même ici quand elle aura réglée encore deux ou trois affaires. Elle espère en tout cas avoir le temps de le vivre, même si elle essaye de cacher sa peur et prie pour que les autres restent calme après ses menaces.

APPEL DU DEVOIR #2

HEROES

Lloyd est soulagé que la pilule, bien qu’amère passe aussi bien auprès de la population amassée dans les archives du Palais de Justice. Il le doit certainement en grande partie à l’intervention de l’Inspectrice Rizzo qui a su soutenir ses ordres. Le fait qu’elle ait maitrisé le détenu quelques temps auparavant doit également jouer… Les civils s’imaginent peut-être qu’elle pourrait réitérer avec eux si jamais ils ne coopèrent pas. Et l’avocate – vraisemblablement sur les nerfs, et on le serait à moins ! – ne tarde pas à en rajouter une couche et à terminer de convaincre tout le monde de filer doux.
Lloyd contacte une dernière fois son supérieur par radio et obtient son aval pour entamer l’évacuation, en débutant donc par le prisonnier, jugé aujourd’hui-même pour des crimes dont le pompier ignore tout à fait la nature. Chacun son boulot.
Il se tourne vers Rizzo avant d’annoncer aux civils que l’opération de sauvetage est en passe de débuter.
« Vous pouvez vous occuper du triage pendant que j’aide tout ce beau monde à franchir l’étagère sans heurts ? » la questionne-t-il, en se demandant si elle va apprécier qu’il se repose autant sur elle. Si ça ne tenait qu’à lui, des collègues l’auraient accompagné de ce côté-ci de la porte, mais son lieutenant juge préférable de conserver le reste de son équipe de l’autre côté. Il doit suivre les ordres.
Une fois sa réponse obtenue, il se tourne vers le reste des victimes des intempéries et reprend la parole.
« Bien ! Nous allons pouvoir nous y mettre. J’ai ici de l’eau et des couvertures de survie à faire circuler » il se tourne vers O’Ceallaigh pour lui confier une des dites couvertures et une bouteille en plus d’un sourire qu’il veut encourageant. Il se tourne ensuite vers les autres. « Essayez de garder votre calme et de conserver votre énergie. Ne restez pas statiques mais ne vous éloignez pas d’ici s’il vous plait. Restez groupés au maximum en attendant que ce soit votre tour d’être évacué. Veillez les uns sur les autres, faites parler votre voisin pour vous assurer qu’il tient le coup. »
Il pourrait poursuivre encore un moment mais juge qu’il est préférable d’agir à présent.
Lloyd se rapproche ensuite de l’inspectrice.
« Il va avoir besoin de ses deux mains pour grimper » lui fait-il savoir en désignant la ceinture qu’elle a utilisée pour immobiliser le prisonnier. Il se doute bien que sa requête ne va pas plaire mais il ne peut pas faire autrement. Il ne peut pas le porter hors de la zone.
Il lui explique ce qu’il attend de lui, ce qu’il devra faire pour éviter de se mettre en danger (ou de ruiner le passage pour le reste de la populace, mais il ne le formule pas pour ne pas lui donner de mauvaise idée…) puis le prévient qu’il est dans son intérêt de ne pas faire de vague. Cela fait, Lloyd entame avec son prisonnier l’ascension de l’étagère.

APPEL DU DEVOIR #2

HEROES

10:29 am ; Palais de Justice
Les mains du prisonnier se délient, et l'espace de quelques secondes, une dizaine de scénarios brave les couloirs de son esprit – pourtant, la raison l'emporte. L'homme fait profil bas, gardant en mémoire la sensation des poignets serrés, son cas n'est pas à aggraver. Mais la peur, souvent, permet des miracles et bien des erreurs. L'idée des forces de l'ordre, armées qui plus est, juste derrière la porte ne sont pas l'accueil qu'il espérait et la témérité reprend de plus belle. Elle s'immisce dans l'esprit et le fait agir – instinctivement. Les mouvements de bras, de jambes, du corps tout entier mènent Lloyd jusqu'à l'eau qui n'a cessé de grimper. La chute est amortie mais surprend, laisse quelques traces dans l'esprit de tous, échauffé, paniqué ; n'importe qui le ressentirait. Et si la situation est déjà bien compliquée, le tout s'accentue, gagne en ampleur. L'homme chute à son tour, tente à retrouver ce confort découvert de l'eau froide qui caressait les genoux – maladroitement cependant. La semelle glisse, réduit à néant le peu de stabilité trouvée et la tête cogne, l'impact résonne. La masse corporelle rejoint l'eau, inerte tandis qu'au-dessus d'elle tangue faiblement l'armoire percutée. Il est là, le nouveau danger ; il instaure un nouveau vent de terreur dans le piètre théâtre qui s'est joué ici, pièce encore loin d'être terminée. D'autant que l'instant se transforme en tragédie ; nombreuses sont les voix qui aimeraient se faire entendre, rien que pour le plaisir de faire savoir que cet homme-là mériterait désormais bien pire mais le filet de sang qui s'extirpe de la plaie qu'il s'est infligé dissuade ; évidemment. Le vacarme ne passe pas inaperçu et, derrière la porte, on commence à s'inquiéter de la situation – assez pour insister, pour réclamer des informations quant à la manière dont les choses vont désormais se passer.

Lloyd a désormais un blessé – possiblement – grave sur les bras et d'autres âmes à faire sortir avant que la panique ne prenne le relais et n'accentue la catastrophe. Avec un peu d'aide, il pourrait s'en sortir correctement et faire honneur à son équipe ; d'autant que les figures fortes ne manquent pas à l'appel. Il est bien entouré, et les autres à l'extérieur de la salle savent qu'il saura mener à bien son intervention – même malgré l'étagère qui tangue encore sous les yeux écarquillés. C'est le juge qui choisit d'user d'un peu de courage et de raison, osant se déplacer et du mieux qu'il peut jusqu'au meuble en question, bien décidé à faire en sorte que rien ne tombe, que rien n'entrave le travail des secours présents – le blond pour l'instant bloqué avec eux surtout. « Faites votre travail, je devrais pouvoir tenir. » Un coup d’œil vers Hatfield pour s'assurer qu'il l'ait entendu avant d'être rejoint par une personne du partie civil. A eux deux, ils tiennent à faire réussir les opérations, peu enclins à demeurer ici jusqu'à ce que l'air ne vienne à manquer.

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LANCÉ DE DÉS.
Option #1 : Les efforts des deux hommes paient et l'étagère est maintenue. Seuls quelques dossiers rejoignent l'eau qui n'a pas fini de monter – tant pis, rien n'est plus important que leur vie. Aussi, l'intervention peut continuer, les personnes présentes peuvent être évacuées – qu'importe l'ordre tant qu'ils sortent. Dans le doute, derrière la porte, là où la situation n'est pas aussi chaotique, quelques hommes ont été rappelé, avec les secours se tient qu'un agent – sait-on jamais. Les blessés peuvent être évacués.

Option #2 : Les efforts des deux hommes sont considérables mais finalement inutiles ; au-delà du courage réside la stupidité. L'étagère cède, trop ancienne, et entraîne dans sa chute le juge qui n'a pas eut le temps de se décaler en sentant la pression s'accentuer. La terreur des spectateurs reprend, s'immisce dans les esprits avec la ferme intention d'y rester ancrée – d'autant que le spectacle n'en finit pas, l'eau bougeant en rythme avec les gestes de celui qui, clairement, est en train de se noyer. Ils ont à faire vite, ils ont clairement à faire équipe. Et, le seul avantage qui soit à tirer de ce rebondissement, c'est que la chute de l'étagère ait permit à agrandir la sortie sur laquelle ils lorgnaient. Le passage est plus facile, la situation en revanche plus difficile.

APPEL DU DEVOIR #2

Dire qu’elle n’est pas soulagée quand l’évacuation commence serait un énorme mensonge. Pourtant, elle reste silencieuse, l’Irlandaise, la couverture de survie sur les épaules. Faut dire que l’eau grimpe toujours et qu’elle peine de plus en plus à rester debout. Elle est adossée à un mur, observant la scène qui se déroule sous ses yeux. Elle n’a que ça à faire, il faut bien l’avouer. Puis, c’est qu’elle ne voudrait pas louper le moment où elle pourra sortir d’ici. Elle espère aussi que se concentrer sur quelque chose l’empêchera de s’écrouler. Faudrait pas leur rajouter du boulot. Parce la situation commence à gentiment dégénérer. Son client et défait de ses liens et aider à monter pour atteindre la sortie. Seulement, il semble qu’il n’a pas l’intention de se laisser cueillir de l’autre côté et décide de faire demi-tour. Faisant tomber, au passage, le pompier. Heureusement, ce dernier ne semble pas s’être fait mal, contrairement à son client qui lui s’assomme comme un débile obligeant Jess à lui maintenir la tête hors de l’eau. « Je vais le tuer » qu’elle marmonne pour elle l’avocate, comme le juge et un des gars de la partie civile viennent retenir une des armoires qui menace de tomber, ce qui entraînerai sans doute une réaction en chaîne incontrôlable. Y a-t-il moyen que la situation devienne encore plus critique ou bien, c’est bon ? C’est ce que l’avocate se pose comme question. « Je savais pas que les portes des archives étaient blindées ? C’est vraiment si compliqué de les forcer ? Vos collègues peuvent pas faire sauter les gongs ? Ou carrément la porte ? Enfin, je sais pas, mais se bouger le cul quoi... » Elle perd patience l’Irlandaise, elle perd patience et a de plus en plus de mal à rester debout. Elle aimerait bien savoir qui est l’officier qui commande les opérations. Parce qu’elle va avoir deux mots à lui dire. Enfin, s’ils sortent de là vivant, parce qu’elle commence à en douter sérieusement, Elizabeth. Et cela ne lui plaît pas du tout, mais elle essaye encore de garder son calme, aussi elle n’a pas criée, ni fait preuve d’une véritable animosité, c’est juste la peur qui a parler. Pour une fois.

APPEL DU DEVOIR #2

HEROES

Lloyd reçoit un coup (de coude ? dans la précipitation et l’obscurité relative des lieux, il n’arrive pas à savoir ce qui l’a heurté) dans l’estomac et bascule en arrière. L’eau amortie considérablement sa chute. Une chute qui n’a rien de franchement vertigineuse mais du mobilier commence à flotter dans les archives et il aurait pu se blesser. Ce n’est pas le cas, mais le prisonnier sous sa surveillance n’a pas sa chance. Le temps qu’il se redresse, il constate avec effarement que l’homme est mal tombé. Il présente un saignement important au niveau du crâne et est soutenu par l’Inspectrice Rizzo qui lui évite une noyade certaine.
Mais le vent de panique qui souffle n’est pas du à cet incident et il réalise vite ce qui se trame du côté de la seconde étagère…celle qui menace de s’effondrer sur la première et pourrait boucher leur unique accès vers l’extérieur. Des hommes se chargent de l’immobiliser pendant qu’il se rapproche du patient, inconscient. L’ausculter et le tenir à l’abri du danger dans ces conditions est trop périlleux. Il va falloir qu’ils l’évacuent autrement… Ça va demander du temps, du matériel et de la main d’ouvre supplémentaire. Où en sera le niveau de l’eau à ce moment ? Est-ce que tous les autres tiendront le coup en attendant que le sauvetage de cet homme soit organisé et effectué ? Le souci étant – encore et toujours - qu’ils ne disposent que d’un point d’entrée et de sortie…

Elizabeth O’Ceallaigh, vient d’ailleurs lui faire savoir ce qu’elle pense de la situation sur un ton agressif. Ce qu’il comprend tout à fait. On frôle le risible…
« Je comprends votre frustration » lui répond-t-il en tâchant de garder son calme, évitant de lui faire savoir que lui aussi commence à être lassé par tout ça et ne se sent pas franchement aidé… « Ils ne peuvent pas dégonder la porte, l’étagère bloque de toute façon le passage. Ils ne peuvent pas prendre le risque de la déloger et de la faire chuter par ici à cause…eh bien à cause des civils et du risque qu’elle entraine d’autres choses dans sa chute. On fait notre maximum, soyez en certaine » abrège-t-il, se sentant perdre patience lui aussi.

Il reprend un instant pour analyser la situation et finit par redonner son attention à l’inspectrice qui attend toujours sa solution miracle. Il n’en a pas à lui fournir.
« Il va me falloir du matériel pour l’évacuer. Une civière et de l’aide. Ça va prendre du temps… »
Et il ne sait pas de combien il en dispose… Combien de temps avant que l’eau ne provoque une sévère hypothermie chez tous les civils qui baignent depuis un long moment déjà ? Combien de temps avant que le vent de panique ne se transforme en mouvement de foule incontrôlable ?
« Je vais faire un point à mon supérieur » décide-t-il, reprenant en main son talkie pour joindre le Lieutenant Cooper. Et les ordres sont clairs : le blessé/détenu doit être évacué en premier. On va lui envoyer une civière et deux camarades pour l’aider à faire franchir l’obstacle métallique à l’homme encore inconscient. Les autres devront patienter…
« Bougez-vous » conclut nerveusement Lloyd en prenant le relai et en aidant Jess Rizzo à maintenir le prisonnier hors de l’eau en attendant. « Vous tenez le coup ? » interroge-t-il l’avocate qui a perdu encore quelques couleurs…  

Quelques minutes passent encore. Le calme est devenu oppressant. On entend quelques reniflements, quelques murmures inquiets par-ci par-là, mais surtout : Lloyd entend l’eau s’écouler, encore et toujours, faisant son œuvre, s’infiltrant partout sans qu’il ne puisse rien y faire.
Ses collègues arrivent en bas et ils échangent quelques mots avant d’harnacher leur patient toujours inconscient sur la civière, dans le but de l’évacuer. Ça leur demande encore quelques minutes supplémentaires, qu’ils occupent également en élaborant un plan fiable pour le sortir de là sans prendre de risques inutiles.
Finalement, ils tentent leur coup. L’ascension est lente. Trop au goût de Lloyd, mais ils se doivent d’être prudents… Ils atteignent finalement le sommet de la montagne métallique improvisée et passent la civière de l’autre côté, lentement mais sûrement. Lloyd voit alors disparaître un de ses collègues tandis que l’autre propose de rester là pour réceptionner les futurs grimpeurs et faciliter leur passage au sec.
Lloyd acquiesce puis redescend en veillant à ne pas faire de faux pas. Lorsqu’il rentre à nouveau dans l’eau, elle lui arrive aux hanches. Et il est plutôt grand…
Il se rapproche de l’avocate.
« C’est votre tour. Je vais vous aider sur la première moitié du trajet et mon collègue prendra le relai pour la suite, d’accord ? »

APPEL DU DEVOIR #2

Avec de l’eau jusqu’à la taille, l’avocate est bien loin de faire la maligne. Du coup, elle s’en voudrait presque d’avoir été aussi sèche, mais elle espère simplement que le pompier ne le prendra pas personnellement. En attendant son tour, patiemment, finalement, elle observe ce qui se passe autour. Son client est évacué sur une civière et elle est plutôt soulagée de savoir que cela se passe bien. Cela l’embêterait de l’avoir menacé pour rien. Elizabeth constate quand même que l’officier en charge de l’opération à laisser l’homme avec eux seul un bon bout de temps. Parce que maintenant que le temps presse, il envoie enfin quelqu’un pour aider. Mais elle ne dit plus rien, l’avocate. Quoi que le niveau est tellement élevé qu’elle ne risque pas de se faire du mal. Quoi que le niveau est tellement élevé qu’elle ne risque pas de se faire du mal. Ce noyer, sans doute, mais s’assommer, pas vraiment. Elle ne quitte donc pas le mur qui la retiens tant que Lloyd ne vient pas la chercher. C’est son tour qu’il lui annonce, mais finalement elle n’est même pas sûr d’y arriver. Faut dire qu’avec une arcade ouverte et la tête qui tourne, escalader une étagère est pas la chose la plus simple qui soit. Mais la perspective de pouvoir sortir d’ici saine et sauve lui convient aussi parfaitement.

Elle s’accroche alors au pompier pour se diriger vers l’étagère. Ses chaussures, elles sont encore prêt du mur, faut dire que marcher avec dans autant d’eau est pas forcément le truc le plus facile. Elle se félicite aussi d’avoir mis un pantalon, ça va être plus pratique pour monter. Elle se laisse aider, sans pour ne rien faire. Elle essaye surtout de ne pas perdre l’équilibre. La surface est bien plus glissante qu’elle ne l’aurait pensé, mais elle parvient à atteindre le haut. Ne plus avoir les pieds dans l’eau lui fait du bien, même si c’est bizarre sur le coup. Une fois à nouveau au sol, le stress, la panique, tout retombe et ses jambes ne la porte plus. Au moins, elle est en sécurité. Elle espère, maintenant, que ce sera aussi le cas pour Jess, toujours dans la pièce...