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Judith C. Williams

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MessageSujet: everyday life ø maximilian krkr   everyday life ø maximilian krkr EmptyJeu 11 Jan - 23:42




MINI SCENES

3RD WEEK OF SEPTEMBER

« … Du coup ?
— Mais quoi ?!
— Bah dis moi ! C’est quoi le problème ? Ça fait dix jours qu’on le voit pas passer tu vas pas me dire que c’est normal !
— Dix jours… Il se marre et je croise mes bras avant de m’en retourner vers Thomas. L’observer un moment, hésiter. Il relève la tête de son comics au bout d’un moment comme s’il était soudain conscient que je gardais mon regard sur lui et m’interroge du regard. En fait non. Je me détourne de lui et reviens vers James qui a les yeux fixés sur l’écran de son téléphone.
— Du coup, il est où ?
— J’t’ai déjà dis, lâche-moi.
— Ouais ok, le "coup de froid", et entre temps j’suis d’venue nonne. Je pousse un soupir.
— Et en quoi ça t’intéresse d’abord. Le blond relève la tête, petit sourire sur le côté. Je lève les yeux au ciel évidemment et me cale contre le bar.
— Parce que c’est mon patron et que quand on me répond pas j’insiste ? Ça te va comme raisons ? Tu vas finir par lâcher le morceau ou pas ? Et toi on t’a rien demandé derrière. Je m’adresse à Thomas et me reconcentre sur James par la suite qui fourre son portable dans sa poche et pousse un énième soupir, les sourcils maintenant froncés.
— Ouais ok d’accord, bah tu sais quoi, puisque t’es si pressée d’avoir des réponses bah c’que tu vas faire c’est que tu vas prendre tes jolies jambes et tu vas aller faire des courses pour lui ?
— J’te demande pardon ?
— Ouais je devais y aller mais j’ai pas le temps, j’dois allez chercher mon fils. Donc comme ça ben tu l’verras ton boss ok ? J’te file la liste.
— Et s’il te plait, sinon ?
— Lâche-moi Judith. T’achètes bio évidemment pour monsieur.
— Ouais ouais c’est bon ça va je sais merci gros relou. »

Il me lance un regard de l’enfer, va dire au revoir à son meilleur ami et se casse sans m’adresser un mot, mais avant qu’il n’atteigne la porte de sortie, je me redresse sur les pointes et lui crie : « ça me vaudra une soirée avec ta meuf et un gros merci Judith » qui me vaut un majeur tendu.  

« Ton pote est sacrément relou tu pourras lui faire la commission. » Je m’adresse à Thomas en récupérant la liste et en attrapant sac et manteau. Thomas lui se saisit de son téléphone et, au bout de quelques secondes, j’entends « ‘paraît qu’t’es sacrément relou » et il raccroche. Ça a le don de me faire marrer avant de lui dire au revoir et de m’atteler à la tâche donc.

Pour résumer l’histoire c’est que ça fait plusieurs jours que Max est pas passé, j’ai pas d’nouvelles quoi. Donc plusieurs choses, d’abord j’ai saisi mon opportunité pour faire une pause dans nos séances de sport atroces, mon lit me faisait la gueule à force. Ensuite bah ouais je m’inquiète un peu on est pas BFF ou quoi mais c’est chelou il est rarement absent et encore moins sur du long terme. On sait jamais quoi, t’façon j’ai aucun raison à donner. Puis ça m’a intrigué davantage quand j’ai vu que ni Thomas ni James ne voulaient répondre. J’ai laissé Kurtis tranquille parce qu’il m’évite depuis qu’il a essayé de me rouler un patin l’autre soir donc bon. Ça me fait rire mais je suis gentille je le laisse cuver le truc et je me moque même pas de lui. Ça m’casse un peu les pieds en vérité parce qu’il est venu chez moi parce qu’il avait besoin d’aide et maintenant il m’adresse plus du tout la parole, il fait juste son teubé comme avant c’est désespérant. Il me regarde à peine. Pourtant je lui ai dis et je lui ai fais comprendre que j’en avais rien à foutre et que c’était stupide. Et j’ai même pas rigolééééé quoi nan mais ça va. Mais Kurtis quoi. Du coup je le laisse mijoter puis quand il aura besoin bah il reviendra et s’il abuse je le renverrais chier parce que j’suis pas une meuf qu’on appelle ou qu’on claque des doigts et qui rapplique. D’ailleurs j’vais peut-être rappeler au sale type qui sert de mari à Natalia. Bref.
Du coup je vais faire les petites courses que James m’a gentiment demandées, assez rapide, toutes biooooo oui puis revient dans ma voiture après avoir balancé les sacs dans le coffre. J’ai fais quelques courses pour moi au passage. Je m’installe derrière mon volant et demande tout aussi gentiment l’adresse à James qui me répond quasi instantanément sur le même ton. GPS, allumage, chauffage, musique et go.

J’mets pas longtemps à arriver à une petite maison tranquille, avec des petites marches, un p’tit perron, une p’tite porte mignonne. Je regarde à deux fois l’adresse sur mon téléphone pour être sure, sincèrement étonnée du choix de baraque de Max en même temps je sais pas trop à quoi je m’attendais ; puis m’extrais de la bagnole pour récupérer les sacs.

Je fais quelques pas, toque, attends un peu, puis finis par sonner et entendre la voix de Max me dire d’entrer. J’ouvre donc la porte du coude et « Maximilian ? » héhéhéhé ouais j’avoue je m’amuse un peu, je suis toujours un peu chiante quoi la base. Je m’avance dans l’entrée, ferme la porte derrière moi et avance avec prudence, non pas parce que j’flippe ou quoi mais parce que c’est plutôt tranquille ici alors j’me laisse embarquer par l’ambiance. Pis je connais pas la maison, quoi. « Hm… C’est Judith. Je m’adresse à Max donc parle un peu plus fort, et m’avance de quelques pas sans trop savoir où j’vais. C’est James qui… Oh ! Putain tu m’as fais peur ! Je m’arrête, les sacs de courses en main, face à mon boss du coup debout dans l’encadrement d’une porte. Désolée, c’est James qui m’a demandé de passer pour te déposer des courses… Est-ce que ça va ? »


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Maximilian Warham

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MessageSujet: Re: everyday life ø maximilian krkr   everyday life ø maximilian krkr EmptyDim 14 Jan - 3:42




Max & Judith



Everyday life


Ca commence sérieusement à me gonfler de pas pouvoir faire ce que je veux et de rester sagement dans ma baraque à rien branler parce que je suis même pas foutu de porter des trucs ou de me déplacer sans grogner. La vérité c'est que cette petite salope de balle si elle ne m'a pas envoyé tout droit en enfer, techniquement j'ai l'impression de pas en être super loin là tout de suite. Cette agréable pensée en tête, je me traînasse comme un incapable jusqu'à la cuisine pour me servir un café, bon et tant que j'y suis autant me faire un sandwich parce que d'ici vingt minutes c'est sûr je vais avoir la dalle et que j'ai pas envie d'avoir à faire des putains d'aller-retour. Du coup je commence à farfouiller dans le frigo et la vérité c'est que je commence à manquer de provision, c'est la famine là dedans et évidemment on a plus de putain de prospects sous la main pour faire ce genre de truc bien relou. Merde. Je pousse un soupir puis finalement finit par me concocter un truc avec ce qui reste, ca ressemble pas à grand-chose, mais ca devrait contenter mon estomac, je suis après tout pas super difficile comme mec. Passé dix minutes debout, ca commence à être un peu compliqué alors je reviens gentiment m'étaler dans mon canapé en me remémorant ce que m'avait dit Irène. Quinze jours à en chier sévère, vu que je suis pas passé par la case hosto et que nécessairement j'ai pas eu le loisir de me voir prescrire les trucs super fort…naaaan moi je tourne à l'anti douleur vendu au black et au repos imposé, super ! Bon en même temps c'est pas comme si j'avais vraiment eu le choix, ca aurais franchement fait désordre que je me ramène à l'hosto avec une balle dans le bide pile le jour ou deux connards de keufs disparaissent de la circulation, pas besoin d'être Sherlock pour additionner un plus un…bref j'ai juste à prendre mon mal en patience pendant ces quinze jours et à jouer le connard docile à chaque fois que l'épouse O'Malley vient me faire des recommandations et vérifier que je fais pas une putain d'infection, il manquerait plus que je crève après tout ca.

J’attrape mon portable et envoie un message à James, j’ai hésité à envoyer Kurtis au charbon, mais il serait foutu de m’acheter de la merde, alors je joue la valeur sûr. « Hey Jimmy y a moyen que tu passes me faire deux ou trois courses dans l’aprem, je suis toujours assigné à domicile et je m’assèche ! Je t’envoie une liste en suivant. Merci ! Et t’envoie pas Kurtis j’te prévient ! » Je repose l'appareil sur le canap et attrape la télécommande, on va voir ce que ca donne cte connerie de Netflix dont parle toujours Judith. Ah gnagnagna nan, mais cette série est vraiment trop bien gnagna quoi ? Attend tu regardes pas ? tu connaît pas, nan, mais Maximillian faut sortir de ta grotte gnagnagna. Elle m'énerve quand elle fait ca et le pire c'est que j'ai beau lui dire que ca m'intéresse pas et que je l'emmerde, ca l'empêche pas de recommencer une semaine après, elle a vraiment une mémoire de poisson rouge cte gonzesse ou une facilité déconcertante à faire chier. Bref je regarde défiler les noms qui bien évidemment ne me disent rien, puis finalement en croise un qui ne sonne pas totalement inconnue à mes oreilles et dont elle a dû me parler à un moment donné. Je clique donc sur ce dernier et espère que je ne vais pas me retrouver devant un truc de gonzesse édulcorée.

J'ai sûrement fini par m'endormir, parce que quand je rouvre les yeux je ne comprends absolument rien à ce qui se déroule sur mon écran, j'attrape donc la télécommande et revient en arrière sur le menu, épisode six…ah oui en effet je me suis endormi et pas qu'un peu, je jette un rapide coup d'œil sur ma montre qui affiche maintenant quinze heures. Shiiit je me sens pas super, je déteste dormir en plein milieu de la journée, surtout aussi longtemps, je me retrouve toujours dans un sale mode vaseux et renfrogné. Bon du coup je vais aller prendre une douche ca me remettra peut-être un peu d'aplomb pour continuer à rien foutre. J'enfile un jean et m'apprête à passer un t-shirt quand j'entends la sonnette de l'entrée retentir. « VAZ-Y RENTRES! » Je gueule suffisamment fort pour que Manning puisse m'entendre de là où je suis. « Maximilian ? Je me stoppe net dans mon geste, c’est une blague ? Hm… C’est Judith.  Oui ba oui je m'en étais bien rendu compte, je termine de m'habiller et traverse le couloir, beaucoup moins rapidement que je ne l'aurais voulu et vient me placer dans l'encadrure de la porte du couloir, à la limite du salon et à proximité de l'entrée et la regarde s'avancer dans ma cuisine ouverte les bras chargés de paquets. C’est James qui… Oh ! Putain tu m’as fais peur ! Je lève un sourcil. Désolée, c’est James qui m’a demandé de passer pour te déposer des courses… Est-ce que ça va ? » Je secoue la tête à la négative et pousse un soupir, putain même lui était pas foutu de tenir ses engagements et envoyé Judith sérieusement ? Je m'avance vers elle. « T'as cas déposer ca là. J'adresse un signe de tête en direction du comptoir de la cuisine. Ca va ouai, juste une saloperie de grippe ou un truc comme ca. Je me racle la gorge et hausse les épaules. Il se passe quoi jte manquait c'est ca ? Nos petites séances de sport surtout je suis sûr ! Je laisse échapper un rire amusé et m'avance en tâchant de pas trop laisser paraître que j'ai un trou dans le bide. J'espère d'ailleurs que t'a continué même si j'étais pas là pour te forcer à bouger ton joli petit cul ! Je viens jeter un coup d'œil rapide dans les sacs qu'elle avait déposés devant elle et lui pose finalement une énième question. Il lui est arrivé quoi à Manning exactement ? » Je croise les bras contre mon torse et lui jette un regard interrogateur.
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Judith C. Williams

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MessageSujet: Re: everyday life ø maximilian krkr   everyday life ø maximilian krkr EmptyLun 15 Jan - 14:36




MINI SCENES

3RD WEEK OF SEPTEMBER

« T'as cas déposer ca là.

Oui, ça va bien Judith, merci d’avoir fais le taff à la place de James sinon, oh et bonjour au fait. Non bah non. Je hausse un sourcil, et me retiens d’ores et déjà de lever les yeux au ciel, me contente de faire ce qu’il me demande dans un premier temps en déposant tranquillement les paquets sur le comptoir. Ca va ouai, juste une saloperie de grippe ou un truc comme ça. Hin hin. Je lâche les sacs pleins, fais en sorte qu’ils ne se cassent pas la gueule et hausse à nouveau un sourcil, un air perplexe s’affiche sur mon visage. Je sais pas pourquoi j’y crois moyen, c’est trop simple. Pas que je l’imagine pas malade ou quoi mais allons, Thomas et James m’auraient pas fais, surement pas intentionnellement, tout ce mystère pour que ce soit juste une grippe. Peut-être que j’suis trop curieuse alors je ne rebondis pas sur le mensonge que je pressens, après tout c’est pas mes affaires, maintenant que je sais qu’il n’est pas à l’article de la mort, j’ai plus ou moins réussi ma mission. Il se passe quoi jte manquait c'est ca ? Nos petites séances de sport surtout je suis sûr !
— Tss, ah ça non, merci !
— J'espère d'ailleurs que t'a continué même si j'étais pas là pour te forcer à bouger ton joli petit cul !
— Hm tu veux la version honnête ou édulcorée juste pour savoir ? Je lui adresse un petit sourire malin, le ton tranquille. Je ne vais rien lui cacher, de toutes façon c’est pas comme si j’allais pas continuer, je l’ai dis plus tôt, enfin pensé (me semble-t-il), j’ai dis que c’était une pause c’est tout. Les efforts ça se fait pas non plus de manière intensive, j’ai arrêté l’alcool, je prends mon traitement correctement, je me suis remise à une alimentation plus correcte… je peux m’octroyer un petit instant de pause. C’est juste que bon, au final, du sport, ok mais pas à 6h du mat quoi.
— Il lui est arrivé quoi à Manning exactement ?
— Hm, il était de mauvaise humeur, déjà, mais bon ça c’est pas récent et il a eu un imprévu de dernière minute, je crois, il m’a dit qu’il devait aller chercher Eliott. Je lui passe la partie ou j’étais en train de faire chier le-dit Manning pour savoir la vérité sur son compte. Et comme j’étais en train de demander pourquoi on t’voyait plus en soirée du coup il a saisi l’occasion. Mes bras croisés, je l’observe. Hmmm, j’ai dis que je voulais pas en savoir plus derrière l’excuse de la grippe mais j’avoue que ça m’intrigue quand même. Je sais pas moi, je sais que c’est violent comme truc mais ça me paraît trop facile comme excuse pour Max. C’est peut-être ma tête trop remplie de thrillers et autres, i dunno, mais j’avoue, je l’observe, cherche les failles presque malgré moi. Il manquait deux trucs dans tes courses que le magasin avait pas, mais je te ramène ça demain, y’a un truc bio près de chez moi. Et au niveau de ta grippe, t’as ce qu’il te faut ou je peux te ramener quelque chose en plus ? T’es encore contagieux ? »


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Maximilian Warham

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MessageSujet: Re: everyday life ø maximilian krkr   everyday life ø maximilian krkr EmptySam 20 Jan - 23:31




Max & Judith



Everyday life


Autant dire que le sourire aujourd'hui c'est surement en option, elle me lance des regards circonspects dont je saisie pas forcement le pourquoi, mais bon avec elle des fois faut pas trop se poser de question ma foi. J'avoue que pourtant j'ai presque envie de lui demander si elle a un problème avec ses sourcils ou quoi, mais bon je me retiens, je la laisse arriver et puis elle a encore ses mains autour de mes provisions et comment dire j'ai pas trop envie qu'elle reparte avec et me laisse mourir de faim. Peut-être qu'elle croit pas à mon histoire ou pire peut-être qu'elle sait que je viens gracieusement de la mitonner sévère, ce que je n'espère pas, parce que si un de mes frangins a ouvert sa putain de bouche auprès d'une de mes employées, auprès de qui que ce soit derrière, je jure que je me fais sauter les points et je lui défonce sa gueule. Je me tape certainement pas une putain d’assignation à domicile pour que ca bavarde gaiement à côté et de toute façon je pense que si c'est le cas, ca ne tardera clairement pas à revenir à mes oreilles. En attendant je vais juste continuer à jouer les malades impotents et espérer que dame Judith arrête de se mêler de ce qui ne la regarde clairement pas. « Tss, ah ça non, merci!...Evidemment que ca ne lui manque pas, elle en était encore à la version rouge écarlate, je souffle toutes les cinq secondes et demande des pauses toutes les trois minutes quand j'ai dû arrêter de l'entraîner et encore l'entraîner c'était encore un grand mot sachant que j'avais à peine eu le temps de la désintoxiquer et de lui montrer deux-trois techniques d'auto-défense, bien loin de ce que j'avais en tête faut bien le dire. « Je vais prendre la version honnête, c'est pas comme si je m'attendais à ce que t'ai continué assidument. Je lui jette un regard genre on me la fait pas a moi jeune fille et attend confirmation de ce que je sais déjà ! Déjà t'as l'air sobre c'est déjà plutôt pas mal ! » Quelques secondes s'écoulent avant que je ne laisse finalement un sourire en coin venir éclairer mon charmant visage et dédramatiser ce que je viens de lui lancer juste pour le fun, j'avoue. Putain je me fais vraiment chier.

« Hm, il était de mauvaise humeur, déjà, mais bon ça c’est pas récent et il a eu un imprévu de dernière minute, je crois, il m’a dit qu’il devait aller chercher Eliott. » De toute façon avec James y avait clairement que deux raisons pour lesquels il foutait des plans, son gosse et son old lady, pas besoin de chercher plus loin du coup et le pire c'est que je suis sûre que si je chipote sur le fait qu'il se soit adressé à Judith, il va me dire. « Hey c'est toi qui m'a dit de pas envoyer Kurtis. Du coup je t'ai pas envoyé Kurtis. » Avec son sourire de branleur là. Tsss. « Ouai du coup c'est bien ce que je dis jte manquait ! J'hausse les épaules en me marrant et vient fouiller dans les sacs de cartons pour en sortir ce qu'elle a ramené, je me traînasse un peu alors du coup je fais en sorte de pas vraiment bouger. Regarde t'as déjà prévu de revenir demain. Je laisse échapper un éclat de rire avant de reprendre un air un tant soit peu plus sérieux. C'est quoi les deux trucs ? Je sors un paquet de twinkies du sac, parce que si t'as crus que tu pouvais les remplacer par ta saloperie de gâteau bourrée de merde, ca marche pas. Je croyais que t'était censé arrêter de bouffer n'importe quoi ! Je croise les bras sur ma poitrine et me penche sur le plan de travail en l'interrogeant du regard. Nan ca va j'ai ce qu'il faut, mais merci ! Donc du coup ?! »
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MessageSujet: Re: everyday life ø maximilian krkr   everyday life ø maximilian krkr EmptyDim 21 Jan - 13:54




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3RD WEEK OF SEPTEMBER

« Ouai du coup c'est bien ce que je dis jte manquait !
— Si ça te fait plaisir ! Je lève les yeux au ciel, secoue les épaules, en mode, crois ce que tu veux mon bonhomme je m’en fiche. Bon okkk, j’ai un large sourire là, présentement sur la gueule parce que ça me fait quand même marrer.
— Regarde t'as déjà prévu de revenir demain. Il ricane, moi aussi, je secoue la tête de droite à gauche.
— Je savais que je te manquais du coup je voulais être gentille avec toi, t’accorder un peu de ma divine présence. Je sais exactement ce qu’il va se dire ou même me dire, la revoilà avec son délire de princesse. Mais, hé, écoutez, c’est comme ça et c’est tout, je l’ai prévenu le jour même de mon entretien. Que je passerais sous silence. Humiliation x1000.
Il checke, fouine dans les sacs et me demande c’est quoi les deux trucs qu’il y avait pas. Je vais pour ouvrir ma bouche mais il sort… mon gros paquet de twinkies du sac. Oopsie, j’ai du mélanger les sacs, entre deux des siens un des miens à du glisser. Et évidemment que j’ai sauté sur l’occasion de la promo sur le paquet de 24 twinkies. Faut pas abuser, j’ai renoncé à plein de choses, pas à cette nourriture des dieux.
— Parce que si t'as crus que tu pouvais les remplacer par ta saloperie de gâteau bourrée de merde, ca marche pas. Je croyais que t'était censé arrêter de bouffer n'importe quoi ! Oh mais c’est qu’il fait son daddy bear là ! Je croise les bras moi aussi et je le regarde avec amusement et affront. Malade (« malade ») ou pas, il peut pas s’en empêcher. Nan ca va j'ai ce qu'il faut, mais merci ! Donc du coup ?! Il rebondit sur ma demande par rapport aux médicaments et je trouve qu’il expédie ça. Bon, tant pis pour mon œil inquisiteur pour l’instant, ça reviendra dans trente secondes j’imagine. Je vais pas le forcer à me cracher le morceau, ce serait difficile de toutes façons.
— Alors je vais répondre dans l’ordre ! Je sors mon téléphone et regarde. Les deux trucs c’est genre… tes biscuits j’sais pas quoi là et y’avait plus d’tomates. Je range mon téléphone, attire le sac vers moi, récupère au passage mon paquet de twinkies avec un air de provoc juste pour le fun, je hausse les sourcils à répétition. J’me suis plantée dans les sacs tiens, j’te ramènerais ça après. Alors. Pour ta gouverne, j’ai abandonné plein de trucs, ok. J’ouvre le sac pour lui montrer. Tu vois, le reste c’est que des légumes mon cher monsieur, mais j’ai jamais, jamais dis que je renoncerais aux Twinkies. D’ailleurs ça te ferais du bien j’pense, pour te détendre un peu. Je remets le paquet des gâteaux de la providence dans mon sac de courses et reviens sur sa dernière interrogation. Ok, bon j’ai arrêté cette semaine. Je le vois déjà qui s’offusque, je lui coupe l’herbe sous le pied direct, avant qu’il ne monte sur ses grands chevaux ne me traite de feignasse etc, ça me ferait juste chier et j’ai pas envie de m’énerver. Nan, nan mais t’énerves pas daddy ! Laisse-moi finir. C’est momentané, une mini-pause parce que mon lit me faisait la gueule. Je lui souris. Je plaisante, mais vraiment, je vais m’y remettre, juste pas le matin quoi. Ça me convient pas. Mais finalement, ça fait du bien, j’y prends presque goût maintenant que les premières heures de torture intenses sont passées. C’est bon, rassuré ? Ou tu voudras un direct live quand j’y retourne ? Je plaisante, p’tit clin d’œil au passage. Est-ce que t’as besoin de quelque chose d’autre d’ici demain ? Tant qu’à faire. »


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MessageSujet: Re: everyday life ø maximilian krkr   everyday life ø maximilian krkr EmptyVen 26 Jan - 19:54




Max & Judith



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Bien sûr que ca me fait plaisir, ca flatte mon égo et j'aime bien qu'on flatte mon égo. Je réponds rien parce que je sais que j'ai raison de toute façon, ca se voit au sourire qu'elle se traîne et puis bon elle a été faire mes courses quoi…il manquerait plus qu'elle enfile un tablier et qu'elle me prépare une tarte aux pommes.. «  Je savais que je te manquais du coup je voulais être gentille avec toi, t’accorder un peu de ma divine présence. Oh oh oh je laisse échapper un ricanement, ba voyons ca va les chevilles ? Jusqu'à preuve du contraire c'est pas moi qui l'ai faits venir ici non ? Ba tient ! Moi qui appréciais finalement le plaisir de plus t'entendre jacasser sans arrêt. Ca aura pas duré longtemps. Tristesse ! » Je laisse échapper un sourire en coin, puisqu'elle veut jouer à la maligne, elle me laisse pas vraiment le choix que de suivre, c'est le jeu, c'est comme ca. Je jette un œil dans les sacs devant moi, parce que bon je vais quand même pas non plus lui demander de ranger les courses qu'elle avait quand même eue la « grande gentillesse » (comme je suis sûr qu'elle le définira) de faire. Sauf que le premier truc sur lequel je tombe c'est ses putains de gâteaux qu'elle s'enfile toute la journée et qui en plus sont dégueulasses. Evidemment je les laisse retomber dans le sac avec un dégout fortement exagéré et la provoque un peu. Je sais pertinemment qu'elle a jamais promis d'arrêter de bouffer de la merde, mais bon c'est pour le principe du deal retour sur les rails quoi !

Elle commence par me répondre sur le sujet de ce qui manque et j'acquiesce d'un signe de la tête sans pour autant ouvrir ma grande bouche, je préfère la regarder fixement, je sais que ca marchera sans aucun doute beaucoup beaucoup mieux. Pour ta gouverne, j’ai abandonné plein de trucs, ok. Elle ouvre le sac pour me montrer que sous son paquet de gâteaux ce cache effectivement des légumes. Je laisse échappe un tic de langue et secoue la tête à la négative. Tu vois, le reste c’est que des légumes mon cher monsieur, mais j’ai jamais, jamais dis que je renoncerais aux Twinkies. D’ailleurs ça te ferais du bien j’pense, pour te détendre un peu. Je lève mes sourcils et me redresse. JA-MAIS ! Je comprends franchement pas ce que tu trouves à ces trucs, c'est infect et en plus tu sais que ca directement dans ton cul non ? Je te commanderais pas de short plus grand alors fait gaffe à toi ! » Je ponctue ma phrase d'un très léger sourire, en vrai je rigole pas, je suis super sérieux. Pas que j'ai quoi que ce soit contre les grosses, mais c'est juste pas l'image du Crash point. Bon en même temps elle en est loin hein cela va sans dire, mais bon je dis ca pour sa santé moi.

Elle me révèle sans grande surprise qu'elle n'y a pas été de la semaine. Je m'y attendais en même temps, je sais qu'elle ne le fait pas de gaieté de coeur et qu'elle n'en a en réalité pas envie, c'est juste que je ne lui ai pas laissé le choix si elle voulait garder son boulot. Nan, nan mais t’énerves pas daddy ! Laisse-moi finir. J'ai rien dit (et pourtant je pourrait parce que ca m’agace quand elle m’appelle comme ca, j’ai l’impression d’être une vieux pervers du genre Hugh Hefner), mais j'imagine que mon visage à parler pour moi. J'ouvre la bouche pour lui dire que je m'énerve que dans sa tête, mais au final je dis rien et je la laisse poursuivre. Je plaisante, mais vraiment, je vais m’y remettre, juste pas le matin quoi. Ça me convient pas. Mais finalement, ça fait du bien, j’y prends presque goût maintenant que les premières heures de torture intenses sont passées. C’est bon, rassuré ? Ou tu voudras un direct live quand j’y retourne ?  Je secoue la tête et attrape le second sac que je commence à vider sur le plan de travail pour en ranger le contenue dans le frigo et les placards, ce que je m'applique à faire de suite. Alors, déjà madame je sais tout je m'énerve pas, c'est pas mon problème, jt'ai dit quand je reviens, on reprend et pas là où on s'est arrêté, là où t'es censé être du coup c'est pour toi que je dis ca ! Si t'as pas envie de nous la rejouer tomate en sueur a grogner parce que…Et j'enclenche une moue tristounette super exagérée. Ca fait maaal Max ! Ah ah ah je laisse échapper un rire amusé alors que je referme la porte de mon frigidaire. Et le matin c'est le meilleur moment Judith, ca sera pas si efficace si tu t'es enfilé vingt-cinq twinkies avant d'y aller ! Ceci étant dit balance le live, j'ai besoin de divertissement. Mes lèvres s‘étire dans un large sourire sans dents et je lève mes sourcils. Et nan, merci, t'emmerde pas, je me débrouillerais pour les trucs manquants, c'est déjà sympa d'avoir joué les coursiers ! Je filerai ptêt un passe droit retard en récompense. Utilisable une seule fois ca va sans dire ! »
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MessageSujet: Re: everyday life ø maximilian krkr   everyday life ø maximilian krkr EmptyDim 28 Jan - 0:39




MINI SCENES

MI OCTOBER

« Alors, déjà madame je sais tout je m'énerve pas, c'est pas mon problème, jt'ai dit quand je reviens, on reprend et pas là où on s'est arrêté, là où t'es censé être du coup c'est pour toi que je dis ca ! Si t'as pas envie de nous la rejouer tomate en sueur a grogner parce que… Duuuuuuuuhhhhhh, boriiiiiiiiiing ! Je souffle pendant qu’il parle, croise mes bras et lève mes yeux au ciel. Ouais j’ai douze ans ouais, en même temps duuuuuuuuuh c’est insupportable. Insupportable ! Je sais c’qu’il va faire, je le sais. Ca fait maaal Max ! Purée s’il était pas « malade » ! Mais arrête enfin ! Je pousse encore un soupire, il me soule, ma vie ! Il me soule. Ça l’amuse trop, moi j’ai plus envie de rigoler ça y’est ! Quoi qu’en dise mon pseudo-sourire qui tire le coin de mes lèvres, résultat de la moue triste qu’il s’est plaquée au visage. Ouais bon, ça va, ça va… Je ne bouge pas tandis qu’il s’amuser à ranger ses trucs et j’observe ses mouvements, non pas pour la beauté du muscle (parce qu’on avait compris qu’il en a, ça va merci !), ni parce que j’compte le dessiner au fond d’une méridienne titanic style mais parce que ça m’interpelle un peu m’voyez. Hmmm, mon instinct sherlockéen ne s’éteint visiblement jamais, je mène toujours l’enquête, récupère des ragots et tout et tout. Et le matin c'est le meilleur moment Judith, ca sera pas si efficace si tu t'es enfilé vingt-cinq twinkies avant d'y aller ! Ceci étant dit balance le live, j'ai besoin de divertissement. Et nan, merci, t'emmerde pas, je me débrouillerais pour les trucs manquants, c'est déjà sympa d'avoir joué les coursiers ! Je filerai ptêt un passe droit retard en récompense. Utilisable une seule fois ca va sans dire ! Je laisse échapper un rire, l’observe, les bras toujours croisés, et cherche comment formuler mes propos. Hm, attends, laisse-moi voir, tu devrais pas revenir dans tant de temps que ça nan, si c’est une p’tite grippe. Une bonne semaine bien reposée et tout roule sur des roulettes, nope ? Je lui souris. Donc ça va j’ai le temps de rattraper mon retard. Je lui souris tranquillement, toujours, j’achète toujours pas cette histoire de rhume, soi-dit en passant. Mais j’irais pas plus loin, c’est pour le faire chier, après le reste c’est pas mon business mais c’est quand même rigolo. La p’tite chasse aux sous-entendus, parfois c’est fun. Et ensuite, non mais faut arrêter sur deux choses, premièrement le sport c’est mieux le matin pour des tarés comme toi qui n’ont aucune pitié pour leur lit. Ensuite, j’en mange pas 25, j’en mange un le matin un au goûter, les meilleurs repas de la journée, tu changeras jamais ça dans mes habitudes. C’est mon réconfort ok ! Avant de débarquer au taff pour marcher avec des quinze centimètres pendant sept heures. Tss. Je récupère mon sac à main, mon sac de courses puis enchaine encore. Ok, ok pour les trucs mais sinon tu m’dis, j’m’en fous c’est sur mon chemin pour le boulot donc bon. Je retiens pour le passe-droit, c’est noté, merci d’avance ! J’ai hâte de rentrer chez moi, ohhh, mon canapé m’attend, mon LIT m’attend, fabuleux jour de congé sur lequel j’ai bossé certes mais peu importe, ça m’occupe j’ai pas trente-six milles trucs à faire en dehors de mon taff. J’ai pas un tas d’activités surprenantes en extra donc pourquoi pas aider quand y’a besoin. Je sais, je sais, je suis trop bonne. Bon ! Rétablis-toi bien et mange pas trop t’auras peut-être du surplus à perdre sinon quand on va reprendre tout ça. Je lui adresse un grand sourire encourageant, plein de bonnes intentions. Ah et ton sac, d’abord. Je sors de chez lui une première fois, balance mes courses dans le coffre et fouille les sacs à la recherche du sien, le dernier et reviens à l’intérieur. Allez salut Monsieur Muscles ! Pense pas trop à moi et si j’te manque t’as qu’à m’sonner. Je lui envoie un baiser, puis m’échappe, ferme la porte et retourne à ma voiture en sifflotant. Mon lit, mon oreiller, mon sommeil, aaaah. Perfect.

Ø

« AAAAaaaaaaah… » Je pousse un long soupir, pose un poing sur mon genoux, lève l’autre main en signe de reddition. Je suis effectivement rouge, en sueur, épuisée, sur les rotules. Je sens que cette séance va me faire douiller de retour à la baraque. J’abandonne, ça y’est, c’était le coup de grâce pour moi. J’ai mis toute mon énergie à essayer de le dévaster, j’ai fais des progrès, je me suis améliorée et je suis largement plus endurante qu’en fin aout (pas difficile en même teeeemps). Mon petit jogging habituel maintenant que j’ai pris l’habitude (même si c’est pas suffisant nianianiania chut max) m’a permis de remuscler un peu l’tout, de tonifier, de m’endurcir. Les séances de self-défense, j’avoue, c’est largement plus difficile mais c’est plus amusant quelque part. J’me suis découverte un peu compétitive, pas dans l’sens ou j’ai envie de faire mieux que quelqu’un en l’occurrence Max lui-même mais mieux que mes séances d’avant, plus que ce que je suis capable de faire. Et ouais bah, j’ai réussi quelques coups et chaque fois c’était trop cool. Trop gratifiant ! De pouvoir me dire que je peux éventuellement renverser la montagne de muscles qui me sert de boss alors je peux casser la gueule (façon de parler) de l’abruti moyen qui voudrait m’emmerder. Au moins un peu.
Honnêtement, c’est thérapeutique. J’ai l’impression de reprendre un peu de contrôle sur ce que je suis et sur ma vie, j’ai moins peur de ce qu’il va se passer. Je vais toujours pas à l’arrière du Crash pour fumer, comme tout le monde, certes. Je kiffe pas non plus les fêtes en groupe, réfrène les sorties, j’me fais pas totalement confiance et je suis loin d’avoir tout réparé. Les vieux traumas sont ressortis avec les plus neufs et c’est vraiment pas agréable d’avoir a dealé avec ça, d’ailleurs généralement je mets tout de côté. Mais au moins, au moins, j’ai repris quelque chose en main. « Ok… ok, cette fois j’ai mon compte c’est bon, t’as gagné, encore une fois ! Tout à fait injuste si tu veux mon avis, on n’est pas à égalité, quoi ! je relève la tête, lui souris, puis me redresse enfin, étire mon dos qui craque et passe un main sur mon front. Il fait trop le malin ! Ça va t’y as pas été avec le dos de la cuiller aujourd’hui, qu’est-ce qu’il y a tu t’es disputé avec Kurtis tu voulais décharger la colère ressentie envers ton fiston ? Je le taquine, gentiment, évidemment, comme d’habitude, histoire de me venger verbalement de la sale séance qu’il m’a infligée. Vous vous savez pas ! Un jour l’élève dépassera le maitre, j’espère que tu verseras au moins une petite larme, hé ! »



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Maximilian Warham

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MessageSujet: Re: everyday life ø maximilian krkr   everyday life ø maximilian krkr EmptyDim 4 Fév - 4:47




Max & Judith



Everyday life


Je vois que je l'énerve , elle fait sa tête de c'est bon j'ai plus envie de jouer, mais pas de bol c'est la tête que je préfère, elle devrait savoir que de toute façon je gagne toujours. Je lui adresse une moue un peu triste et forcément complètement feinte qui lui tire malgré tout un sourire et là je sais que j'ai définitivement gagné la partie surtout quand elle râle comme une gamine de douze ans sans arguments. Je m'active tranquillement, on va éviter de trop pousser sur cette connasse de plaie et range les courses que dame Judith m'a gracieusement ramené. Je me note quelque part dans un coin de ma tête qu'il va falloir que je touche deux mots à ce petit con de Jimmy pour s'être déchargé comme un vieux lâche sur une de mes employées au lieu de refiler la tâche à Tomi la flûte ou au petit copain de Kurtis. Elle reste silencieuse et dieu sait que c'est pas habituel alors je savoure un instant avant de lui faire une fois de plus la leçon sur sa façon de bouffer et quand même lui offrir une petite récompense pour le dérangement en plus cela va sans dire de ma reconnaissance. « Hm, attends, laisse-moi voir, tu devrais pas revenir dans tant de temps que ça nan, si c’est une p’tite grippe. Une bonne semaine bien reposée et tout roule sur des roulettes, nope ? Donc ça va j’ai le temps de rattraper mon retard. » Bien sûr, c'est quoi son blabla là, il est hors de question que je reste indéfiniment dans mon putain de salon, parce que d'une ca serait franchement suspect et de deux je me fais déjà chier alors que ca fait qu'une foutu semaine que je me suis pris cette balle. Donc Irène peut bien dire ce qu'elle veut, mais je laisserais pas le crash à l'abandon plus longtemps. « Rassure toi princesse je serais de retour la semaine prochaine. Je voudrais pas que t'ai l'impression que je t'abandonne…je laisse un sourire perler au coin de mes lèvres. La fête est bientôt finie, alors tâchez de profiter ! Enfin pas trop quand même je vous ai malgré tout à l'œil ! » Je lève un sourcil avant de venir reposer de nouveau mes coudes sur l'ilot centrale de ma cuisine ou trône encore le sac de course qui lui appartient.

Et la voilà repartie sur le combat de sa vie à savoir la défense de ses petits gâteaux préférés. Ceci étant dit sa petite remarque sur mon rapport au sport me fait lâcher une exclamation amusée. Elle fait son laius et récupère par la même ses affaires, c'est du fissa dit donc, pas que sa compagnie me manque par avance, mais peut-être un peu quand même parce qu'au final je dois bien reconnaître que c'est pas désagréable de voir quelqu'un et puis bon c'est toujours un minimum distrayant avec elle. « Hey!  faut ce qui faut ma jolie ! En attendant je crois pas être une publicité mensongère ! J'écarte les bras en mode coq de basse-cour, en même temps je bosse pas autant à m'entretenir si c'est pas pour pouvoir me vanter un minimum du résultat ! Et cherches pas tu me vendras jamais à la cause de ton truc chimique et degueu ! Je secoue la tête à a négative micro sourire en place. Nan nan t'inquiète c'est bon ! tu peux retourner à ta petite vie et à tes talons de quinze centimètres ! Elle me souhaite ensuite un bon rétablissement et je me contente de hocher la tête alors qu'elle en profite pour me vanner, elle perd rien pour attendre celle là. Fais ta maligne tant que tu le peux, on en reparlera quand comme tu dis on reprendra…. » Je la laisse s'échapper pour me refourguer le sac de courses qu'elle avait laissé par mégarde dans sa voiture et la regarde finalement disparaître dans sa bagnole. Je secoue machinalement la tête et rentre à mon tour dans ma baraque finir de ranger ma livraison premier choix.

Ø
Mi- octobre


Elle grogne comme d'habitude alors que je me redresse de toute ma hauteur et la regarde essayer de reprendre son souffle, oui parce que des couleurs elle en manque clairement pas là tout de suite. Elle lève sa main vers moins le corps plié en deux et la respiration fatiguée et je chipote pas parce qu'elle s'est bien défendue, clairement je peux constater de l'amélioration et surtout elle a arrêté de chipoter toutes les cinq minutes pour finalement se donner à fond dans les entraînements. J'ai toujours aimé ca de toute façon, les cas un peu difficiles ou désespérés c'est ma came, dans une autre vie j'aurai sûrement sauvé la veuve et l'orphelin. « Ok prend cinq minutes et va boire un coup ! » Je commence à faire quelques étirements, principalement sur mes bras pendant qu'elle se remet de notre petit échange. Honnêtement elle a de la ressource, c'est sûr que je vais jamais le lui dire comme ca parce que je la connais suffisamment maintenant pour savoir que ca aurait pas l'impact souhaité, elle serait franchement capable de se reposer sur ses lauriers et de privilégier « juste une fois » netflix à nos entraînements et c'est pas le deal… Elle finit par se redresser et se tourner vers moi. « Ok… ok, cette fois j’ai mon compte c’est bon, t’as gagné, encore une fois ! Tout à fait injuste si tu veux mon avis, on n’est pas à égalité, quoi ! Je me marre, évidemment qu'on est pas à égalité, mais elle a tendance à vite oublier qu'il y a encore genre un bon mois, elle tenait pas deux secondes debout face à moi. Parce que tu crois que les connards dehors ils vont regarder à deux fois pour vérifier si y a égalité ? Tu te débrouilles pas si mal…y a encore clairement du boulot, mais on y arrive doucement. Des encouragements, mais toujours tout en mesure, parce que de toutes façon si y a bien un truc que j'ai capté avec Williams c'est qu'il n'y a rien qui marche mieux que la provocation. Si t'essayait VRAIMENT je suis sûre que tu pourrais me bloquer… J'affiche un air sérieux et lève une épaule, avant d'attraper ma bouteille d'eau et d'en avaler une bonne rasade. Ça va t’y as pas été avec le dos de la cuillère aujourd’hui, qu’est-ce qu’il y a tu t’es disputé avec Kurtis tu voulais décharger la colère ressentie envers ton fiston ? Un jour l’élève dépassera le maitre, j’espère que tu verseras au moins une petite larme, hé ! »  Je manque presque de m'étouffer avec ma flotte et porte ma main à ma bouche. Elle est sérieuse elle ? On dirait bien qu'elle a envie de se rajouter une petite dizaine de minutes en ma compagnie…j'aime bien Kurtis, je suis plutôt content de voir qu'il se bouge un peu finalement et qu'il trouve (lentement, mais c'est Kurtis il a jamais été du type lièvre) sa place au sein du crew, ceci étant dit avant qu'il me dépasse il va falloir s'accrocher sévère je pense. Ahahah mais t'es pas si fatiguée que ca à ce que je vois, ta langue fonctionne encore…fallait le dire si t'en voulais encore Williams, aucun problème on est reparti pour dix minutes ! Je lève la main devant elle pour la stopper avant même qu'elle ne pense à ouvrir la bouche. Pas la peine de te plaindre ca marchera pas, si tu veux arrêter et mériter ton petit-déj (ouai faut pas oublier qu'il est à peine plus de sept heures du mat') t'as plus cas me foutre par terre. Vas-y j'attends. »
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MessageSujet: Re: everyday life ø maximilian krkr   everyday life ø maximilian krkr EmptyMer 7 Fév - 23:05




MINI SCENES

MI OCTOBER

Il m’accorde cinq minutes, oh comme c’est gentil. Néanmoins j’fais pas trop ma maligne parce que cinq minutes, c’est la vie, c’est trop cool, je bois tout mon soûl pendant ces cinq minutes, regrette de fumer encore et surtout, rêve de petits twinkies volants. J’ai le droit à un encouragement entre deux pics, parce que c’est comme ça que ça marche entre nous et aussi parce que me brosser dans le sens du poil, même si c’est agréable, ça ne marche pas. Pas du tout. Je suis pas une feignasse, et maintenant que j’ai pris l’habitude de faire du sport ça va. Mais me ménager ça me donne pas envie d’en faire plus, ça me motive pas. J’ai besoin d’un peu de compétition et la provoc, ce qu’il utilise évidemment à merveille, ça réveille ma colère, un peu et mon envie de vaincre. De réussir. C’est quand même plus intéressant comme challenge, qui n’aime pas avoir raison, hm ?

D’ailleurs, entre deux gorgées d’eau, je m’occupe de lui faire savoir que la séance a été particulièrement intense, comme je les aime, enfin je dis ça parce qu’elle est terminée. Sur le moment c’est jamais très agréable de devoir faire et refaire les mêmes manœuvres et rater chaque fois. Mais c’est pas grave, je perds pas la foi, je répète, recommence, me fait later, me relève, recommence. J’étire un peu mon dos, les deux bras au-dessus de ma tête, souffle un bon coup, j’ai déjà hâte de prendre une bonne douche bien chaude.

« Ahahah mais t'es pas si fatiguée que ca à ce que je vois, ta langue fonctionne encore…fallait le dire si t'en voulais encore Williams, aucun problème on est reparti pour dix minutes ! Hein quoiiiiiiii ? Je vais pour émettre une première plainte mais le goujat me stoppe net dans mon élan, surement trop habitué à m’entendre couiner pour dix minutes de plus. J’suis pas prête là, mon esprit est déjà parti sous la flotte brûlante, parée à rejoindre une armée de Twinkie. Pas la peine de te plaindre ca marchera pas, si tu veux arrêter et mériter ton petit-déj. t'as plus cas me foutre par terre. Vas-y j'attends.
— Ah ouais ? C’est comme ça, ok ! Je bois encore une gorgée, referme la bouteille que je balance sur mon sac plus loin, repousse mes cheveux derrière mes oreilles. Ok, let’s do this ! Je fais craquer mes chevilles et revient me placer devant lui, tâche de me focus comme il se doit. Je remonte mes mains, régule ma respiration et j’attends sa première attaque pour essayer de me défendre, le concept est simple. Je joue toujours le même rôle, celui de celle qui doit se détacher de l’assaillant. Évidemment on est dans une situation ou je suis consciente du danger, attaquée à moitié par surprise, mais c’est déjà pas mal.

Première attaque, il gagne, me renverse, je meurs. Deuxième attaque, il gagne encore le round, je suis encore morte et ça commence déjà à m’énerver. Je me relève, grogne, il est focus mais arrive quand même à sourire à moitié. Je cache pas ma frustration, c’est sur mais c’est pas grave, ça me pousse à faire mieux. Debout à nouveau, on reprend. Et les prises s’enchainent, je trouve des points d’entrée mais n’arrive pas à le renverser, m’évite quelque fois de finir moi-même morte comme ce serait le cas dans une situation réelle, mais n’achève pas. Je m’agace, tâche de me concentrer davantage, je crève de chaud, il ne me ménage pas et je lui rends bien.
Jusqu’au moment où j’y arrive, enfin. Je le sens, un léger mouvement en arrière, je l’ai déstabilisé, j’ai une fenêtre d’une demi-seconde d’ouverte pour réagir, à peine. C’est ce qu’il m’a déjà dis, il suffit d’une seconde d’inattention, d’un court instant pour faire pencher la balance. Et un bon réflexe peut sauver une vie, alors je saisis l’opportunité, mon corps le fait à ma place en réalité et ce à force de pratique d’ailleurs, dès que l’alarme est tirée dans mon cerveau.

« Ah AH ! Enfin ! Mr Warham vous êtes vaincu. C’est une exclamation victorieuse qui s’échappe de mes lèvres alors que je me retrouve au-dessus de lui, bloquant ses gestes. Je lui adresse un grand sourire, le visage à quelques centimètres du sien. Ce qui me trouble d’ailleurs l’espace d’une seconde et je reste là plantée jusqu’à ce que j’arrive à me rappeler que je dois maintenant le laisser retrouver sa liberté de mouvement, alors je lâche ses bras, ramène ma jambe de mon côté et me laisse choir sur le dos l’espace de quelques secondes. Aahhh… j’ai cru que j’allais JAMAIS y arriver, jamais. Une fois c’est bien ! c’est déjà bien… Je reste là, sur le dos, respire, retrouve mon souffle. Et oui je m’auto-congratule un peu. Mais bravo, ça va tu t’es pas trop mal débrouillé toi aussi. » Je le taquine évidemment, finit par me redresser dans un grognement endolori, plie mes jambes pour poser mes bras sur mes genoux et l’observe bouger. Hmmmm, ahahahaha. Naaah, rien.


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MessageSujet: Re: everyday life ø maximilian krkr   everyday life ø maximilian krkr EmptyLun 12 Fév - 6:16




Max & Judith



Everyday life


Elle ne chipote pas. Grande première ! Enfin je sait qu'elle le fait intérieurement, ca se voit à sa tête de petit roquet furieux, mais au moins j'ai pasà l'entendre chouiner qu'elle est fatiguée et que c'est bouh bouh bouh trop dur. Preuve que ca commence à rentrer et surtout qu'elle commence à s'habituer ce qui est plutôt bon signe, surtout que clairement elle s'améliore plutôt bien, surtout depuis qu'elle a décidé de s'y mettre sérieusement (ou plutôt depuis que je lui ai laissé beaucoup moins de liberté.). Je suis quant à moi pas vraiment à cent pourcent, en tout cas pas encore, à dire vrai je suis même pas censé faire du sport, rien d'intensif pour citer Irène et bon même si princesse relou est un poids plume, ca reste du genre combat de proximité et je suis pas à l'abri de me prendre un coup mal placé, enfin…jusqu'ici ca n'est pas encore arrivé et on va juste espérer que ca va continuer comme ça.

Elle me fait rire à sautiller là sur place en mode Rocky Balboa, mais je tâche de rester sérieux, je ne suis pas là pour rigoler, c'est relativement sérieux cette histoire, en tous les cas pour moi. Je lance une première attaque, m'avance tranquillement vers elle, me décale juste légèrement sur sa droite et me contente de balayer ses jambes d'un coup sec et mesuré. Elle tombe sans même avoir le temps de tenter quoi que ce soit pour me contré, à coup sûr elle ne l'a même pas vu venir celle-là. Un sourire vient s'afficher sur mes lèvres et je lui tends la main pour l'aider à se relever et une fois sur ses pieds je reprends ma place initiale. « Soit plus vigilante, l'attaque viendra pas forcément frontalement. Faut que tu sois attentive à l'ensemble de ton environnement, pas juste à ce qui se présente comme prévisible. Je frappe dans mes mains. On recommence on va essayer de dos, ca t'obligeras à utiliser tes petites oreilles et à anticiper. » Je viens me placer à quelques mètres d'elle dans son dos et réfléchie un instant à une tactique d'attaque. Je reste silencieux un instant avant de finalement m'avancer, rapidement, je lève mon bras et vient le placer devant elle par la gauche, l'empêchant non seulement d'avancer, mais aussi de reculer et ca ne me prend qu'un geste pour la faire basculer sur le dos. « C'était particulièrement mauvais. Aller debout miss Twinkies ! On la refait même positionnement, tactique différentes. Concentre toi. » Je me replace de nouveau derrière et cette fois je l'attrape par le bras que je retourne (sans trop de force) dans son dos pour l'y bloquer, mais elle arrive à se dégager en quelques secondes. Bien. Je lui enchaîne deux trois tentatives, bloque une bonne partie des siennes, mais elle lâche pas l'affaire, visiblement décidé à pas finir sur le sol une nouvelle fois. C'est stimulant de faire face à un peu de répondant et de détermination. Je tente un truc un chouia plus compliqué, mais l'anticipation est bonne et d'un geste assuré elle me fait perdre l'équilibre du côté gauche et BAM je touche le tapis. J'ai pas le temps de me tourner qu'elle vient se foutre sur moi et bloque mes bras de chaque côté de mon torse. « Ah AH ! Enfin ! Mr Warham vous êtes vaincu. J'hoche la tête, un petit sourire en coin. C'était bien joué, je suis content et satisfait de voir que mes leçons portent leurs fruits.

Niveau proximité on peut difficilement faire mieux que là vu qu’elle reste à califourchon sur moi, son air tout victorieux à quelques centimètres de mon visage. Je lui jette un regard genre meuf va peut-être falloir bouger, regard qu’elle saisie rapidement puisqu’elle roule sur le côté et se laisse retomber sur le tapis à côté de moi. Bon c’est pas que c’est pas agréable hein, mais faut pas oublier pourquoi on est là et peut-être aussi que c’est mon employé et chez moi les employés restent des employés. C’est non négociable. Aahhh… j’ai cru que j’allais JAMAIS y arriver, jamais. Une fois c’est bien ! c’est déjà bien… Mais bravo, ça va tu t’es pas trop mal débrouillé toi aussi. » Je laisse échapper un rire amusé. « T'enflamme pas trésor. Tu t'es bien débrouillée, mais t'as encore des progrès à faire, t'es pas assez focus, je sais pas par quoi tu te laisses distraire, mais va falloir bosser là-dessus ! Je me redresse finalement et vient remonter mes genoux avant de finalement me lever et tirer sur mes épaules. Et je pense qu'il va falloir qu'on fasse quelque chose pour tes petit bras de bébé. J'attrape son bras gauche et le secoue un peu avant de la lâcher en rigolant. Ca te faciliterait les choses d'avoir un chouia plus de force. Je te sortirais les poids de fillettes pour commencer t'inquiète pas. » Gros sourire de batard. Je peux m'en empêcher c'est juste trop facile de la titiller comme
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MessageSujet: Re: everyday life ø maximilian krkr   everyday life ø maximilian krkr EmptyMer 14 Fév - 21:45




MINI SCENES

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« T'enflamme pas trésor. Tu t'es bien débrouillée, mais t'as encore des progrès à faire, t'es pas assez focus, je sais pas par quoi tu te laisses distraire, mais va falloir bosser là-dessus ! J’me laisse pas distraire, duh ! J’suis super concentrée mais c’est grave difficile. J’aime bien que ce soit difficile, alors je dis rien ! J’ai pas envie qu’il me ménage, il le fait pas et même si je lui demandais il le ferait pas et c’est très bien ! Mais j’ai pas envie de me ménager non plus. Plus je rencontre d’échec plus je m’énerve et plus j’essaie de les analyser pour ne pas refaire les mêmes erreurs, j’suis partisane du fait qu’on peut pas tout faire d’un coup, tout, parfaitement, sans se casser la gueule. J’ai besoin d’apprendre les choses, et je peux pas m’améliorer si j’ai pas de quoi regarder en arrière et tester l’erreur, comprendre le mécanisme qui a fait défaut. J’ai envie de continuer à bosser tant que je le peux, d’abord parce que c’est un truc qui m’aide, à garder l’esprit clair, quand j’ai besoin de penser à autre chose ou besoin de savoir que je peux me sortir de ma merde comme je l’ai toujours fais, j’ai ça, nos séances de self-défense, ces moments ou je sors de chez moi pour aller à la salle quoi. Ça me donne l’impression d’avoir repris sur le sort un peu de contrôle, et ça fait du bien. Et je pense qu'il va falloir qu'on fasse quelque chose pour tes petit bras de bébé.
— hey ! Ça me fait sourire, évidemment, je lève les yeux au ciel alors qu’il fait gigoter mon bras comme un petit morceau de roti plein d’gras. Bah en plus il a surement pas tort, j’ai pas spécialement de force dans les bras, je fais pas de muscu plus que ça quoi.
— Ca te faciliterait les choses d'avoir un chouia plus de force. Je te sortirais les poids de fillettes pour commencer t'inquiète pas.
— Nah mais je rêve ! De fillettes, tss, tu feras moins le malin quand mes bras de fillettes réussiront à parer tes coups chaque maudite fois ! Parce que ça arrivera un jour ! Je tire d’ailleurs sur mes petits bras de poulet pour étirer les muscles dans mon dos, après lui avoir lancé un petit regard de provocation, comme d’hab quoi. Je finis par pousser un soupir, récupère ma bouteille d’eau un peu plus loin, viens m’adosser contre le mur quelques secondes. Mais ceci dit avec un peu plus de sérieux, carrément partante pour les exercices. Tant qu’à faire autant tout optimiser. Le tout étant mon superbe corps de princesse plante verte évidemment. J’en aurais bien besoin pour les centaines de revanche que j’dois prendre sur toi… On s’refait ça quand du coup ? Pas trop tôt, le temps que tu te remettes de mon ÉVIDENT carnage ? » Là, je me moque de moi-même, l’autodérision est un superpouvoir qui ne l’empêche pas pour autant de surenchérir mais je lui montre que moi aussi j’ai des capacités pour le faire seule.

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Maximilian Warham

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MessageSujet: Re: everyday life ø maximilian krkr   everyday life ø maximilian krkr EmptyDim 18 Fév - 6:30




Max & Judith



Everyday life


Je peux pas m'empêcher de rire, j'attends de voir ca parce que si elle est pas mauvaise je suis pas sûre qu'elle soit capable de me foutre par terre anytime soon, là ca fait exception parce que je ne suis pas encore à cent pourcents remis de la balle que je me suis prise y a un mois et par conséquent j'ai beaucoup moins d'amplitude dans mes mouvements. Bref on sait jamais peut-être qu'elle finira par me surprendre, mais pas avant d'avoir fait quelque chose pour remédier à ses bras de poulet. Je hoche la tête avec un sourire en coin. « J'aimerais bien voir ca tient. Et dis-moi princesse tu comptes faire ca comment au juste ? Je me plante devant elle et croise mes bras (beaucoup plus impressionnant que les siens ca va sans dire) sur mon torse en levant un sourcil avant de secouer la tête et de la laisser se réhydrater un peu, je voudrais pas la déconcentré elle risquerait d'en foutre partout. Je récupère la mienne de bouteille et en fait de même alors qu'elle acquiesce avec sans doute moins d'opposition que je l'aurai pensé. En réalité à bien y penser elle rechigne plus vraiment depuis qu'on a repris. Je suis bien content de voir que j'ai pas misé sur la mauvaise solution, j'avais une chance sur deux c'est vrai, mais visiblement mon effort valait la peine. J’en aurais bien besoin pour les centaines de revanche que j’dois prendre sur toi… On s’refait ça quand du coup ? Pas trop tôt, le temps que tu te remettes de mon ÉVIDENT carnage ? »  Je jette ma bouteille au fond de mon sac de sport et me retourne vers Judith qui une fois de plus, fait la maligne pour pas changer. Puisque visiblement t'en redemande Williams on a qu'à dire demain à la même heure et compte trente minutes supplémentaires pour tes nouveaux exercices ! Sur ce je récupère mon sac, en sort un t-shirt et enlève celui avec lequel je viens de m'entraîner pour passer le propre. Devant ton silence de mort je considère que c'est bon ! Aller je dois y allez, je te vois ce soir au Crash t'facon ! Je lève un doigt inquisiteur devant elle avant de lancer le sac de sport sur mon épaule. Soit pas en retard ! Allez, a tout à l'heure et te goinfre pas de gâteaux. »

Ø
Novembre



Sept-heure du mat. Je débarque à l'adresse que Judith m'a filée pour que je passe la chercher pour notre séance habituelle. J'avoue j'avais zappé qu'elle avait déménagé et que du coup maintenant madame vivait Dowtnown ce qui m'arrange pas des masses mais bon je peux bien faire l‘effort surtout si c'est qu'une question de bagnole quoi. Une fois garé en bas je lui envoie un texto pour lui dire qu'elle peut descendre et après cinq minutes sans réponse et sans la voir arriver, je décide de l'appeler…bon ok ca fait pas cinq minutes parce que j'ai aucune patience, disons plutôt genre trois. La sonnerie se fait entendre deux, trois, quatre fois, mais toujours pas de réponse…putain à tous les coups elle s'est pas levée ou alors elle est en train de boire son café comme une fleur dans le fond de son canapé…si c'est ca je vais devoir la tuer. Je réessaye une deuxième fois sans plus de succès. Putain elle va m'obliger à monter. Je finis par sortir de la caisse et grimpe les étages qui me séparent de son appart, elle a intérêt à se bouger le cul parce que je me déplace pas pour rien quoi. Une fois arrivé devant la porte je cogne deux-trois coups et j'attend…Rien! Bon okay maintenant ca commence à être bizarre, ca m'inquiète un peu, c'est pas vraiment le genre habituellement. Je réitère le geste et alors que je m'apprête à tourner les talons, j'entends finalement du bruit de l'autre côté de la porte alors je m'arrête en me disant qu'elle va encore m'obliger à jouer les relous…sauf que le spectacle sur lequel s'ouvre cette putain de porte me fait ravaler toute idée de dire quoi que ce soit. La surprise laisse place à un froncement de sourcils… « Bordel Ju', il t'es arrivé quoi ? Ca va ? Je rentre, j'ai pas été invité, mais là tout de suite je m'en fouts, je rentre et ferme la porte derrière moi. Qui t'as fait ca ? » Ca y est, maintenant je suis vraiment en colère et elle n'a rien à voir avec le peu d'agacement que j'avais pu ressentir y a cinq minutes, là je suis vraiment en rage.
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Judith C. Williams

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MessageSujet: Re: everyday life ø maximilian krkr   everyday life ø maximilian krkr EmptyMer 21 Fév - 0:10




MINI SCENES

MI OCTOBER / MI NOVEMBER

« Puisque visiblement t'en redemande Williams on a qu'à dire demain à la même heure et compte trente minutes supplémentaires pour tes nouveaux exercices ! hiiiiiinnn quoiiiiii naaaaaaannn, c’est pas ce que j’ai dis ! Naaaannn… je jette un œil au passage à son petit changement de t-shirt, parce que oui, j’ai le droit, après tout, il faut savoir se récompenser dans la vie. Je fais plein d’effort sportifs, je mange mieux, je remets ma petite vie nulle sur les rails alors j’ai le droit de m’octroyer un petit coup d’œil par-ci par-là. Qui m’en voudrait sérieusement, vous l’avez bien regardé ?
— Devant ton silence de mort je considère que c'est bon ! Aller je dois y allez, je te vois ce soir au Crash t'facon !
— Hey noooooo j’ai rien fais, dis nooooo… Il récupère son sac de sport et me pointe du doigt en mode papa bear (comme d’habituuudeeeuh)
— Sois pas en retard ! Allez, a tout à l'heure et te goinfre pas de gâteaux.
— Je fais c’que j’veux Warham, c’est pas parce que t’as les boules que j’t’ai vaincu que tu dois te venger avec une demi-heure de plus ! » Je lève la voix sur la fin de ma phrase pour être sure qu’il m’entend avant de quitter la salle. Il ne me répond pas évidemment mais je sais bien qu’il a capté, en tout cas j’espère, parce que c’est la pure vérité. Il est simplement blessé dans son égo parce que je l’ai brillamment renversé douze fois aujourd’hui, ouais ouais, puuuuure vérité. Je pousse un soupir, laisse un sourire se former sur mes lèvres avant de balancer ma bouteille d’eau dans mon sac. Je sens que je vais douiller maintenant et avant de partir, je préfère me poser deux minutes et m’étirer dès maintenant histoire de pouvoir bosser ce soir sans trop de courbatures. Ensuite, direction la douche, puis maison, netflix, dodo, un peu et enfin, le Crash.

Ø

Mi-novembre

« Hmmm… Ça cogne, quelque part, autour de moi, dans mon cerveau. Matthew… J’ai pas encore les yeux ouverts, ça tourne dans les ténèbres de mes paupières closes, il me faut un effort surhumain pour sortir du sommeil. Ça cogne encore, et moi, à nouveau : Goodwin ! Je lève la voix pour forcer mon colocataire à sortir de sa cachette. Je sais même pas s’il est là, mais j’aimerais bien qu’il aille ouvrir la porte d’entrée, en bas des escaliers, SI POSSIBLE. Je suis pas toute seule dans cette putain de baraque et j’ai eu des mauvaises matinées ok, donc j’aimerais pouvoir dormir ce matin. Je suis d’ores et déjà contrariée, et j’ai mal au crâne accessoirement. Je pousse un large soupir alors que je me redresse dans le canapé, enfin, les yeux à moitié ouverts. Je passe une main sur mon visage et ça me rappelle la marque que j’ai sur la moitié de l’œil en m’élançant une vive douleur qui se répercute jusque ma mâchoire. Deuxième soupir, putain d’merde quoi… Dès le matin ça commence à m’gaver, bordel. Je jure, peste, m’énerve alors que je glisse mes pieds dans mes chaussons. C’est du parquet, il fait pas froid mais je déteste marcher pieds nus en plus y’a des piles de bouquins partout alors ça me gave j’ai pas envie de me cogner ailleurs. J’ai les nerfs grave, peut-être qu’il est pas là Matthew mais j’suis quand même vénère parce qu’il est pas parti ouvrir la porte alors qu’encore une fois les coups retentissent. Pf. Je me suis écroulée dans le canapé cette nuit, j’ai bossé jusque deux heures cette nuit, Jade est dans ma chambre encore en train de dormir comme depuis le moment où j’ai été la chercher et moi ben j’me suis juste laissée tomber dans l’canap. J’avais pas envie de la réveiller etc…

Je descends les marches au radard, lève les yeux vers l’horloge dans l’entrée et remarque qu’il est assez tôt, avant de glisser mon œil dans le Judas de la porte. Merde. J’avais oublié. Ça me revient en mémoire immédiatement alors que je vois Maximilian derrière ma porte. J’ai envie de me donner une claque, je suis trop conne et surtout trop préoccupée ces deux derniers jours pour avoir ne serait-ce que pensé a envoyé un message à Max… pour ce matin. Je finis par ouvrir la porte, pas décidée à le laisser dehors quoi et : Bordel Ju', il t'est arrivé quoi ? Ca va ? Je me recule alors qu’il entre sans me demander, mais je ne proteste pas davantage. Je suis fatiguée, j’ai pas envie de me plaindre et maintenant que j’ai ouvert la porte c’est trop tard. Qui t'as fait ca ? Il a fermé la porte et je pousse un soupir, croise les bras sous ma poitrine après avoir passé une main par réflexe sur la partie du visage concernée. Personne, j’me suis cognée. Sa tête en dit long sur ce qu’il pense et je pousse un deuxième soupir, ça ne s’arrêtera jamais. Il fait réellement la gueule, il a l’air furax d’un coup et pour une fois je crois que c’est pas parce que je lui ai posé un lapin — par inadvertance d’ailleurs. Ma jambe se met à faire des petits sursauts, la colère est toujours là au creux de ma poitrine et la douleur au creux de mon œil. J’vais prendre un cachet, monte, j’te fais un café. Et je me retourne monte les escaliers, tourne à gauche et entre dans ma cuisine. Je sors deux tasses, et un verre, puis une aspirine et il reste planté dans l’encadrement de ma porte de cuisine, les bras croisés sur sa poitrine, maintenant qu’on est à la lumière je capte les traits vraiment furax de son visage. J’suis désolée de t’avoir planté, j’ai vraiment pas fais exprès de zapper, je sais que c’est pas du tout près de chez toi de passer par ici. Je lui adresse la parole en faisant chauffer le café, touille mon verre d’eau pour faire dissoudre l’aspirine. J’ai réglé l’problème… t’inquiètes. C’t’une connerie. »

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Maximilian Warham

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MessageSujet: Re: everyday life ø maximilian krkr   everyday life ø maximilian krkr EmptyDim 25 Fév - 23:00




Max & Judith



Everyday life


Personne elle s'est cognée…Elle…s'est…cogné. Euh exqueeze me, est-ce que j'ai l'air du roi des cons ? Je sais faire la différence entre un coin de porte et un putain de poing et la marque qui s'affiche sous son œil n'est clairement pas dû à une maladresse quelle qu'elle soit. Je roule des yeux, si elle croit que je vais lui dire oh oui d'accord mince bon ba je vais y aller, ca risque pas d'arriver, c'est d'ailleurs pourquoi je referme la porte derrière moi. Elle pousse un soupir visiblement pas enchanté de me voir non seulement débarqué, mais en plus m'imposer et puis de toute évidence, je l'ai tiré de son sommeil, mais ca, elle ne peut pas vraiment me le reprocher…c'est elle qui m'a demandé de passer la prendre après tout. « J’vais prendre un cachet, monte, j’te fais un café. Je ne dis rien et me contente de la suivre à l'étage. Je ne suis pas contre un café et quelques explications aussi accessoirement. Cet appartement est super bizarre, ca lui ressemble pas vraiment, enfin je dis ca c'est pas comme si je la connaissais super bien, mais en comparaison de l'appart d'avant aussi pourrie soit-il, je sais pas c'est chelou. Déjà y a des bouquins partout, pas genre sur des étagères comme chez tout le monde, nan ba nan des piles genres partout…c'est quoi cet endroit ? Une bibliothèque de quartier ? Je me détourne de l'intermède décoration et vient reporter mon attention sur Judith qui s'active lentement dans sa cuisine, j'essaye de lister les dégâts de là où je suis, mais la lumière est dégueue et en plus elle me tourne à moitié le dos. Ceci étant dit pas besoin d'être devin pour savoir que quelqu'un lui a fait ca et que qui que ce soit je compte bien lui rendre une petite visite incessamment sous peu. J’suis désolée de t’avoir planté, j’ai vraiment pas fais exprès de zapper, je sais que c’est pas du tout près de chez toi de passer par ici. Je fronce mes sourcils, passablement surpris, est-ce qu'elle croit vraiment que là tout de suite j'en ai quelque chose à foutre qu'elle ait oublié de me prévenir qu'elle était pas en mesure d'aller faire du sport ? Je suis peut-être pas le mec le plus avenant et indulgent, mais quand même !

J’ai réglé l’problème… t’inquiètes. C’t’une connerie. » Euuhh nope ca non plus ca marchera pas, pas plus que "je me suis bouffé une porte" ou je ne sais quel bobard elle avait l'intention de me servir avec le café. « Tu peux arrêter cinq minutes de me servir des craques ? Je suis loin d'être con pour commencer je sais reconnaître la trace d'un putain de poing, ensuite j'en ai rien à foutre de m'être déplacé Judith, c'est pas le problème, le problème c'est ta tronche alors tu me dis qui et tu me dis quand. Je croise mes bras sur mon torse et la fixe avec conviction. Parce que tu m'excuses, mais CA je passe ma main dans un geste circulaire devant mon propre visage pour imager un peu plus mes propos. Ca m'a l'air d'être tout sauf une connerie ! Je souffle de façon sonore avant de franchir la distance qui me sépare d'elle et de l'attraper gentiment par le bras. Va poser ton cul, je vais me débrouiller pour le café. Je la pousse légèrement de devant le comptoir et ne lui laisse pas vraiment le choix, toute façon c'est même pas encore près. J'espère que tu lui en as quand même coller une bonne. » Je lève un sourcil, je sourit pas, parce que ca me fait pas rire, à dire vrai ca me met même hors de moi. Bordel !
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Judith C. Williams

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MessageSujet: Re: everyday life ø maximilian krkr   everyday life ø maximilian krkr EmptyMar 27 Fév - 18:43




MINI SCENES

MI NOVEMBER

« Tu peux arrêter cinq minutes de me servir des craques ? Je suis loin d'être con pour commencer je sais reconnaître la trace d'un putain de poing, ensuite j'en ai rien à foutre de m'être déplacé Judith, c'est pas le problème, le problème c'est ta tronche alors tu me dis qui et tu me dis quand. Je pousse un soupir bruyant, lève les yeux au ciel alors que ma main tremble de colère maintenant, balançant sans ménagement le café dans le filtre de ma machine. Je me retourne, attrape mon verre d’aspirine et termine de touiller le tout alors qu’il élève à nouveau la voix, passe une main devant son visage et m’indique que la marque j’ai au visage lui semble tout sauf une connerie. C’est vrai, c’est pas une connerie, c’est un connard, un débile violent qui a cru que le monde lui appartenait ou je sais pas quoi et qu’il pouvait faire tout ce que bon lui semble sans conséquences aucune. Chaque fois que je repense à ce bâtard écervelé ça me rend dingue de fureur. Après ce que m’a raconté Jade, je me demande toutes les heures dans quoi je me suis foutue, cette histoire m’a vraiment mis un coup. Son histoire à elle, et tout ce bordel au Penitent. Je me voyais pas ne pas aller la chercher, quand j’aime quelqu’un je me donne. Mais je m’attendais pas à ça. J’ai fui les problèmes de San Diego, voilà que je remets les pieds dedans. De toutes façons c’est bien moi qui ait décidé de bosser au Crashdown en premier lieu, pile en plein milieu d’un club de motards. Je cherche surement les problèmes, j’ai peut-être une gueule à ça je sais pas, j’ai une tête à claque apparemment, les types autour de moi ont une certaine facilité à me lever la main dessus. Va poser ton cul, je vais me débrouiller pour le café.
— Mais ! hey… Il m’a attrapé le bras sans violence aucune, et me pousse sans forcer (c’est-à-dire que voilà je ne reviendrais pas sur la différence de force, carrure, blabla) et aussi parce que je n’omets aucune résistance à ce geste, même si je n’ai visiblement pas beaucoup plus de choix. Je me contente de pousser un soupir en posant mes fesses sur le bord de la table, croise les bras et j’ai plus l’air d’une gamine qu’autre chose à ce moment-là. Mais j’ai pas bu mon café et je suis fatiguée, j’ai pas dormi longtemps. J'espère que tu lui en as quand même coller une bonne. Ça aurait pu être dit sur le ton de l’humour mais son visage tourné vers moi l’espace de quelques secondes ne laisse transparaître aucun sourire, pas même l’esquisse d’un rictus. Non, ça ne le fait pas rire, il est vénère. Je bois l’aspirine d’une traite, dépose le verre à côté de moi et vient placer mon bras gauche sous ma poitrine, l’autre plié et la main glissée sur la partie non marquée de mon visage. Ouais, en tout cas j’ai essayé, et c’que tu m’as appris m’a bien servi pour le coup. Je hausse les sourcils face à l’évidence, ma main dérive par réflexe sur mon coup à peine marqué, quelques rougeurs ici et à qui ne tarderont pas à s’effacer elles aussi, plus vite que celles sur mon visage. Il aurait pu me briser la nuque cette espèce de con si je m’étais pas débarrassée de lui. Je pousse un nouveau soupir. Je peux me débrouiller toute seule, j’ai pas envie de le mêler à mes problèmes. J’en ai marre de passer pour la reloue de service, ça me fatigue. Toujours là avec mes petits problèmes à chouiner. Je pince les lèvres, secoue la tête à la négative. Laisse tomber j’te dis. Ça vaut pas la peine, c’est terminé, c’était y’a deux jours, j’me suis débrouillée. J’ai juste… voulu aider une amie et son mec est une espèce de connard dégénéré. Mes mâchoires se serrent pas réflexe, colère.
J’évite de lui mentionner qu’il s’agit de Jade et son mec : Elijah. Que j’ai déjà croisé de rares fois au Crash donc je sais que ce serait de mêler tout ce bordel. Je connais pas leurs termes, leurs éventuels deals mais je suis pas stupide. Ça sert à rien. »

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