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 tell me we're not crazy, you and i | natalia

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Natalia Manning

Natalia Manning

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MessageSujet: Re: tell me we're not crazy, you and i | natalia   tell me we're not crazy, you and i | natalia - Page 2 EmptySam 25 Nov - 6:18

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Δ  Natalia & Sebastian


Il ne lui répond pas et elle se dit que c'est sans doute parce qu'il ne saurait vouloir acquiescer ses doutes qui ne se révèlent que trop réel, surtout pas après ce qui s'était passé avec son propre enfant, ce petit garçon arraché à une vie bien trop courte par une balle qui avait pris une direction mortelle. Il s'était sans doute lui aussi bercé de justification sur les choix qu'il avait pu faire par le passé, sur ce qu'il continuait malgré tout de faire et qui n'impactait plus que lui, il s'était surement trouvé mille justifications il fut un temps, mais quand était-il d'aujourd'hui ? Le silence qu'il lui appose ne saurait que parler pour lui et elle s'en contente, préférant accueillir ce mutisme qu'un mensonge maladroit. Elle hausse les épaules dans un automatisme qu'elle ne notifie pas et qui n'existe que pour son inconscient, ses mains finissant par se joindre contre la table. La jeune femme tout comme son mari n'avait pas d'autre choix de toute façon, cette vie était la seule qu'ils connaissaient, la seule qui pouvait finalement vraiment leur permettre d'offrir une vie décente à leur enfant, même si cette décence se payait par un danger constant, caché dans des recoins inattendus, prêt à bondir et annihiler ce qui vous était le plus précieux.

Elle ne termine pas sa phrase, elle se rend compte que si il est difficile pour elle de mettre cette idée en mot, il l’est sûrement encore plus pour lui de l’entendre…de faire face encore et encore à ce vide, à cette absence, a ce fils qui n’est plus…et dont il ne prononce que rarement le nom désormais, en tout cas pas en parlant de lui. Le fait qu’il le partage avec le père de son enfant que Sebastian côtoie chaque jour ne doit pas être facile, comme un rappel constant et lourd…elle laisse cette idée d’escapade faire son chemin entre eux, même si quelques doutes viennent l’assaillir après que les mots aient franchis le seuil de ses lèvres, pas qu’elle ne lui fasse pas confiance, elle sait qu’il prendra soin de lui, mais est-ce que elle, était en mesure de pouvoir se séparer de l’enfant dans une période comme celle-ci, lorsqu’elle savait les horreurs qui venaient le hanter et lui arracher pleurs et cris presque chaque nuit ? Quand elle savait que l'innocence qui devait être la sienne avait la fâcheuse tendance à disparaître sous le coup de mots, de réflexions, de dessins ou de gestes brusques…Etait-ce bien sérieux que de le laisser aux mains de quelqu'un d'autre ? Elle avait déjà bien des difficultés à ne serait-ce que le laisser à la baby-sitter ou à Josef qui bien qu'habituer à prendre le petit pour un week-end de temps à autre n'y avait pas été autoriser depuis Noël…Et il n'y avait pas que ca, il y avait aussi cette peur maladive de le laisser sous une protection qui ne serait pas la sienne, si quelque chose devait lui arriver alors qu'elle n'était pas là…elle chasse bien vite cette idée, ce n'est pas la première fois évidemment qu'elle parvient à la perturber de la sorte, mais elle ne la laisse jamais prendre plus de place qu'elle ne pourrait le supporter.

« Ne t'en fais pas pour moi, je vais organiser ça et je m'en occuperai bien. »
Un mince sourire vient perler sur les lèvres de la serveuse et elle lui jette un regard rapide…tout cela a pris une tournure plus qu’affligeante et elle essaye de se forcer à se reprendre et à se focaliser de nouveau sur son ami qui rejoint à présent le sofa et s’y installe en laissant vaguement échapper un rire furtif. « Si James avait été là, elle aurait pas fait ça. » C’est ce qui s’appelle un virage, qu’elle n’est pas si mécontente d’emprunter, le sujet n’est pas le plus facile, mais elle n’a pas vraiment envie de partir sur cette pente glissante de l’inquiétude maternelle alors elle se laisse happer dans celle du deuil paternel et des problèmes de couple qui en ont découler. Ca lui fait toujours bizarre d’entendre son nom, c’est toujours étrange…

Mais il ne l'était pas, il ne l'était plus. « Peut-être pas… Ou peut-être que si, c'était difficile à dire, rien ne garantissait qu'elle n'aurait pas un jour pris son fils et fuit cette vie, elle en avait les moyens à présent, elle en aurait eu l'envie à un moment donné, pour elle ou pour lui…peu importait, mais l'idée était là, elle l'était toujours, enfouie quelque part, parce qu'il n'y avait rien de plus fort que l'envie d'une mère de protéger son enfant et leur monde était difficilement compatible avec ca. Bien sûr elle ne lui dit pas, cela ne l'aidera pas, cela ne fera rien avancer et ne feras que jeter un peu plus de sel sur sa plaie encore béante. Mais ce n'est pas le cas et elle fuie sans doute cette réalité parce qu'elle n'arrive pas à vivre dedans…qui le lui reprocherait ? Personne ne le voudrait… mais tu peux sûrement l'y aider. » Ou tout du moins essayer, elle est sa femme après tout et si les sentiments qu'il démontre face à elle ce soir sont sincères, alors elle pense vraiment qu'ils ont une chance. Du temps ils en ont, il en faut, mais il ne faut pas non plus le laisser filer. Le temps est toujours la variable la plus compliquée et il est difficile de le maîtriser. « C'est difficile à dire, essaye de l'approcher, jauge sa réaction et donne lui ce dont elle a besoin, que ce soit du temps ou au contraire ta présence. Elle pousse un soupir…Il n'y a que toi qui puisse le savoir. » Elle l'observe assis-là et c'est comme si elle pouvait percevoir ce poids invisible sur ses épaules, cette impuissance dont il ne sait quoi faire et dont il n'a guère l'habitude et elle se demande si c'est dans cet état qu'elle avait elle aussi plongé son mari par le passé…ca ne l'avait jamais vraiment frappée, elle ne s'était pas vraiment posé la question, mais soudainement l'image la saisissait.


« Le week-end prochain, pour Eliott. Ça te conviendrait ? Je serai loin et pour la bonne raison, tu en penses quoi ? » La bonne raison ? Elle fronce les sourcils un peu dans l’incompréhension. « Je pense que ca devrait être bon oui, mais je vais d’abord en parler à James. Elle esquisse un sourire. Ca ne dépend plus que de moi maintenant. Et malgré elle, son sourire s’élargit un peu plus.  Il ne devrait plus vraiment tarder de toute façon alors on pourra en parler ensemble si tu veux ? »
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Sebastian O'Malley

Sebastian O'Malley
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MessageSujet: Re: tell me we're not crazy, you and i | natalia   tell me we're not crazy, you and i | natalia - Page 2 EmptyDim 26 Nov - 23:44




ft. Talia
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Il a continué d'entendre tout ce qu'elle pouvait essayer de lui faire comprendre, Sebastian, ce soir, s'est donné du mal pour tenter de faire la part des choses. Mais la surprise est grande, la douleur palpable bien qu'il ne viendra pas l'admettre, pas totalement. Et il la ressent pour la première fois depuis le décès de son petit garçon : la faiblesse. Venin sulfureux qui s'immisce jusqu'au cœur même de ses veines, coulant abondement en lui comme pour le traîner au plus bas, derrière des tourments l'enterrer malgré la pression qu'il pourrait exercer sur ses bras, rien que pour se redresser malgré ces profondeurs-là. C'est ce pourquoi il ferme les yeux, une nouvelle fois, une énième fois, réengageant cette éternelle guerre contre les névroses qui se sont épris de ses désirs, de ses envies. Sebastian tique, secouant lentement la tête comme dans l'espoir de pouvoir souffler, comme dans l'espoir de pouvoir ne serait-ce que réfléchir, un minimum, tandis que son attention en revient à la jeune femme, à cette proximité à la fois rassurante pour l'esprit, dérangeante pour le corps. Et toujours ces combats, toujours ces retenues. Puis un souffle, un dernier soupire tandis que l'azur de ses prunelles retrouve la jeune femme, son inquiétude, toute cette palette d'émotions qu'il a toujours admiré chez elle, tout ce qu'il est incapable de ressentir ; non de gérer, en vérité, dépassé par toutes celles-ci. Raison pour laquelle il en revient sur Eliott, sur ce gamin à qui il pourrait offrir ne serait-ce qu'un week-end de paix, loin de tout, loin de tous les autres, loin de tout ce qu'ils ont déjà dû essayer de mettre en place pour lui épargner les souvenirs de toutes ces atrocités. « Je pense que ça devrait être bon oui, mais je vais d’abord en parler à James ; il acquiesce, évidement. Il ne s'imposera pas à l'encontre de l'un de ses frères, en particulier James. Parce qu'il le respect, parce qu'il a toujours su voir en lui une étincelle de clarté dont il s'est privé, suivant le chemin d'une stupidité mariée à de la ténacité. Ça ne dépend plus que de moi maintenant. Il ne devrait plus vraiment tarder de toute façon alors on pourra en parler ensemble si tu veux ? » Il lui rend son sourire, venant braver tous ses songes pour l'attirer contre lui sans vraiment trop lui demander, sa main apposée contre sa nuque, déposant sa joue contre son torse avant que ses lèvres ne viennent déposer un bref baiser contre son front, s'imprégner de toute la force qu'elle est en mesure de lui partager pour enfin s'en défaire, enfin la libérer, se redresser. Dans la foulée, son regard se pose sur le couloir peu éclairé, sur la chambre du petit garçon dont ils ont pu parlé, un rictus désolé d'accrocher le long de ses traits désormais un peu plus fatigués, lassés aussi, en vérité. Une lassitude des plus brutales, des plus immédiates. La phase descendante des bipolaires, lorsque plus rien ne semble vraiment avoir de sens. Son monde retrouve sa morosité et quelque-chose, en lui, semble se ternir sans qu'il ne puisse pleinement y parer.

« Non, tu me tiendras au courant. » Lui fait-il entendre tandis qu'il ose quelques pas, tandis qu'il vient réajuster son cuir. Sebastian passe rapidement son visage entre ses mains, essayant de se défaire de toutes les idées qui s'immiscent, toutes les pensées horribles qui viennent traverser son esprit pour ne plus rien laisser que l'illusion d'un spectre encore désolé, empli d'une pitié à son égard tandis qu'il essaie de lutter. En vain, ça n'a toujours été qu'en vain. « Puis je pense qu'il n'apprécie pas trop que je sois dans tes parages. » Plaisante-t-il enfin, essayant de faire disparaître ce regard qu'il sent se poser sur lui, sur tout ce qui pourrait se trahir dans le cœur même de ses prunelles qu'il fait dévier de la jeune femme vers cette hallucination qui ne le quitte jamais quand il se tient ici, là où son secret se tient, là où toute la vérité se cache. Et elle lui revient, cette question, elle lui revient et heurte sa personne. Elle frappe, s'acharne contre son être avec une brutalité des plus imprévisibles. Mais il n'en défait pas ses mots de sa gorge, Sebastian garde cette réflexion pour lui, venant seulement briser une dernière fois la distance qu'il parvient de mieux en mieux à faire valoir entre eux deux ; bien qu'il espère savoir, un jour, si elle lui en veut toujours. « Je vais aller faire un tour, juste essayer de... de respirer, de réfléchir. J'ai besoin de mettre les choses en ordre, de... » d'admettre qu'il est la cause de tout ce qui leur arrive, de tout ce qui leur est déjà arrivé. La perte de James, les coups portés, toujours cette distance lentement instaurée jusqu'à cette fuite qu'il n'aurait jamais pu envisager. Il s'est fait sûr de lui, trop sûr. Arrogant, orgueilleux, manipulateur. Il s'est fait raclure et la perd, Irene échappe à ses mains. « Envoie-moi un message pour me tenir au courant, ok ? Un dernier baiser qui se dépose le long de la joue féminine tandis que ses mains cherchent déjà son téléphone dans sa poche pour s'assurer qu'il ne lui manquera pas quand elle saura. Et ne t'en fais pas si je réponds pas. » C'est prendre les devants, prévoir déjà ce qui pourrait envahir la jeune femme qu'il quitte aussitôt, franchissant la porte d'entrée sans se retourner, sans même n'attendre une réponse énoncée. Non, Sebastian fuit. Parce qu'il sent les battements sous sa poitrine se faire plus denses, plus saccadés. Parce qu'il ressent cette détresse qui – en un clin d’œil – s'est installée. Il pourrait tout exploser, tout remuer ne serait-ce que pour faire entendre à sa femme qu'elle n'a pas le droit de le laisser mais les mots de Natalia résonnent encore en lui, voix d'une raison qui lui fut retirée lorsque, avec le club, son destin se scellait. Une voix qu'il ne saura pas faire taire, pas ce soir, pas alors qu'il reprend la route, craignant que la jeune femme ne l'interrompt, craignant qu'elle ne descende à sa suite pour lui faire entendre qu'il n'est pas prudent, pas comme ça, pas en sachant l'état dans lesquels il s'en va. Et il le sait, Sebastian l'a toujours su. Alors il se hâte, laissant le grognement de son moteur animer l'avenue qu'il en vient à quitter, entamer déjà cette misérable nuit qu'il passera à errer jusqu'à s'échouer là où personne ne pourrait le trouver, son téléphone éteint une fois un dernier message rassurant à Talia envoyé. Il a besoin d'espace, d'air. Il a besoin de s'exiler, silencieusement et par lui-même se redresser, remonter cette pente dans laquelle Irene vient de le pousser.    

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Natalia Manning

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MessageSujet: Re: tell me we're not crazy, you and i | natalia   tell me we're not crazy, you and i | natalia - Page 2 EmptyVen 8 Déc - 1:25

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Il ne répond pas si ce n'est par un sourire qu'il lui adresse et qui vient rompre l'air morose et abattu qu'il portait jusqu'ici sans répit. Il n'avait jamais été le type le plus expressif qu'il lui ait été donné de voir, mais dernièrement il semblait à Natalia qu'il n'en portait plus qu'une et ca l'attristait de le constater. Il s'approche d'elle et romps la courte distance qui les sépare pour l'attirer jusqu'à lui d'un geste, glissant une main sur sa nuque. Elle ne dit rien et se laisse faire, ce n'est pas si habituel que ca, il n'est pas non plus trop enclin au contact, en tout cas pas avec elle, mais la situation ce soir et maintenant est différente…Sans doute. Elle ne se pose de toute façon pas tant de questions, elle sait l'enclin amical qu'il a pour elle et qu'elle partage et ce n'est là rien de plus. Sebastian dépose un baiser sur son front et s'écarte finalement donnant enfin réponse à cette proposition qu'elle venait de lui faire, celle de discuter de tout ça avec son mari. « Non, tu me tiendras au courant. »

Une moue un peu désolée vient se peindre sur ses lèvres et elle hausse légèrement les épaules comme pour acquiescer à son refus Puis je pense qu'il n'apprécie pas trop que je sois dans tes parages. » La serbe lève les yeux au ciel et secoue la tête à la négative et le mince sourire qu'elle lui tend disparaît lorsqu'elle ouvre finalement la bouche. « Ne dis pas de bêtises ! Tu sais bien qu'il s'en fiche. » Et puis ce n'était pas comme si, il était fourré ici tous les quatre matins non plus. Bien sûr James avait été un peu surpris de constater le rapprochement qui s'était joué entre son épouse et son frère d'arme pendant qu'il était en prison, surtout compte tenu du fait qu'elle s'était éloignée de tous les autres sans exception aucune, mais il ne s'en était pourtant pas formalisé plus que ça ou en tout cas ne lui en avait rien fait savoir. « Je vais aller faire un tour, juste essayer de... de respirer, de réfléchir. J'ai besoin de mettre les choses en ordre, de... » de digérer ce qui avait été dit, en plus de tout ce qui avait déjà été fait sans doute. La jeune femme hoche la tête comme un encouragement silencieux avant qu'il ne lui demande en guise d'au-revoir de le tenir informé de leur réponse concernant cette escapade avec Eliott. Il dépose un baiser sur sa joue et la met en garde sur le fait qu'elle ne doit pas s'inquiéter s'il ne répond pas, ce qui clairement n'est pas le genre de salade que Natalia encaisse sans rien dire. « Oh non non tu me réponds Seb, tu sais comment je peux être pénible si je veux je crois ! » Et elle aurait ponctuée sa phrase d'un clin d'œil à son intention qui n'aurait très certainement pas été là pour amenuir de quelconque façon son message bien au contraire, mais il ne lui en laisse pas la chance, il se contente de fuir les lieux et de la laisser bras ballants alors qu'il sort en vitesse et disparaît de son taudis d'appartement…Elle n'aime pas ca et elle ne peut évidemment pas s'empêcher de s'en inquiéter presque immédiatement. Elle laisse défiler quelques dizaines de minutes alors qu'elle remet de l'ordre dans l'appartement en attendant que James ne rentre, mais elle n'a pas l'esprit tranquille et elle se demande si elle aurait dû lui donner des conseils peut-être plus avisés ou mieux encore se contenter de se taire et ne pas se mêler des affaires de couples, elle ne sait que trop bien à quel point c'est un terrain on ne peut plus glissant. Puis est-ce vraiment juste envers Irène ? Elles ne sont pas si proches que ca, en tout cas moins qu'elle ne l'est avec Sebastian, mais tout de même c'est quelqu'un qu'elle apprécie et avec qui elle avait maintenu un contact quand le club n'était plus qu'un souvenirs qu'elle essayait de ranger le plus loin possible…quelqu'un qui, elle le sait, pourrait être une excellente amie si elles s'en donnaient l'occasion…il n'y avait sans doute pas de bonne réponse, aussi elle essaye de chasser ses interrogations de son esprit, envoie un message à Sebastian pour lui demander qu'il la tienne ne serait-ce qu'informer de quand il serait rentré chez lui sous couvert de menaces un peu gentillette. Toujours.

Et si elle n‘obtient rien dans l’immédiat, l’arrivée de son mari lui fait rapidement oublier ses soucis et c’est cette fois sur son couple qu’elle concentre son énergie.

Ce n’est que bien plus tard qu’elle recevra finalement réponse à son message.


THE END
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