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 chains & whips ø tomislav

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MessageSujet: Re: chains & whips ø tomislav   chains & whips ø tomislav - Page 2 EmptyDim 30 Sep - 17:10

Chains & Whips
EXORDIUM.
Il ne la regarde pas, il la convoite. Ardemment. Tout chez cette femme est sujet au fantasme, que ça soit ses gestes ou ses regards, Tomislav est transit de désir pour elle, pour l’autorité qu’elle manifeste. Sa patronne se défait du tissu noir qui dissimulait le haut de ses jambes et le serbe peut enfin contempler Maxime sous toutes les coutures, sans tissus pour entraver son imagination. La peau rongée par les brûlures ne le répugne pas, pire, elle le fascine. Il a envie de toucher, en sentir la texture sous ses doigts, lui qui a toujours été curieux de toutes les étrangetés qu’il a rencontrées. Gracieux, féminin, courbes parfaitement taillées, Tomislav l’imaginait aussi parfaite qu’elle lui apparait. Il imagine la lourdeur de ses seins dans ses paumes et son cœur s’emballe de plus belle.
Il apprécie le contact de ses doigts sur son torse, en frissonne. Tomislav accueil ce qui suit comme une sorte de récompense à laquelle il ne s’attendait pas. Le baiser que Maxime lui offre l’embrase aussi sec, lui creusant le ventre d’envie, son désir se manifestant un peu plus et il lui serait bien difficile de le dissimuler au contact du bassin d’Adler contre le sien. Peau contre peau, le serbe s’enhardit de ses gestes, ses bras encerclant le corps frêle de sa patronne, ses mains glissant dans le creux de ses reins pour la ramener un peu plus contre lui, comme par volonté de s’y souder pour de bon. L’échange est presque animal, farouche, affamé et il en redemande, est prêt à faire ce qu’elle veut pour ça.

L’échange s’interrompt, Tomislav retient un râle de frustration avant de constater sa respiration erratique, les frissons qui lui parcourent les bras, le torse.
Il la veut, il ne peut plus réellement le dissimuler maintenant. Encore moins lorsque Maxime entreprend de défaire la boucle de sa ceinture et le bouton de son jean. Elle est l’enfer dans lequel il se jetterait avec un plaisir non dissimulé, cette femme l’impression autant qu’elle le fascine et il est prêt à bien des compromis pour ne serait-ce que frôler ses limites à elle. Pour une fois, Maxime ne le regarde plus comme la petite main d’œuvre qui n’est là que pour réparer à peu près tout dans cette barraque mais comme un homme, un homme désirable, capable de la combler plus qu’elle ne l’imagine.
Un coup d’œil suffit pour qu’il termine de se débarrasser de son jean, se retrouvant uniquement en caleçon devant cette femme. Elle le repousse une première fois, puis une deuxième, lui ordonne brutalement de reculer pour enfin rencontrer le matelas du lit.
Le lit de sa patronne. Patronne qui vient à califourchon au-dessus de lui après lui avoir soigneusement attacher les poignets avec sa propre ceinture.
Il vit un rêve éveillé, à moins qu’il n’ait trop forcé sur la beuh qu’il a fumé avec Nikki et qu’il hallucine complètement.

- Vous n’aurez le loisir de retrouver votre liberté que lorsque vous m’aurez délivré le contenu de vos pensées.

Maxime le ramène à la réalité. Elle n’est qu’à lui, elle lui appartient, à moins que ça ne soit plutôt l’inverse en vue de la situation. Il a presque toujours été celui qui attachait, qui violentait même, se payant des putes prêtes à se genre de délire pour quelques dollars supplémentaires. Il les choisit soigneusement, ne veut pas de nanas qui se forcent. Non, il veut que tout soit bien, presque parfait, que chacun prenne son pied dans la brutalité du sexe pure.
Mais cette fois, les rôles s’inversent et d’une façon plus qu’agréable. Gracile, délicate, Maxime n’en reste pas moins sèche et d’une autorité qui l’excite plus que de raison. Et s’il doit lui délivrer TOUT le contenue de ses pensées, Tomislav craint que cette femme ne se tire ou ne le frappe jusqu’à ce qu’il se casse de chez elle. Elle ondule, se glisse dans son cou et le serbe se mord la lèvre, tendant la peau pour qu’elle y accède à son bon plaisir.

- Attention à la moindre faute, Tomislav.


Elle a cette façon de prononcer son prénom qui l’embrase un peu plus. Le jeune homme acquiesce, gorge sèche. Il n’a même pas besoin de réfléchir lorsque les mots franchissent ses lèvres pulpeuses.

- Je veux être ce que vous voulez que je sois.

Il est lui-même surprit du sans faute qu’il vient de faire, peut-être que l’adrénaline lui est bénéfique, la peur d’être privée de ce qui pourrait suivre également. Il peut aussi remercier Ayleen pour tous les cours donner, pour tous les rappels, les corrections apportées même lorsqu’il parlait.
Il la regarde dans les yeux, glissant ses prunelles claires sur les courbes qui chevauchent son corps. Il donnerait ce qu’elle veut pour être bien plus intime que ça.
Et la langue se délie. Outrageuse. Tomislav cherche ses mots mais prends soin de ne commettre aucune erreur lorsqu’il délivre à Maxime, tout ce à quoi il pense. Qu’il lui murmure qu’il souhaite désobéir pour qu’elle le punisse de nouveau d’une gifle. Ou plus. Qu’il est prêt à faire ce qu’elle veut pour la faire sienne. Qu’il se veut à genoux devant elle pour lui offrir le plus intime des plaisirs. Ses hanches appellent les siennes, s’animent, désireuses. Il continue son monologue et plus Tomislav parle, plus la chaleur augment, le désir s’intensifie et il crève d’envie de tant de chose qu’il ne sait plus vraiment ce qu’il désir réellement. Mais une chose l’obsède presque : savoir jusqu’où Maxime est prête à aller pour assoir son autorité, pour lui faire comprendre qu’elle ne supportera aucun débordement.

- Que je devoir faire maintenant ?

La faute est commise volontairement, avec un regard et un sourire provocateur qui ne demande qu’à être effacer par la paume brutale de Maxime.

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Maxime A. Adler

Maxime A. Adler

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MessageSujet: Re: chains & whips ø tomislav   chains & whips ø tomislav - Page 2 EmptySam 22 Déc - 14:51

chains & whips

30.12.17
domination’s the name of the game
in bed or life
they’re both just the same



Le contenu des pensées est évidemment graphique quoi qu’il tente de travailler son langage, sa manière de lui conter les images qui lui passent derrière le regard. Maxime veut entendre les secrets qui se font d’ordinaire silences, ces choses qu’elle imagine être en maturation dans l’esprit du garçon depuis quelques temps. En tout cas, elle se plait à se dire que le fantasme n’est pas récent et qu’elle a occupé ses pensées.

Des idées qui ne lui auraient jamais traversé l’esprit quelques heures plus tôt.

Alors elle le laisse lui parler, lui murmurer le moindre de ses désirs alors qu’elle tire sur le cuir (faux cuir), curieuse de la sensation que lui provoque de simples mots. Maxime a toujours eu conscience de la force de quelques lettres bien arrangées, les lèvres sont la porte vers un monde qu’il lui ouvre sans trop de pudeur finalement. Il s’efforce à rendre poétique ce qu’il peut rendre poétique, ne souhaite certainement pas gâcher le luxe de l’instant. Maxime veut dominer, mais avec cette classe qu’elle s’essaie à revêtir par tout temps. Les mots prononcés, l’air formulé, impalpables, ont la puissance nécessaire pour agrandir son appétit, pour lui laisser entrevoir de multiples possibilités. Les pupilles arrondies, le corps en éveil, le bassin joueur et dansant. La maitresse de maison se délecte des outrages qui lui sont glissés à l’oreille, le souffle chaud de l’amant contre sa peau. Elle ne lui coupe pas la parole, ne lui refuse aucun fantasme, après tout, elle lui a donné un très léger espace de liberté et il s’en empare comme il se doit. L’employé est imaginatif et Maxime n’a pas de mal à se projeter vers les contrées dangereuses, ordinairement proscrites.

Lorsque le souffle s’écourte, lorsque ses yeux se ré-ouvrent, Maxime est bien décidée à passer à l’étape supérieure. Elle ne veut plus attendre d’être obéie, la langueur doit prendre son corps tout entier.

« Que je devoir faire maintenant ? »

Elle sent bien la faute volontaire mais son geste est réflexe. C’est presque un cadeau, un accord, alors que sa paume s’abat à nouveau, redressée à califourchon sur son nouvel amant. Elle souhaite effacer ce sourire narquois, veut défaire de son visage l’impression de victoire. Il ne détient pas la clef du succès, c’est elle. Elle qui maitrise, et qui ajoute une autre gifle à l’essaim de violence qui gronde au creux de son ventre. La main qui rencontre la peau une deuxième fois, sur l’autre joue, délivre des plaisirs infinis, de minces ailes de papillons qui battent sous la surface de sa peau. Elle se délecte du geste et de l’expression stupéfaite qui n’arrive qu’à la deuxième lancée. Tomislav ne devait pas attendre si rapide la deuxième punition. Voilà qu’elle préfère.

Ses yeux sévères se dardent dans ceux de l’amant alors qu’elle relâche la pression de la ceinture, la jette à sa gauche sans franchement regarder où l’objet atterrit. Ses gestes se passent de mots alors qu’elle défait le tissu qui lui couvre la poitrine, et que d’un geste à la fois brutal et gracile, s’empare de la chevelure châtain, force l’homme à se redresser et connecte les lèvres pulpeuses à la peau de son cou.

ø


« Hm… »

Un troupeau d’éléphants a élu domicile sous sa boite crânienne, il tambourine, ses éléments synchronisés pour faire le maximum de bruit possible. Maxime se sent lourde, enfoncée dans son lit, le corps endolori, les cheveux en bataille. Elle sent le maquillage collé sur ses joues, elle a oublié de se démaquiller.

« Hmmm… »

De ses lèvres ne s’échappent qu’une suite de sons incompréhensibles, traduction littérale de la douleur qui a fait place dans ses articulations, dans ses muscles, dans son crâne, derrière ses yeux qui fuient la lumière d’un volet mal fermé. Recroquevillée contre ses oreillers, la femme met un temps à comprendre que le résultat de ce mal est la conséquence directe d’une ingestion mélangée d’alcool et de médicaments. Dormir nue, elle a l’habitude, c’est son petit plaisir : dormir dans des draps doux et frais. Mais elle ne se sent pas bien, son ventre est tordu par la nausée et elle n’arrive pas à remettre les évènements de la veille, sa mémoire est floue. Ses yeux qui ne sont pas habitués à ne pas être couverts par son masque de sommeil n’arrivent pas à s’ouvrir alors elle se renferme sous la couette chaude. D’un geste lent et tranquille elle étire son corps dans le noir de ses draps et puis fais un demi-tour sur elle-même, bien décidée à changer de côté.

Sa main s’étend, veut retomber sur l’oreiller mais s’écrase sur de la peau. La brune ouvre les yeux et se redresse, réveille par la même occasion le troupeau d’éléphants qui s’était éteint jusque-là.
Maxime récupère sa main et la réalité de la nuit lui revient en pleine face alors que ses yeux tombent sur son employé, aussi nu qu’elle, dans son lit. Les images défilent à toute vitesse dans son esprit, tout n’est pas là, elle ne se souvient pas de comment elle l’a ramené chez elle, et encore moins quel a été le cheminement jusque son lit mais elle en sait désormais assez pour comprendre d’où vient la douleur et le contenu de sa nuit. Une seconde de silence, celle d’après laisse échapper un cri hors de ses lèvres alors qu’elle remonte la couverture contre ses épaules.

« Que… sortez ! Sortez d’ici Tomislav immédiatement. » L’homme se réveille, se redresse, apparemment en proie à la confusion. Maxime n’a aucune patience, l’horreur de son geste lui fait face et elle ne veut plus voir la personne avec qui elle a partagé une… nuit… honteuse, nuit. L’employé va pour ouvrir la bouche mais : « DEHORS ! »


(c) oxymort


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MessageSujet: Re: chains & whips ø tomislav   chains & whips ø tomislav - Page 2 EmptyLun 7 Jan - 21:19

Chains & Whips
EXORDIUM.
Il réceptionne la gifle avec un grognement de plaisir. Il en veut d’autres, des plus violentes et de plus sèches que ça. C’est dans le fond de son regard que Tomislav sait qu’il n’en manquera pas ce soir, cette nuit. Le sourire du serbe s’efface, il s’écrase, se soumet face à cette impératrice qui se dresse devant lui. Maxime a tout pour le rendre fou, que ça soit physiquement ou dans ses gestes, le jeune homme pourrait bien la laisser faire toute la nuit si elle le souhaitait. Et lorsque la deuxième gifle tombe, Tomislav marque la surprise.
Il ne s’y attendait pas, arborant déjà un sourire provocateur de l’avoir fait agir selon son bon vouloir … Mais Maxime lui rappelle qu’ici, c’est elle qui commande. Elle qui domine. Et qu’il n’a aucun autre droit que celui d’obéir. Il a la joue en feu mais n’y prête guère attention lorsque sa patronne se défait du tissu couvrant le reste de sa poitrine, l’affublant d’un regard sévère.

L’excitation est à son comble pour le jeune homme qui assiste à ce spectacle plus plaisant que tout ce qu’il aurait pu imaginer mais c’est sans pouvoir se divertir plus longtemps que Maxime agrippe la chevelure de Tomislav pour le ramener vers elle, les lèvres sur serbe venant dévorer sans ménagement la peau parfumée et incroyablement douce de Maxime. S’en donnant ainsi à cœur joie pour le reste de la nuit.

±

L’épuisement a eu raison de lui.
Tomislav est plongé dans un profond sommeil réparateur, sans rêve, écrasant comme une masse et comme un bien heureux dans le lit le plus confortable qu’il n’ait jamais eu l’occasion d’avoir.
Et ces draps putain. Doux comme de la soie, à vous donner envie de ne plus jamais quitter ce lieu si sacré.
Quelque chose de lourd sur son visage l’éveil à peine. Le jeune homme fronce les sourcils, grommelle et son esprit est un peu plus tiré vers la réalité quand il sent quelque chose ou quelqu’un bouger vivement à ses côtés.

Mais ce hurlement d’outre-tombe achève de le réveiller en sursaut, Tomislav essuyant maladroite la bave sur ses lèves qui s’est légèrement écoulé sur l’oreiller de luxe qu’il occupait. Son cerveau a toutes les peines du monde à se reconnecter, à se resituer.

- Que… sortez ! Sortez d’ici Tomislav immédiatement.

Le jeune homme se redresse cette fois, captant la situation.
Il est nu comme un vers dans le pieu de sa patronne, les cheveux en bataille, entrain de se faire jeter comme s’il n’avait pas à être là. Le serbe se retourne vers sa patronne, confus.

- Po…
- DEHORS !

Le cri fuse et assassine ses tympans. Tomislav descend du lit qu’il n’aurait jamais voulu quitter, absolument pas pudique de sa nudité qu’il expose au contraire de Maxime qui cherche à se cacher derrière les draps. Il cherche ses affaires, retrouve sa ceinture, son caleçon et peine à trouver le reste. Et c’est sans compter la mauvaise humeur de sa patronne qui finit une dernière fois par lui hurler dessus, lui envoyant il ne sait quoi à la gueule qu’il évite de justesse. C’est complètement à poil qu’il dévale les escaliers, ses fringues entre ses bras, incertain de comprendre si tout cela faisait partie de leur jeu de rôle de cette nuit ou si Adler était à ce point sérieuse.
Il croise Honeycutt qui ne capte pas tout de ce qu’il se passe tandis que Maxime continue de hurler folle de rage. Tomislav a la sensation que s’il reste une seconde de plus dans le manoir, c’est sa vie qui lui sera arraché. Ce n’est qu’une fois sur le perron qu’il peut prendre moins d’une minute pour se rhabiller à la hâte, oubliant son caleçon sur le pas de la porte ainsi qu’une chaussette mais peu lui importait. Il avait cette sale impression d’avoir le diable aux trousses…



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